Warhammer 40,000: Boltgun
Chargez votre Bolter et jetez-vous dans la bataille ! Plongez dans un shooter explosif alliant à la perfection Warhammer 40,000, un gameplay nerveux et frénétique, et l’esthétique stylée des shooters rétro des années 90.
Incarnez un Space Marine aguerri, lancé dans une mission à travers la galaxie qui le mènera à affronter les pires Démons et Space Marines du Chaos.
Déployez l’arsenal dévastateur des Space Marines dans toute sa splendeur explosive retro-shooter pour ne laisser sur votre passage qu’une purée de sang, de sprites et de pixels. Courez, sautez et chargez à travers d’immenses niveaux pour tirer, pulvériser et réduire en bouillie les pires hérétiques de la galaxie.
• Plongez dans une expérience de combat viscérale et pulvérisez vos ennemis dans des affrontements aussi gores que dynamiques
• Dominez le champ de bataille avec la puissance de feu dévastatrice de l’arsenal des Space Marines
• Faites l’expérience de l’hommage ultime aux retro-shooters, mêlant les visuels stylés des années 90 à un gameplay modernisé
Steam User 49
Doom mais dans Warhammer 40K comment ça pourrais être mauvais ?
en plus le style années 90 est vraiment cool
Pour l'Imperium
Steam User 27
Introduction
Warhammer 40K: Boltgun est un retro-FPS qui rend hommage aux jeux du genre sortis dans les années 90 : des gros pixels, du gore en veux-tu en voilà, des armes satisfaisantes et des hordes de démons à exterminer. Un combo parfait ?
Points positifs
+ Un pixel art superbement bien réalisé et un choix de couleurs très adéquat.
+ La sensation de puissance est bien retranscrite, les armes ont un très bon feeling.
+ L'ambiance est sympathique et le style gothique/gore est bien rendu. Les environnements sont réussis même si parfois on aimerait un peu de prise de risque. Le sound-design est lui aussi un des gros points forts du jeu, que l'on parle du son des armes, des ennemis ou même des bonus ramassés.
+ La musique est plutôt cool même si dans l'ensemble elle ne m'a pas non plus convaincu entièrement. Elle convient très bien au jeu mais on est loin de hocher la tête en défouraillant tout ce qui bouge.
Points négatifs
- Il est impossible de connaitre le nombre d'ennemis qu'il reste dans le niveau. Passer 40 minutes à faire un level et se retrouver à 99% des ennemis tués sur l'écran de fin parce qu'on a oublié un simple recoin donne simplement envie d'Alt+F4.
Le problème est le même pour les secrets, j'aimerais voir un suivi même si on doit mettre pause pour ça, actuellement si on ne retient pas combien on en a ramassé, on n'a aucun moyen de le savoir. Ça oblige le joueur à être très (trop) méticuleux sur sa progression et au final on transforme un fast-FPS dynamique et bourrin en un jeu avec un rythme très haché.
- L'absence d'une mini-map ou d'un indicateur de direction à suivre rend la navigation compliquée dans certains niveaux car les gros pixels et la réutilisation d'assets et de layouts font que certaines zones se ressemblent énormément (au point d'en être parfois très répétitives), d'autant plus lorsque le niveau suit le schéma un peu trop classique "Couloir - Couloir - Arène".
- Il y a un problème sur le feedback des dégâts subis, on a aucune idée de combien de pv on vient de perdre quand on prend un coup, ça peut-être 3, 25 ou 150 rien ne l'indique.
- L'IA peut être à la fois complètement débile et se coincer dans les murs pour ne plus bouger, tout comme parfois prédire vos mouvements et vous dégommer à l'angle d'un couloir, ou en l'air : c'est frustrant.
- Il est quasiment impossible d'utiliser la tronçonneuse en difficulté Exterminatus, c'est du suicide, et on se retrouve donc amputé d'une arme. J'aurais aimé qu'elle rende un peu de vie en tuant une cible avec pour récompenser son utilisation et lui donner une vraie utilité.
- Un prix pas abusif (22€) mais pour environ 10-12 heures de jeu c'est un peu limite.
Conclusion
Ce Warhammer 40K : Boltgun est un bon FPS old-school, cependant, des défauts d'interface et de game-design font qu'on se retrouve avec un bon titre certes, mais assez oubliable une fois qu'il est terminé.
