The Swindle
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The Swindle is a steampunk cybercrime caper about breaking into buildings, hacking their systems, stealing all their cash, and quickly running away again before the police show up. All the buildings you’ll be robbing are randomly-generated, so you’ll never get the same level twice. Meanwhile, from the safety of your rickety airship up in Outer Space, you can modify your thief with new skills, tools, and all manner of advanced technological horrors, allowing you to take on bigger buildings with better security, for gargantuan rewards! Have you got what it takes to pull off The Swindle?
Steam User 13
Á la recherche d’un jeu de braquage 2D ? Arrêtez vous, « The Swindle » est là. Mais vaut-il vraiment le coup? Nous allons tentez de répondre à cette question tout au long de cette review.
Je tiens à dire qu’il m’a fallu quand même une bonne vingtaine de minutes et plusieurs tonnes de cheveux arrachés avant de comprendre le principe de ce jeu.
Tout d’abord avant de parler gameplay parlons un peu du jeu dans sa globalité. Notre personnage est un voleur (nous aurons même le droit à plusieurs voleurs différents), oui jusque là pas de grande nouveauté, mais un voleur qui s’apprête à faire le grand saut, qui s’apprête à faire la tournée des casses. Nous aurons alors 100 jours pour faire le plus de casses possibles. 100 jours mais pourquoi ? Au bout des 100 jours, les forces de l’ordre enclencheront le « Devil’s Balistik » qui aura pour but de supprimer toute criminalité.
Mais, on fait quoi pendant les 100 jours ? Et bien c’est là que cela devient intéressant. Au début notre personnage n’est qu’un voleur amateur. Nous commençons sans capacité particulière. Il faudra donc effectuer quelques petits braquages, créés aléatoirement, afin de récupérer de l’argent.
Mais bien sur l’argent sera dépensé, afin de pouvoir acheter de nouvelles compétences, comme pouvoir hacker un ordinateur afin de récupérer de l’argent (en appuyant sur la touche action et de temps à autre une autre touche, ce qui fait office d’un mini jeu) ou encore un double saut. Il faudra réussir chaque jour un bon braquage afin de pouvoir s’acheter le maximum de compétences pour la suite.
Un grand braquage dans tout ça ? Eh oui, le braquage final consiste à voler le « Devil’s Balistik » et ainsi empêcher les forces de polices steampunk d’arrêter toute criminalité !
On commencera donc avec un personnage aléatoire qui sera reset si vous vous faites attrapez ou tuez.
Garder le même voleur vivant pour plusieurs braquages nous permet de gagner des multiplicateurs de bonus, ce qui signifie que vous pouvez gagner d’énormes sommes d’argent dans les futurs braquages.
Mais bien entendue, qui dit braquage, dit agents (robots) de sécurité ou encore policiers. Nous pourrons croiser des agents de sécurité qui n’ont pas une bonne distance de vue (ce qui nous permettra à plusieurs moments de ne pas se faire repérer de justesse) et qui une fois que nous somme repérés feront tout leurs possible pour nous tuer. Une fois repéré, il faudra alors se dépêcher, deux solutions s’offrent désormais à nous. S’enfuir ? Rester pour avoir plus d’argent et partir après ?. La première solution reste la plus simple et même parfois la plus intelligente. Le fait de n’avoir que 100 jours peut rajouter un autre coup de pression. On peut se dire « Non faut que je gagne plus d’argent » ; La seconde solution est donc assez risqué. Á partir du moment où une personne nous repère, une sirène commence à retentir et cela signe l’arrivée imminente de la cavalerie. Les ordinateurs que l’on pouvait hacker pour gagner de l’argent commenceront à en perdre petit à petit, pour atteindre le seuil de 0.
Une fois la police sur les lieux il sera presque impossible de les esquiver. Il faudra tout de même faire attention à ne pas mourir, oui parce il n’y a pas que les forces de l’ordre qui sera à nos trousse, il y a également des pics où un simple effleurement peut s’avérer fatal pour notre personnage. Une fois notre héro attrapé ou par la pire des occasions, mort, la journée se termine et nous n’aurons rien gagné.
