Fallout 4

Excellent jeu,
Rejouabilité infini grâce au mod.
J'ai d'abord fait toute les fins sans mods puis je me suis mis a mod le jeu.
Avec Storywealth ( environ 1000 mods ) ça rajoute énormément de quêtes. Je suis à plus de 200 heures de jeux sur le modpack sans même avec débuter la quête principale.

Je recommande vivement ce jeu

"Une plongée immersive dans un monde ravagé"
En jouant à Fallout 4, j’ai été immédiatement happé par l’atmosphère unique de ce monde post-apocalyptique. L’environnement est à la fois désolé et vibrant, rempli d’histoires à découvrir à chaque coin de rue. Ce que j’ai particulièrement apprécié, c’est la liberté offerte au joueur : on peut se perdre des heures à explorer des zones abandonnées ou à bâtir des colonies selon ses envies.
Avec la mise à jour Next Gen, le jeu a atteint un nouveau niveau de qualité. Les graphismes retravaillés, les performances améliorées et les ajouts techniques subliment l’expérience, offrant une immersion encore plus intense. Cette mise à jour apporte une nouvelle fraîcheur à l’univers déjà captivant du jeu.
Les personnages que l’on rencontre tout au long du jeu apportent une dimension narrative intéressante, et les interactions rendent l’expérience encore plus engageante. Les combats, bien rythmés, offrent juste ce qu’il faut d’action pour pimenter l’exploration sans la surcharger.
Il y a bien sûr des imperfections, mais elles s’effacent devant l’immersion globale et le plaisir de construire sa propre histoire dans un monde en ruine. Fallout 4 est un jeu que j’ai trouvé profondément addictif, où chaque session était une nouvelle aventure, pleine de surprises et de défis.
Config : I5 7600 K - GTX1080 - HDD - 16 Gigas de Ram
Ecran : AOC Q3277PQU Ecran LED IPS 32" (2560x1440 , 16:9, 4ms)

