The Swords of Ditto
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The Swords of Ditto is now reimagined, retuned and rebalanced in the new expansion, Mormo's Curse! With new areas to explore, new Toys of Legend to find, no more permadeath (unless you want it), and many new features, Mormo's Curse takes the original release of The Swords of Ditto and reworks it in every way imaginable. The Swords of Ditto: Mormo's Curse is a roguelite action RPG that creates a unique adventure for each new hero of legend in the relentless fight against the evil Mormo. Explore a delightful but dangerous overworld, brave menacing dungeons, and improve your hero in a charming village, during your quest to overcome the evil that plagues the island. Unleash the mystical Sword of Ditto and grab a co-op friend for an unforgettable adventure filled with delightful characters, extraordinary loot, and heroic battles!
Steam User 86
Je trouve ça assez fou qu'en 2018, apparemment, on achète un jeu sans même se renseigner suffisamment dessus... Oui c'est un Rogue-lite/like...Oui il y a une limite de temps pour chaque héros...Non, il n'y a pas de coopération en ligne (ce qui est un peu dommage je l'avoue, mais après une discussion avec le développeurs, il m'a avoué ne pas avoir les connaissances nécessaires, ni même l'argent ou le temps pour le faire, et ce même avec l'aide de Devolver) Tout cela à déjà été dit dans la communication du jeu, suffisait juste de se renseigner et pas d'acheter les yeux fermés car "oua le style est kro bô"
Après 10h, je peux vous dire que c'est exactement ce que j'en attendais, j'aime beaucoup le gameplay (a la Zelda ALTTP) avec des jouets en guise d'armes, il y'en a d'ailleurs des surprenants et très agréable a utiliser, des stickers pour améliorer ses stats, à vous de voir quels genres de build vous voulez faire.
La gestion du temps est plutôt difficile à prendre en main lors des premières run, mais je peux vous assurer qu'au bout de la 3ème/4ème, ce sera rentré, et vous verrez qu'elle n'est pas si contraignante.
Bon, le style graphique est très maîtrisé, très détaillé et bien animée, on s'en est tous rendus compte j'espère ?
Les musiques collent bien à l'ambiance et au style graphique du titre.
Un point TRÈS IMPORTANT, ne chercher pas forcément à faire une run parfaite, et ne baissez pas les bras après plusieurs morts consécutives, le monde changera, avec de nouveaux ennemis, qui seront plus fort certes, mais c'est vraiment là que le jeu prend tous son sens, le voir pourrir, muté en quelque chose de moins en moins humains, cela donne vraiment envie de se dire "mince, maintenant je dois y aller, je dois vraiment tout donner pour faire régresser l'emprise de cette sorcière sur le monde" personnellement ça m'as vraiment motivé pour tryhard, établir un plan jeu pour mes nouvelles runs etc...
En résumé, pour moi c'est un grand OUI !
Steam User 29
EDIT: 8/10 j'ai fait une rapide évaluation pour contrebalancer l'insatisfaction moyenne des joueurs steam qui je trouve est injuste car elle sanctionne des problèmes techniques et ne jugent pas le jeu et son gameplay tout comme la communication du developpeur sur le mode multi et les choix de game design quant au timer du jeu qui est certainement le fruit d'un balancing qui ne peu pas être jugé en quelques heures de jeu.
Ma première impression donc on a là un bon mix entre des rogue like comme Enter The Gungeon et Rogue Legacy et le très classique Zelda A link to the past.
Le style graphique est soigné j'ai tout de suite eu un coup de coeur c'est d'ailleur ce qui m'a motivé a acheter ce jeu, les musiques d'ambiance sont super agréables et s'integrent parfaitement à l'ambiance.
On retrouve les ingrédients classiques du genre et les options permettent à chacuns d'adapter la difficulté à l'experience qu'ils souhaitent. Pour ma part je suis resté sur le réglage classique de mort et d'héritage générationnel mon premier run d'environ 2h m'a permis de découvrir les bases du jeu via un bref tuto, le système de quêtes, d'autocollants et d'objets/upgrade et bien entendu de mort qui n'est que le début d'une longue aventure... Bref un jeu conseillé à tout ceux qui aiment les jeux du genre.
Les +:
-Jeu en VF
-Style Graphique au top
-Gameplay fluide et sans bavures (très agréable à la manette)
-Des heures de jeu en perspective pour arriver à terrasser le Boss
-La carte procédurale à chaque nouvelle vie de l'épée
-Le COOP Local
Les -:
-Il faut beaucoup de patience (si vous n'aimez pas les jeux punittifs)
-Pas de Coop en ligne
-un peu difficile de gerer son temps les premières parties (environ 1h30 avant d'affronter le boss)
Steam User 19
Sous un des pires titres de l'histoire du jeu video ("The Swords of Ditto : Mormo's Curse" ?!.. pas très vendeur) se cache, en réalité, un petit bijou édité par Devolver.