A noter également que plus on avance, vers le jour J plus les braquages seront compliqués en rajoutant d’autres ennemis sur la carte comme des caméras de surveillance.
Il y a également plusieurs niveaux, mais pour pouvoir y accéder il faudra récupérer de l’argent dans les niveaux déjà débloqués, afin de pouvoir déverrouiller les compétences requises pour le
prochain niveau.
Du côté des graphismes, The Swindle intègre parfaitement bien le style « steampunk » (style rétro futuriste). Du côté de nos personnages , chacun d’eux sont vraiment différent, en passant d’une veille personne à un jeune adulte. Même à l’arrière plan le thème steampunk est bien représenté avec les différents bidonvilles ou autres décors variés.
Si vous cherchez un jeu de braquage assez stressant et avec une bonne durée de vie, n’hésitez plus
Steam User 7
Les critiques professionnelles comme populaires n'ont pas été tendres avec "The Swindle", ce qui me fend le cœur puisque j'aime beaucoup ce jeu: j'ai pris beaucoup de plaisir tout au long des plusieurs dizaines d'heures nécessaires pour le battre et gagner la plupart de ses succès.
"The Swindle" nous fait jouer un gang de cambrioleurs dans un Londres victorien steampunk, où même les plus pauvres gèrent leurs comptes en banque depuis des ordinateurs à vapeur, et où des robots patrouilleurs protègent leurs maisons. Le pitch est le suivant: Scotland Yard inaugurera dans 100 jours un système de surveillance sophistiqué rendant tout cambriolage impossible, il incombe donc à notre gang de voler assez d'argent durant ces 100 jours afin de monter un casse permettant de subtiliser le système avant son activation - on devra d'abord cambrioler des maisons pauvres faciles d'accès, puis après avoir volé assez d'argent pour améliorer notre matériel, accéder à des maisons plus riches avec plus d'argent permettant d'acheter un encore meilleur matériel, etc. jusqu'à être suréquipé pour infiltrer Scotland Yard.
En pratique, "The Swindle" est un "Rogue-lite" qui porte bien son nom ("rogue" veut dire "bandit" en anglais), rappelant beaucoup "Spelunky": les maisons cambriolées sont générées aléatoirement mais suivent des règles d'architecture, d'ennemis, etc. dépendant du quartier dans lequel elles se trouvent, assurant ainsi une certaine cohérence et un gameplay renouvelé à la difficulté progressive. Le jeu propose cinq quartiers différents, de plus en plus riches et de plus en plus sécurisés, puis Scotland Yard, lui aussi généré aléatoirement à chaque tentative.
Les cambriolages consistent en un mélange de platforming, d'infiltration simple (comme un "Mark of the Ninja" ouvert et épuré), d'exploration et de stratégie (bien choisir le bon outil adapté à chaque situation). Contrairement à "Spelunky", le temps n'est pas limité et joue toujours en notre faveur: il vaut mieux examiner soigneusement une maison (notamment en passant par les toits) avant de se lancer dans l'action, et il vaut mieux attendre que les robots patrouilleurs se mettent d'eux-mêmes en situation d'être neutralisés plutôt que s'exposer et se faire tuer bêtement ou être découvert (dans ce dernier cas, l'alarme sera donnée, les lieux deviendront beaucoup plus dangereux, et il faudra déguerpir avant que la police n'arrive).
En fait, ce qu'il y a de bien avec "The Swindle", c'est qu'on y est très libre: si un niveau ne nous plaît pas, on peut faire demi-tour et en essayer un autre (mais en perdant une journée), ou se contenter d'y voler uniquement l'argent le plus accessible, etc. Bien sûr, certaines mécaniques nous incitent à collecter tout ce que l'on peut: si l'on a absolument tout volé dans une maison sans se faire repérer, on obtient un gros bonus de "ghosting" doublant quasiment nos gains, et si l'on y a volé plus de 80% des richesses, le casse est jugé "réussi" et notre voleur gagne de l'expérience, qui multipliera les gains lors de ses casses suivants. Si notre voleur est tué (dans cet univers, il n'y a pas de sommation pour les cambrioleurs), la journée en cours est perdue, le multiplicateur de gains est réinitialisé, et l'on continuera avec un autre voleur tiré au hasard, le jeu se joue donc comme si l'on avait 100 vies.