Selon moi il est très possible de remédier à un certains nombre de ces points négatifs en ajoutant un peu d'UI (une mini-map, un compteur de secrets...), même si d'autres seront plus compliqués à corriger (améliorer l'IA par exemple).
Un futur classique du genre après quelques mises à jour ? À Suivre.
Steam User 16
Le DOOM GUY s'est reconverti en Space Marine que demander de plus ?
Steam User 22
Les ténèbres
Nous sommes en l’an 2023, c’est-à-dire quelques années avant la disparation de l’humanité. Les changements climatiques causent, en plus des sécheresses et des inondations, une pénurie alimentaire. L’Europe, particulièrement sa partie orientale, connaît une guerre sans fin, tandis que l’inflation et une crise du logement créer colère et une incertitude de l’avenir. Finalement, McDonald n’a toujours par ramené le McRib, tandis que The Last of Us, une adaptation d’un jeu vidéo (vous vous rendez compte la nullité créative en 2023), est considéré comme un chef-d’œuvre. Série qui aurait été, au mieux, jugée correcte, et ce, durant l’ère de la diffusion des Sopranos, The Wire ou, encore, Luther. Pire encore, le jeu vidéo est rendu aussi nul que nos politiciens et personnalités publiques. Cependant, comme l’Empereur, il y a certaines personnes hors norme, tout comme il y a des jeux vidéo hors norme. Ainsi, pour chaque grand.e homme/femme, comme Jean-Marc Jancovici, il y a un Valheim ou, cette foic-ci, un Warhammer 40k : Boltgun. Ainsi, malgré certaines imperfections, ces gens, tout comme ces jeux, donnent un espoir en un avenir meilleur, autant comme créature bipède aucunement raisonnable et sensé (je parle des humains, bien évidemment) que comme joueur.
Quand je marcherais dans la vallée de la mort, je ne craindrai aucun mal, car tu es avec moi, ton épée et ton armée, ce sont eux qui vont anéantir les ennemis de l’humanité
Warhammer 40k : Boltgun permet d’interpréter Space Marine chargé de stopper, encore une fois, l’incursion du chaos. Si l’histoire, ainsi que les dialogues, sont très limités, cette erreur, du moins selon-moi, ne nuit aucunement au plaisir de jeu. Il faut le dire, les sensations de jeu sont excellentes. Autant l’épée scie à chaîne, le bolter ou, encore, le bolter lourd sont plaisants à jouer. Vous avez vraiment la sensation d’avoir entre vos mains une arme extrêmement puissante et destructrice. Vos ennemis explosent, le recul de l’arme donne l’impression de tirer des petits obus et, enfin, le jeu offre un panel d’armes qui sont toutes utiles. Les déplacements du Space Marine ne sont pas en reste. Même si celui-ci est deux fois plus grand que les ennemis de base, il profite de ses modifications génétiques pour sauter relativement haut, écraser ses ennemis lors de son atterrissage, tout comme leur foncer dessus afin de les mettre en charpie. Là-dessus, rien à redire, les développeurs ont tout à fait compris ce qui fait les qualités d’un « boomer shooter », c’est-à-dire un jeu fluide comme Doom (version de 1993) ou Quake, mais avec suffisamment de petites nouveautés pour se distancer de ses aînés. Ajoutez une bande-sonore digne du premier titre cité précédemment, et vous avez vraiment l’impression d’assister à une interprétation des années 90 du concept du Space Marine qui va affronter seul des milliers d’ennemis. En parlant d’ennemis, ceux-ci sont assez diversifiés, malgré plusieurs qui manquent à l’appel (j’y reviendrai, plus tard). Cependant, c’est surtout la qualité des animations des « sprites », malgré la bouillie de pixels héritée des années 90, qui m’a marqué, et ce, autant durant leurs mouvements, leurs attaquent et leur mort. Qui plus est, je dois insister sur le respect de l’univers. Les horreurs roses, à leur mort, explosent pour donner naissance à deux horreurs bleues, tandis que les nurglings auront tendance à attaquer en groupe. Finalement, les démons morts s’évaporeront en « milliers d’étincelles » afin de retourner dans le royaume de leur maître. Finalement, le choix des couleurs est parfait. Bien que le jeu soit très coloré, le côté crade est omniprésent, et ce, grâce aux explosions de sang, mais aussi par l'intermédiaire de superbes textures. On visite donc des décors où la corruption démoniaque cohabite avec la rouille et la gloire perdue d'anciennes cités impériales déchues. À la lecture de ces lignes, je donne, probablement, l’impression que le jeu est parfait, mais il y a des défauts indéniables qui ternissent le tableau.