Délicieux à parcourir avec un(e) enfant, ce jeu vous propose un hack n'slash dans un décor coloré, mignon, coquet.
Il oscille entre une direction artistique enfantine et un gameplay bien nerveux, ramassage de butin, collecte d'équipements, upgrades, tout ce qu'on est en droit d'attendre.
Mais pas seulement !
C'est un ancien rogue-like, qui s'est fait basher par la communauté; les développeurs ont donc revu entièrement leur copie pour proposer des options plus confortables : ainsi, chacun fera à sa sauce, chacun arpentera ce monde à sa manière.
On peut opter pour le mode "détente" où la mort n'est qu'anecdotique, jusqu'au rogue-like à l'ancienne, avec mort permanente.
Chaque run nous invite à visiter le pays, reformé aléatoirement dans certains aspects, défourailler du monstre à tour de bras, entrer dans des grottes et donjons, dont certains assez retors (avec énigmes).
La coppération locale est plus que bienvenue, que ce soit en combat ou lors de séquences avec leviers / dalles mobiles etc.
Le but est de libérer la contrée de la terrible sorcière Mormo, pour cela on a un certain temps / nombre de jours, puis il faut monter au créneau et lui mettre sa baffe (mais pour nous, ce fut l'inverse : au terme du premier run, on s'est faits déchiqueter par les sbires de Mormo). Lors des parties suivantes, d'autres héros, quêtes, et défis attendent les aventuriers.
Tout est parfaitement huilé, bien pensé, très bien amené, notamment toute la partie sonore, la musique s'avérant hypnotique et tripante !
Comme le jeu est entre deux eaux, à la fois enfantin et adulte, je conseille réellement de le parcourir avec un(e) jeune gameur/gameuse pour lui apprendre les bases de la coop' et du hack n'slash / action RPG.
Au terme du premier run, ma coéquipière de 4 ans avait comme "passé un cap" et en tant que fan de Diablo, je confesse avoir vibré de la voir s'aguerrir de la sorte.
Je ne conseille pas de faire "The Swords of Ditto : Mormo's Curse" si vous êtes un adulte solo, ou alors il faut vraiment avoir "l'esprit ouvert" et "un coeur d'enfant" : )
Steam User 15
Annoncé il y a un peu moins d’un an, The Swords of Ditto avait su retenir l’attention du public, à mon sens, via trois aspects : des graphismes mimi tout plein, la bonne séquence de Devolver Digital qui a produit dernièrement une série de jeux cools et son aspect Rogue Like auréolé d’un esprit à la Zelda. Alors nos rêves, nos espoirs et nos attentes, sont-ils comblés ?
Condition de test :
Le mode multijoueur n’ayant pas été testé, ce dernier ne sera pas abordé dans le présent "papier". Enfin, ce point de vue a tout simplement été réduit de son format orginal à cause de la limite de caractères.
Mais, avant de nous lancer corps et âmes perdus dans cette aventure, faisons un rappel du pitch de départ. Pour faire simple, « l’infâme Mormo » étend son influence maléfique sur le royaume et c’est vous, oui, vous l’Epée de Ditto qui avait été choisie pour rétablir paix, bonheur et justice sur cette province. Le petit « Hic » dans tout ça, c’est que la boucle se répète et que tous les 100 ans, Mormo revient. En gros, que vous ayez triomphé ou péri, le résultat est peu ou prou le même puisqu’il vous faudra à nouveau l’affronter un certain nombre de fois afin de pouvoir percer le mystère de l’île. Pire, vous n’avez qu’un temps limité pour vous préparer à affronter la terrible sorcière…
Pourquoi ne pas débuter notre aventure par une scène de réveil ? Cette fois, je me réveille sous les traits d’un batracien mais j’ai déjà été chat, singe et même une aventurière en tunique verte de la tête aux pieds, similitude avec Zelda, vous avez dit ?! Mais pas du tout, c’était Robin des Bois !