Après des centaines d'heures de jeu sur PS4 et 100 sur PC, je me permets de dire que si vous cherchez un grand RPG solo post-apo qui tient encore la route dix ans après, vous êtes au bon endroit.
Même si une déclinaison multijoueur plus récente a vu le jour avec Fallout 76, Fallout 4 reste la porte d’entrée “moderne” de la franchise côté storytelling et aventure solo. Pour des joueurs habitués aux standards visuels de 2025, c’est l’épisode qui demeure le plus regardable sans renoncer à l’ADN Fallout (fallout 3 et NV étant des masterclass au niveau scénario, mais qui ont mal vieilli visuellement). La série Amazon a largement démocratisé l’univers et, logiquement, Bethesda a remis un coup de projecteur sur le 4 (même s'ils ont foutu la merde pour les mods qui fonctionnaient sans soucis depuis des années avec leur patch à la con, sans considération pour les moddeurs passionnés. PS : ici on évalue le jeu, pas la boite).
Ce qui fait tenir le jeu aujourd’hui, c’est d’abord l’exploration. Le Commonwealth fonctionne comme un parc d’attractions post-apocalyptique : dense, rempli de lieux, de micro-histoires environnementales et de détours qui se transforment en sessions de plusieurs heures. Réel plaisir de découvrir les détails au niveau du décor que Bethesda à semés un peu partout, sans parler des abris Vault Tec qu'on peut toujours explorer afin d'en découvrir les mystères et leurs histoires sordides.
Le côté "parc d'attractions" c'est également quelque chose qu'on peut lui reprocher, puisque tout semble rapproché et "vivant" alors qu'on parle de terres désolées après la chute de bombes nucléaires... mais bon : 200 ans sont passés, et la mer luminescente, épicentre de l'explosion, rappelle la désolation des bombes.
La quête principale est intéressante, elle m’avait marqué ado pour sa chute originale ; adulte, je la trouve “chouette mais sans plus”, mais le monde autour la soutient. Les DLC, surtout Far Harbor (pour sa richesse) et Automatron/Wastelander (pour leur creativité : faire des arenes de combat dans ses colonies, contrôlées par nos installations c'est toujours chouette a prendre quand on aime le build), ajoutent une vraie valeur : ambiances marquées, boucles de jeu motivantes, de quoi replonger sans forcer. On peut passer des centaines d’heures sans voir le temps filer, à mi-chemin entre lore, farm et bricolage.
Là où Fallout 4 garde un vrai intérêt, c’est dans ses dilemmes éthiques et moraux de factions (attention, spoilers légers). Institut, Railroad, Confrérie de l’Acier : entre la conscience et l’esclavage des synthétiques, la tentation de détruire des technologies potentiellement salvatrices au nom d’un credo, et le militarisme autoritaire, il n’existe pas de bon choix absolu. On navigue à vue, on compose. À titre personnel, j’ai choisi de détruire l’Institut tout en récupérant une partie des scientifiques et données/blueprints scientifiques au profit de la Confrérie, en me disant qu’elle offrirait une “évolution” plus ordonnée pour le Commonwealth — avec toutes les réserves que son agenda implique.
Tout n’est pas parfait, loin de là. Techniquement, le jeu accuse son âge : animations, visages, interface et inventaire datent, et sans quelques ajustements on le sent vite. La cohérence post-apo se fissure par moments : deux à trois siècles après la bombe et vu la densité de population, on se surprend à penser qu’ils auraient pu au moins balayer les rues. Et si l’exploration est grisante, certaines quêtes radiantes servent parfois de remplissage plus que de narration.
Si vous jouez sur PC, deux ou trois mods qualité-de-vie suffisent à moderniser l’expérience sans la trahir (patch non officiel, interface plus lisible, tri d’inventaire).
Positionnement dans la série : Fallout 4 n’est pas à la cheville de New Vegas pour l’écriture et les angles moraux, ni de Fallout 3 pour l’atmosphère brute. C’est le petit frère fidèle à la famille, celui qui remet Fallout au goût du jour pour un public 2025, avec des mécaniques plus abordables et un monde qui attrape vite.
Verdict 2025 : recommandé. Prenez-le pour ce qu’il est — un bac à sable post-apo solide, accessible et généreux, où l’on revient régulièrement — et acceptez que l’âme la plus tranchante de la saga reste ailleurs.

📓 Note retrouvée sur un vieux holobande griffonné à la main
Auteur inconnu. Voix tremblante. Odeur de cramé.
« Ils m’avaient dit que c’était un jeu. Un jeu ! J’ai cliqué pour voir. Juste un p’tit tour dans l’Abri. Maintenant je dors avec un casque de combat, je parle aux murs, et je range mes capsules dans des bocaux étiquetés par ordre alphabétique. »
☢️ Fallout 4 ? Ce n’est pas un jeu. C’est un simulateur de stress chronique déguisé en RPG. C’est ce qui se passe quand tu mélanges un stage de survie extrême avec du vintage américain et que tu balances le tout dans un micro-ondes nucléaire.
👁️ Je fouille tout. Un grille-pain, c’est pas un grille-pain. C’est une bombe potentielle. Une canette vide ? NON. C’est de l’aluminium, et ça vaut plus que ta vie.
Tu crois que cette vieille peluche est mignonne ? Faux. Elle te regarde.
🤖 Les robots ? Trop polis pour être honnêtes.
Les marchands ? Ils savent des choses. Trop de choses.
Les chiens ? Ok, le chien est cool. Mais je dors quand même d’un œil.
🏚️ J’ai passé 45 heures à fortifier un avant-poste paumé, entouré de pièges, de tourelles, et de mines antipersonnel. Personne ne m’a attaqué. C’est donc que ça marche. Ou que ils préparent un coup encore plus gros.
🎯 J’ai appris à viser dans le noir, à tirer dans le pied pour économiser les munitions, et à manger des radcafards crus parce que, oui, j’ai oublié de cuisiner et le temps, c’est des caps.
🔍 Conseil du survivant :
Ne jamais faire confiance à un mec avec un costume trop propre.
Toujours ouvrir les toilettes publiques avec un flingue dégainé.
Si tu entends de la musique d’ambiance joyeuse… cours.
📻 Conclusion :
Fallout 4, c’est pas une promenade dans un monde ouvert.
C’est un test. Une expérience. Une épreuve.
Et si tu lis ça, ils t’écoutent sûrement déjà.
J’me tire. Trop écrit. Trop risqué.