Quand je marcherais dans la vallée de la mort, la corruption n’est jamais loin
Le plus gros défaut, du moins pour moi, est l’inconsistance de l’action. En fait, le jeu est divisé en deux phases. Des phases de « mouvements libres », comme dans les anciens Doom où vous vous déplacez librement, puis il y a des phases en arène, à l’instar de Doom 2016. La première phase est beaucoup trop facile et rend le jeu, parfois, limite chiant. Inversement, les combats en arène sont géniaux grâce à une grande verticalité, des munitions, ainsi que des kits de vie/bouclier, bien répartis dans l'arène et, finalement, une bonne dose d'action incessante. Qui plus est, la plupart du temps, les cartes en arène sont vastes et permettent de se déplacer afin de contourner l’ennemi, puis le prendre par surprise. C’est dommage que la phase où on se déplace librement sur la carte n’a pas bénéficié du même traitement. Par ailleurs, je recommande aux joueurs de débuter à « difficile », car la difficulté intermédiaire est vraiment trop facile, parfois. Même moi qui est médiocre aux « boomer shooter », je trouvais le jeu trop facile. C’est vraiment à la difficulté difficile que les premières morts et goûtes de sueur sont apparues. Autre élément décevant, c'est l’inexistence des démons de Slaanesh et de Khorne. Ce manquement est, pour moi, difficilement explicable. Rajoutez à cela un jeu relativement court et vous trouverez rapidement que le prix exigé est, peut-être, un peu trop élevé. Je reviens, maintenant, sur les décors. Ceux-ci sont inégaux. Parfois, ils sont d’une banalité, tandis que d’autres fois, ils sont d’une grande beauté et d’une grande créativité, par exemple : À la fin du premier chapitre, nous sommes appelés à combattre un sorcier de Tzeentch. Celui-ci s’est réfugié dans un univers à mi-chemin entre le monde réel et le royaume de Tzeentch. Ainsi, c’est vraiment plaisant à l’œil de parcourir un univers dévoré par la corruption, des portes qui nous téléportent sur des passerelles où le haut et le bas n’existent bas et où les cieux sont illuminés par une couleur étrange, tandis que les hurleurs de Tzeentch arrivent de partout. Autant le jeu est vraiment plaisant à parcourir lors de ces phases où le décor est recherché, autant parcourir un énième couloir avec des murs de pierre devient lassant. Finalement, un dernier défaut, c’est le peu d’animations (au sens de petit film animé qui dévoile le scénario). Évidemment, exiger des animations dans un « boomer shooter » peut paraître étrange. Cependant, la première animation, qui est un hommage aux animations utilisés dans Dark forces et d’autres jeux Star Wars du début des années 90, comme X-Wing et Tie Fighter, est vraiment plaisante à regarder. C’est triste que celles-ci ne soient pas plus présentes, étant donné la qualité de l’hommage à cette époque du jeu vidéo. En parlant de Dark forces, j’aurais aimé, mais c’est strictement personnel, des objectifs autres que la recherche de clefs. J’imagine, cependant, que cela s’explique par le peu de temps accordé au développement de l’histoire du jeu.
Verdict
Je recommande le jeu, malgré les défauts énumérés. Les qualités surpassent largement les ratés. C’est simplement dommage que ce jeu, dont les bases sont géniales et solides, n’a pu bénéficier de plus d’ambitions. J’ai bon espoir que des mises à jour et des expansions permettront de palier aux défauts cités, particulièrement en ce qui concerne l’inexistence des démons de Khorne et de Slaanesh. Dans tous les cas, j’y retourne, car le jeu est bon et l’année 2023, comme les années précédentes, est d’une grande banalité vidéoludique et culturelle. Warhammer 40k : Boltgun me fait donc comprendre que les perles proviendront des petits studios, plutôt que des géants, encore une fois.
Steam User 8
Tu as la quarantaine? Pas besoin c est pour tous le monde.
En revanche si tu as aimé doom, quake, hexen 1 et 2, exhumed, blood 2 the choosen, et toute cette belle époque et bien fonce.
Attend tu aime warhammer 40k en plus.
euh tu attend quoi la?
Nostalgie des 90s puissance max.
Steam User 10
Better than sex
Steam User 10
Gameplay et graphismes vraiment bon, le top du top serait quand même un mode multijoueur pvp/pve avec possibilité de personnaliser son space marine