A chacun de mes levers, le monde changera tout également mais impossible de reconnaître une quelconque topographie où je pourrai mesurer les dégâts causés par la diabolique sorcière, les lieux différent à chaque fois ou presque… Ok… Ayant perdu face à elle avec mon précédent avatar, les maisons de la ville sont légèrement détruites d’extérieur…
Bref, me voilà prêt à en découdre, après une énième monologue de mon fidèle bousier. Débilité sénile qui accapare l’esprit de mon fidèle compagnon, voilà qu’il me refait un topo de la situation et me propose d’aller récupérer l’artefact associé à ma condition d’Epée de Ditto, à savoir mon épée…
Mais où peut-elle être bien cachée ? Après tout, je suis mort lors de ma précédente incarnation et ces horribles forces démoniaques ont dû la faire garder pour que je ne retrouve jamais mes pouvoirs. Hé bien, comme à ma grande surprise et comme à chaque fois, la légendaire épée de Ditto ne se cachera pas au fin fond d’un donjon lugubre, elle est là, oui là, juste sous mon nez à quelques pas de ma chaumière ! Ils ont même pris le soin de faire une belle tombe !
Accompagné de mon fidèle Jiminy Cricket, je saute de mon lit et me lance à sa recherche pour retrouver l’ensemble des mes facultés. Si cette simple introduction peut paraître sympathique la première fois qu’elle se déroule sous vos yeux, je peux vous assurer qu’au bout de la trente sixième fois, vous n’aurez plus du tout le même regard vis-à-vis de cette dernière : le personnage qui vous sert de guide est insupportable, il radote sans cesse les mêmes histoires et pour atteindre le dit cimetière où vous récupérerez vos pouvoirs, il vous faudra bien quelques minutes tellement le personnage privé de ces pouvoirs est horriblement lent. On aurait aimé pouvoir sauter cette étape pour se lancer directement dans l’aventure. Mais après tout, ce n’est qu’un détail.
Après l’avoir récupérée, voilà que ma panoplie d’action se développe, je deviens le pro des roulades et d’une simple pression de bouton, je taillade l’ensemble des arbustes qui s’offrent à moi, j’ai quelques bombes et je pourrai même avoir un arc… Jouabilité classique, s’il en est.
Mon but est simple, me préparer à l’ultime affrontement où il n’en restera plus qu’un : Mormo ou moi, la super-grenouille, et pour se faire, il me faut affaiblir son pouvoir et donc battre ses deux sbires. Autre point, des artefacts, d’autres diront des « jouets de légende » sont nécessaires afin de pouvoir entrer dans leur repaire et résoudre les énigmes qui s’y cachent…
A ce moment précis, attardons-nous sur la direction artistique de The Swords of Ditto qui est clairement un argument de vente : les environnements y sont beaux, les personnages mignons tout pleins, c’est vrai pour les PNJ qu’on croise et également pour ceux qu’on incarne. Parmi toutes les itérations de vous-même, au fur et à mesure des combats contre Mormo, il y en aura forcément une qui sera à votre goût.
Les environnements sont plaisants même si redondants et vous rappelleront forcément Zelda. Je ne peux m’empêcher malgré tout de faire du mauvais esprit et d’y trouver un petit côté jeu « flash » et même quelques similitudes avec le dénommé Rampage Knights sorti il n’y a pas si longtemps.
Mais revenons-en à nos moutons, vous avez quatre jours avant la confrontation, il faut donc rapidement se mettre en route vers votre première quête qui se situe à l’opposé de votre position. Si au début, la contrainte temps peut paraitre étouffante, elle n’en est rien. Vous trouverez, au fur et à mesure de vos périples, des moyens de contourner et d’assouplir cette limite de temps ; de plus, l’horloge qui tourne ne frustre jamais au point de conclure prématurément l’aventure. C’est donc un bon point.
Nous voilà donc à aller piller notre premier artefact ! Pour arriver jusqu’à notre destination, je trucide quelques monstres qui se trouvent sur mon chemin et j’engrange encore et toujours de l’expérience ! Mais une fois ma destination arrivée, la porte menant au donjon refuse de s’ouvrir et me demande d’atteindre le niveau suffisant en termes d'xp. Mauvaise pioche que voilà ! Il faudra donc faire une petite session de level-up ! A mon sens, ce système de ne sert qu’à encombrer l’aventure car aussitôt avez-vous gagné quelques points de vie, d’attaque et autres ; aussitôt les ennemis se mettent à jour. Vous me direz cela maintient un système d’équilibre, d’accord. Mais était-ce nécessaire d’avoir une progression tout simplement irréelle ?
Finalement, la porte s’ouvre et armé de mon épée, nous pénétrons dans le donjon prêt à résoudre les plus odieuses énigmes et à affronter les ennemis tapis dans l’ombre.