Pour accroître sa souplesse, "The Swindle" comporte aussi un aspect "gestion" avec le retour à la planque de nos cambrioleurs et l'achat de nouveaux pouvoirs, qui sont très variés: il y a l'agilité avec des doubles et des triples sauts, les capacités qui permettent de taper plus fort avec sa matraque ou de hacker les ordinateurs plus vite, les lentilles qui situent les ordinateurs et les centres de sécurité ou qui évaluent la quantité totale d'argent à voler dans une maison, et surtout, les outils permettant de projeter un nuage de vapeur pour se dissimuler, de poser des explosifs capables de détruire le décor, de faire sauter à distance les mines et certains moteurs à charge électrostatique, etc. - les possibilités sont nombreuses, je ne les ai bien sûr pas toutes citées, et elles changent radicalement notre façon de jouer.
Cette liberté ainsi que la structure propre au Rogue-lite, et le fait que le jeu soit très permissif (100 jours, c'est amplement suffisant une fois que l'on a maîtrisé le jeu, je l'ai battu en deux fois moins) font que "The Swindle" peut devenir très addictif, le jeu évoluant de surcroît en cours de route grâce à des obstacles et des outils qui se renouvellent très régulièrement. Sa direction artistique est de plus excellente et sa bande originale est fantastique.
Hélas, le rejet général du jeu se comprend facilement: il a de gros problèmes de maniabilité.
En elle-même, la maniabilité de "The Swindle" est très spéciale, assez "lourde" et cherchant sans cesse à nous coller aux murs, ce qui est très pratique puisque l'on passe effectivement beaucoup de temps accroché aux parois, mais ce qui exige aussi un gros temps d'adaptation et peut causer des erreurs. En plus de ça, le jeu a des problèmes de fluidité occasionnels - c'est léger mais aggrave encore l'impression que les contrôles sont approximatifs. Et enfin, et c'est lié aux problèmes précédents, le jeu a des bugs: principalement, les commandes ne répondent parfois plus du tout pendant un court instant, ce qui dans un jeu aussi hostile et complexe conduit en général à la mort de notre personnage dans la seconde qui suit - c'est rare et peut parfois se rattraper, mais ça arrive.
"The Swindle" est un jeu reposant moins sur l'adresse que sur l'analyse de l'environnement et sur la méthode, sa quête principale est très accessible (la mort d'un voleur n'y est qu'un simple contretemps): avec de la pratique, on peut donc composer avec ces défauts, mais ils restent inacceptables pour beaucoup de joueurs (sur le principe, je suis d'accord avec eux).
J'adore néanmoins "The Swindle". Objectivement, je sais que "Spelunky" est un meilleur jeu, sans défaut de performances ou de contrôles, mais je m'y amuse beaucoup moins: il est incroyablement satisfaisant de dépiauter obstacle par obstacle une immense demeure hyper sécurisée pour la laisser sans le sou sans avoir été repéré. En fait, le jeu me rappelle avec un grand bonheur "Impossible Mission" sur micro-ordinateurs 8-bit (et, par extension, il me rappelle la série TV des années 1960). J'admets que mon expérience de l'époque explique très certainement ma bienveillance, mais dans les faits, j'ai tout simplement passé un très bon moment avec "The Swindle".