Fallout 4 reste un RPG solide avec un vaste monde post-apocalyptique à explorer et de nombreuses quêtes secondaires intéressantes. Le système de crafting et la construction de colonies apportent une touche originale et fun.
Cependant, le jeu déçoit un peu côté narration : les personnages sont moins mémorables que dans les précédents Fallout, et l’histoire principale manque de profondeur. Les combats sont corrects, mais répétitifs, et le moteur du jeu commence à montrer son âge avec quelques bugs et animations rigides.
Un titre plaisant à explorer pour les amateurs de l’univers Fallout, mais qui n’atteint pas le niveau des meilleurs épisodes de la série.
Merci de m'avoir lu ^^

vu mon nombre d'heure de jeu je peux vous dire que le jeu est cool acheter les dlc ils valent le coup et surtout si vous voulez vous amusez installer des mods.

Fallout 4 fait partie de ces jeux très chronophage tellement le contenu est riche, très riche voir trop riche au point qu'on pourrais vite s'y perdre tellement il y a de chose à faire, tout comme Skyrim, le jeu regorge de quêtes, de mini-quêtes, d'easter eggs, de référence cinématographique ou littéraire, de lieux à explorer et de PNJ plus atypique les uns que les autres. J'y ai passé de très nombreuses heures et je ne l'ai toujours pas fini, sachant que je passe beaucoup de temps à construire mes colonies et que j'aime trop trier les choses au point que j'ai créé un bâtiment uniquement pour y stocker et classer mes armes, un autre pour les armures assistées, etc...

Honnêtement, le jeu est vraiment génial mais souffre de répétitivité et de bugs qui n'échappent jamais au gros jeu de ce type. Il y a largement de quoi s'occuper sur la map et je reste très admiratif, moi qui est connu les jeux des années 90, début 2000, du travail des développeurs pour apprécier le jeu à sa juste valeur. Vous l'auriez sortie en 2000 que ça aurait été une claque monumentale. Tout est perfectible, absolument aucun jeu n'est parfait mais Fallout 4 s'en tire vraiment bien et je pense que je vais y passé encore pas mal d'heure avant de le terminer pour de bon.

Graphiquement, le jeu reste beau de même que l'ambiance et les décors ont vraiment été soignés. Les stations radio et ce côté classique année 50/60 futuriste sont vraiment bien foutu, parfois, vous pouvez vous poser, admirer le couché de soleil en écoutant un classique sur Radio Diamond City. Ce jeu est vraiment une réussite sur énormément de point et les quelques défauts présent ne gâche en rien le plaisir de jouer.

La seule chose que je déplore, c'est l'absence du Karma qui faisait la sève des anciens Fallout et qui aurait été vraiment judicieux dans cet opus tellement il y a de factions, de groupes et de personnages. L'histoire principale est sympa et basique mais les subtilité et les quêtes les plus intéressantes sont amplement secondaires. Perso, j'ai adoré Nick Valentine (doublé par Luc Bernard) et toute l'histoire autour de se synthétique, il reste mon compagnon préféré avec Piper. Dommage qu'on ne puisse prendre deux compagnons parce qu'ils me suivraient tout le temps ces deux là.

La seule chose qui peut se substituer au Karma sont les réactions de vos compagnons lors de vos choix et vos actions qui approuvent ou désapprouvent certains d'entres eux. Évitez d'aller faire des quêtes pour la Confrérie de l'Acier avec un synthétique, par exemple.

Pour le reste, chacun ce fera son avis mais perso, pour un jeu qui à environs 10 ans, je prend toujours autant de plaisir à y jouer.