Pour la première partie, les énigmes sont des plus classiques et ne se renouvellent jamais vraiment vous proposant pour la majorité de jouer à « jour/nuit » sur des interrupteurs des salles du donjon. Pour les ennemis, je les découpe et me prends, malgré une dextérité légendaire, quelques coups çà et là. Car, vous le découvrirez bien assez tôt, il y a quelques sujets de hitbox et de lourdeurs lors de vos affrontements, qui a dit jeu flash ? Après moult efforts, finissant par arriver à la fin de ce premier donjon, je récupère mon premier objet, un vinyle qui me servira de disque coupant et qui est l’un de ces « jouets de légende » dixit mon fidèle acolyte, mais si rappelez-vous le bousier Jiminy Cricket ! Ce même insecte qui vous déroule des blagues sensées vous faire rire.
Passé l’acquisition de mon « jouet de légende », je collecterai d’autres objets lors de mon avancée. Les premiers sont tout simplement d’autres armes secondaires aux pouvoirs plus ou moins funs. Les seconds des espèces de mémo vous racontant l’histoire du jeu, sans queue ni tête, qui, à part clémence extrême de votre part, finiront tout droit dans un musée. Les derniers sont des autocollants qui apportent des avantages sur les compétences de votre personnage dans le genre « Augmentation de l’attaque de 7% ! » ... Qui dit récupération d’objets, dit aussi peut-être gestion d’objets ? Cette gestion d’objets aurait pu faire le sel de The Swords of Ditto en nous imposant des dilemmes en vous proposant d’échanger telles capacités pour telles autres. Malheureusement ce n'est pas le cas. Dommage....
Steam User 11
Hey ! Listen !
The Swords of Ditto: Mormo's Curse est un jeu d'action-RPG rogue-lite sympathique à l'ambiance enfantine rappelant et s'inspirant d'une très célèbre licence de Nintendo : Zelda.
Tous les 100 ans, la terrible sorcière Mormo se réveille avec son armée et s'apprête à plonger le monde dans le chaos. C'est là qu'un héros se révèle et, dans la continuité de ceux qui l'ont précédé, sort l'épée légendaire de son socle afin de devenir à son tour l'une des épées de Ditto. Sa tâche sera de récupérer les jouets légendaires et de battre Mormo afin de sauver le monde...avant son prochain réveil, dans 100 ans.
C'est un jeu très inspiré des "vieux" (car je n'ai pas fait les "récents" donc je ne saurais dire) Zelda. Mais comme je l'ai dit dans ma première phrase, c'est un jeu à l'ambiance très enfantine. Ici pas de Master Sword mais l'épée de Ditto, pas d'ocarina mais un kazoo, et pas de fée ennuyeuse pour nous aider mais un bousier magique...dont l'efficacité reste encore à prouver. Les graphismes et les personnages sont mignons, les ennemis aussi (d'une certaine manière), les objets légendaires sont des "jouets" (vinyle-frisbee, drone télécommandé, club de golf, etc...), et l'humour est constamment présent. Toutefois attention, derrière ses airs mignons, The Swords of Ditto n'est pas pour autant un jeu facile à faire.
Le côté action-RPG, c'est celui de Zelda. On se réveille dans son lit, le bousier nous dit qu'on est l'élu et qu'à ce titre il est temps de se bouger les miches, on va récupérer l'épée et le stuff...voilà pour le début. Ensuite, il faut parcourir le "monde" pour localiser les donjons des jouets légendaires (2 par run). Ces jouets légendaires servent à ouvrir et terminer des donjons d'épreuves, permettant de détruire les ancres de Mormo afin de l'affaiblir en prévision du combat final. Une fois Mormo vaincue, elle disparaît pour 100 ans, et à son prochain réveil, rebelote, une nouvelle épée est désignée par le bousier et part affronter Mormo.
Ce sont les grandes lignes, mais bien sûr il y a autre chose à faire dans un run. En explorant on trouvera toutes sortes de choses pour agrémenter notre aventure, comme des autels pour obtenir vie et temps supplémentaires, des PNJ vendeurs et amicaux, des grottes et petits donjons pour récupérer du stuff, des badges pour incarner d'autres espèces de héros (renard, chien, singe, grenouille, lapin, etc...), et des autocollants pour profiter d'une multitude d'avantages. Il ne faut pas lésiner sur l'exploration, le plaisir de jeu passe grandement par cette étape et l'amélioration de notre personnage également.