(liste de toutes mes évaluations sur mon blog)
Steam User 1
Un excellent jeu qui montre qu'un roguelite n'a pas besoin d'être l'enfer de l'aléatoire hermétique, où les objets et le bestiaire sont toujours pantagruéliques. C'est maladroit, un petit peu, mais l'exigence et la richesse de l'expérience du cambrioleur font que The Swindle est un choix rare, précieux, pour qui veut s'essayer à un roguelite où la progression se ressent à tous les niveaux. Le danger, comme la puissance.
Steam User 0
Un plateformer simple par ses mécaniques mais ardu par le level design et les ennemis. Le principe est simple : vous avez 100 essais pour arriver à faire du dollars afin de passer (acheter) le niveau suivant, et améliorer votre personnage au passage, en retentant autant de fois que vous voulez les niveaux débloqués, qui change à chaque essai et se renforce au fur et à mesure en sécurité.
L'idée est de toujours vous mettre sous pression et vous passez à être greedy, en prenant un max de risque au passage. Devinez quoi ? Ca marche. Votre nombre d'essai pour finir le jeu est limité, donc plus vous rater ou ne faites pas assez de thune par run, plus le jeu vous incite à prendre des risques pour faire plus de cash, qui donneront lieu à plus de raté, qui vous mettront encore plus la pression, vous poussant encore à plus de risque, ainsi de suite.
L'intérêt de cette boucle de tension ? Quand vous arrivez à vous barrez avec les flics au cul à un cheveu, les poches pleines à craquer que vous allez tout de suite dépenser pour vos améliorations que vous miroitez depuis quelques niveau, la sensation de victoire est largement plus éclatante. Plus vous êtes sous pression dans The Swindle (ce que le jeu développe graduellement), plus la victoire est grisante.
Et forcément en s'approchant de la fin du jeu, les niveaux augmentant en difficulté et le temps manquant, la pression monte d'un cran, encore et toujours plus, rendant le jeu de plus en plus dur et palpitant.
L'ambiance steampunk mélangé dans un style cyberpunk de hack et de robot pour un plateformer de braquage de haut vol, franchement y fallait y penser, et ça marche ! Surtout grâce à la bande son, qui a le don de donner un thème, parfois étrange et pourtant qui sonne juste, exclusif à chaque niveau et pourtant toujours dans le ton général du jeu. La BO est cohérente entre elles, et ne s'égarent pas.
Le son génialissimme d'entrée fixe tout de suite le ton de toute façon.
Bémol : le jeu est facile à prendre en main, mais dur à plier. Vous ne réussirez surement pas du premier coup, et surement pas avant un paquet de game over si vous êtes une chèvre en plateformeur comme moi.
Cas échéant, petit conseil : jouez le jeu et allez au bout de vos 100 vies, en vous faisant plaisir sur les upgrades mais tout en montant les levels, ça vous entrainera et vous préparera pour la suite.
Finalement une bonne durée de vie si vous osez devenir meilleur et jouer le dy & retry, ne pas hésiter à espacer les sessions de jeu ou ne pas en faire de trop longue, en terme de concentration ça peut vite lacher ou devenir le sel si on force trop.
N'hésitez pas à prendre votre temps et viser plus simple si vraiment vous ne vous en sortez pas. La structure typique du jeu est : scout le niveau, préparer un plan d'action, l'exécuter, ça tourne au vinaigre, vous barrez en catimini sans mourir en essayant de gérer le timing avec l'arrivée des flics, et auquel de votre talent et du design du niveau pour vous barrer à leur barbe malgré tout. Et mourir. Bêtement. Un peu trop souvent.
Même si vous n'aimez pas ou pas trop le plateformer comme moi, je le recommande vivement, à moins d'être allergique sévère au die and retry, qui a un ton léger et sans conséquence immédiate et punitive ici, ce qui rend la chose agréable et praticable (par contre pas sans conséquence, à savoir monter la pression, comme toujours). Surtout pour le prix actuel
Steam User 1
The Swindle est un jeu très exigeant. Rien n'est plus gratifiant que de parvenir à patiemment apprivoiser sa difficulté.
Pour un avis plus détaillé, je vous invite à lire mon test sur Factornews.
Ma conclusion :
Terriblement addictif, The Swindle nous met les nerfs en pelote, hisse l’appât du gain sur un piédestal et nous rappelle sèchement qu’une mauvaise décision est généralement sanctionnée par une fin pitoyable. À déconseiller toutefois à ceux qui ne savent pas rire de leur propre maladresse ou qui ont tendance à vite perdre leur calme.
Steam User 0
Un bon jeu d'infiltration avec un peu d'arcade qui développe pas mal de mécanismes sympa (piratage, crochetage, bombes à désamorcer, drone à retourner contre la police) et on prend plaisir à faire évoluer le personnage avec l'arbre de compétences. Les graphismes et la musique rendent bien l'atmosphère ("steam punk victorien").
Ce jeu aurait été excellent s'il n'avait pas (beaucoup) des petits défauts frustrant l'expérience :
-la génération semi-aléatoire des niveaux mènent parfois à des structures peu logiques/inintéressantes et il y a même quelques cas où j'ai du flinguer le cambrioleur car j'étais bloqué (ex : tombé de l'autre côté du bâtiment et impossible de remonter). La difficulté du niveau dépend pour beaucoup de cette génération aléatoire.
D'autres fois, les niveaux ne sont pas terminables complètement sans une compétence avancée (par exemples les bombes qui permettent d'accéder à des zones sans portes).
-les mouvements sont un peu patauds. Je suis mort pas mal de fois à cause de cette jouabilité (notamment les sauts) que je pense volontairement pataude.
Les mécanismes de sauts/accroches sont horribles. les hauteurs de saut ne sont pas contrôlable Le personnage cherchera toujours à s'accrocher à la plate forme du haut. Je suis mort un nombre incalculable de fois à cause de cette option merdique.
Les chutes ne sont pas contrôlables : si vous ratez un saut à cause d'un problème décrit précédemment, le perso va tomber en ligne droite et vous mourrez.
-des petits bugs mineurs : le perso est parfois complètement bloqués sur les marches d'escalier : il faut utiliser la vision panoptique (oeil dans l'arbre de compétence) pour le débloquer, mais on a le temps de mourir 10 fois dans certains cas... Et si vous n'avez pas l'option, vous n'avez plus qu'à suicider votre personnage.
-Les pièces sont parfois vraiment monochromes, et l'oeil mélange alors les pièges avec le décor. Les "pièges caméléons" ne sont pas justes ! Vous réussissez le cambriolage parfait et bam vous mourrez à cause d'un ennemi "caméléon". Parfois même en mettant le jeu en pause et en regardant bien la scène, on ne distingue pas les zones de surveillance des robots (jaunes sur fond jaune).
-Vous avez 100 jours (100 cambriolages) pour terminer le jeu, et il faudra reprendre tout de zéro à la fin si vous échouez : cela rend le jeu un peu répétitif au delà de 10-12h (découvertes des différents niveaux).
-Les bonus ne sont pas expliqués. J'ai passé 15h à essayer de finir les niveaux avec le bonus "ghost" en tuant les ennemis avant de me rendre compte qu'il suffisait de siphonner l'argent.
-Ces 100 jours sont calculés juste : vous n'avez pas beaucoup le droit à l'erreur. Un mécanisme permettant d'allonger le délai moyennant finance (virtuelle) existe, mais la somme grimpe de façon exponentielle.
Bref quand vous arrivez 50 fois au nivau final et que vous mourrez à cause d'un bug/problème de conception, c'est hyper frustrant.
Point positif : le jeu a une version Linux cachée (en beta) et fonctionne aussi parfaitement avec Proton.
TLPL : un bon jeu d'infiltration qui rate le 18/20 à cause de petits bugs/problèmes de conception.
Steam User 0
Ce jeu est vraiment un trés bon rogue-lite plateformer. Cependant le déplacement du perso est assez rugueux et cela rend le gameplay trés précis. Pour ma part je l'ai terminé de nombreuse fois et je ne m'en suis pas lassé pour autant.