Entre chaque run, on ne recommence pas tout du début (enfin, si on gagne en tout cas). On garde notre niveau, et si on a réveillé la divinité des sanctuaires, il est aussi possible de garder une partie de son stuff en échange de cristaux (l'une des monnaies du jeu). Je crois avoir lu qu'il y avait une mort permanente dans le jeu, mais n'ayant pas perdu je ne saurais dire ce qui se passe dans ce cas...et non je ne compte pas prendre le risque de perdre ma sauvegarde pour voir ce que ça donne.
Le côté rogue-lite, c'est ce qui rend chaque partie unique, et pourtant...c'est aussi ce qui rend le jeu assez répétitif. D'abord, la carte du monde est procédurale, donc je reviens dessus mais l'exploration est d'autant plus essentielle. Mais si la forme, le contenu et la disposition de la carte du monde change entre chaque partie, ce monde utilise toujours les mêmes biomes (très beaux, là n'est pas le problème). Les biomes ont leurs propres bestiaires (variés, là n'est pas le problème). Et du coup, finalement, même si le chemin est différent, le visuel du biome et ses ennemis sont très souvent les mêmes. Et comme il faut 5-6 parties pour voir la vraie fin, on a le temps de se lasser avant le dénouement "final".
De plus, à chaque partie il faut récupérer les 2 jouets légendaires du run pour faire les donjons d'épreuves. Ces donjons sont bien sympas car ils demandent d'utiliser ces jouets pour avancer, et donc un donjon sera différent d'un autre dans ses puzzles et "énigmes", ce qui amène une petite variété de gameplay très chouette. Petit soucis, en 5 runs, donc avec 10 jouets légendaires, je n'en ai eu que 4 différents (4x le drone, 4x vinyle-frisbee, 1x le club de golf, et 1x l'anneau laser). Donc malheureusement...les donjons d'épreuves aussi ont tendance à se répéter.
Et outre le fait qu'on doive à chaque run refaire la même succession de choses (jouets légendaires, donjons d'épreuves, Mormo), il faut aussi en début de chaque run se retaper l'introduction (c'est-à-dire le réveil de la nouvelle épée, récupérer son stuff, et aller voir Mormo pour qu'elle lance sa malédiction). Cela rajoute encore une couche de répétition.
Mais, même si ça semble (et est) très répétitif, le côté unique de chaque run est pourtant là. La ville est différente, la carte du monde et son contenu aussi bien sûr. On peut changer de personnage entre les runs. Et Mormo lance même une malédiction lorsqu'on va la voir au début du run. Cela peut être un temps limité avant d'être obligé de l'affronter (4 jours, avec tout de même la possibilité d'allonger la durée avec objets et sanctuaires), ou encore un némésis invincible qui nous poursuivra sans fin, presque partout où on ira... Alors oui ça rajoute du "ch*ant" sur du répétitif, maaaais...ce n'est pas le même truc "ch*ant" à chaque run. C'est bien. Enfin je crois...
Personnellement, j'ai bien aimé mon expérience sur The Swords of Ditto: Mormo's Curse. Et cela très possiblement parce que je n'y ai pas joué tous les jours, ainsi le côté répétitif m'a moins affecté que si j'avais enchaîné tous mes runs sur une semaine. Du coup c'est un conseil que je vous donne, à moins d'être particulièrement emballé par le jeu en y jouant, prenez bien votre temps pour jouer et avancer car cela atténue la répétition du titre sans affecter le plaisir d'y jouer. Comme "jeu d'accompagnement", il est bien sympa. Coloré, mignon, avec un bon gameplay et un peu de challenge, il peut vous occuper plus d'une vingtaine d'heures si vous cherchez à voir la vraie fin et obtenir le 100% succès. Pour ce bon rapport qualité/prix, je ne me vois pas donner autre chose qu'une évaluation positive.
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Steam User 14
Après 8h de jeu, je peux vous l'assurer, ce jeu vaut son prix.
Son univers visuel, son gameplay, sa diversité, son ambiance, donnent un aspect original et assez unique !
Je ne fais jamais d'évaluations de jeu, mais honnêtement, celui-ci mérite amplement un petit effort de ma part.
Vive Devolver (soit dit en passant)
Steam User 7
Venez parcourir le monde de ce rogue-lite où vous avez 5 jours (3 jours en difficile) pour vous équiper, faire les donjons et tuer la grande méchante.
Ce jeu est un mix entre Zelda: Link's awakening et Majora's Mask. C'est mignon, l'univers est sympa, l'histoire est simple voir simpliste mais il y a quelque chose qui nous fait revenir débloquer les nouveaux pouvoirs. La mort n'est jamais une fin en soit.
A 10-15€ c'est du bon.