The Long Journey Home
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There are a million stars in the universe. Only one of them is Home. It was supposed to be a short test run – a quick flight to Alpha Centauri and back. But when mankind’s first experimental jump drive goes wrong, you and your crew find yourselves trapped on the wrong side of the galaxy. Now, you are entirely on your own – and the only way back leads through the vast unknown of outer space. On your strange journey, you will encounter unforeseen obstacles and unimaginable treasures. You will fail and you will pick yourselves up again. You will suffer painful losses and also make new friends – in a vibrant universe that changes its design with every new journey. Your most important goal: Bring your crew back home to their families and friends.
Discussion sur le jeu
Steam User 1
Histoire :
Tout commence bien : la Terre fête son premier saut interstellaire. Champagne, applaudissements, photo de groupe…
Mais évidemment, rien ne se passe comme prévu : votre équipage se retrouve propulsé à l’autre bout de la galaxie, sans manuel, sans support technique, et avec une seule mission — rentrer à la maison.
➡️ Ce n’est pas une histoire linéaire, mais une épopée procédurale, remplie de rencontres extraterrestres étranges, de dilemmes moraux et de choix à la “faut-il trahir ces aliens pour survivre, ou mourir dignement en manque d’oxygène ?”
Chaque partie écrit son propre roman spatial, souvent tragique, parfois absurde… toujours mémorable.
Gameplay :
Exploration spatiale : naviguez entre systèmes, gérez le carburant, réparez vos modules et gardez vos membres d’équipage en vie (ou du moins, pas trop morts).
Atterrissages planétaires : mini-jeux d’adresse à la Lunar Lander, souvent stressants, surtout quand votre vaisseau rebondit comme une savonnette sur un sol alien.
Diplomatie intergalactique : chaque espèce a sa culture, son humour (parfois très douteux), et sa manière de vous punir si vous les insultez sans le vouloir.
Ressources et survie : tout se gère — oxygène, carburant, intégrité du vaisseau, santé de l’équipage.
➡️ C’est exigeant, parfois cruel, mais passionnant. Une mauvaise manœuvre ou une phrase mal placée, et tout part en orbite.
Graphismes :
Style sobre mais élégant, avec de superbes planètes et effets de lumière spatiale.
Les vaisseaux et les interfaces donnent vraiment l’impression d’être aux commandes d’une mission scientifique perdue dans le cosmos.
Quelques menus un peu austères, mais tout respire l’ambiance SF à l’ancienne.
Difficulté :
Oui, c’est dur. Le jeu ne pardonne pas, mais c’est aussi ce qui le rend grisant.
Les premières parties se finissent souvent dans un cri lointain et un silence radio définitif.
Mais chaque échec vous apprend quelque chose : comment mieux négocier, mieux atterrir… ou mieux mourir.
Durée de vie (100 % succès Steam) :
Comptez 40 à 60 heures pour tout débloquer — entre les différentes races, les fins possibles, les découvertes aléatoires et les runs qui finissent dans le vide spatial.
Chaque succès demande une maîtrise totale du gameplay, des décisions réfléchies et parfois une chance insolente.
➡️ Autant dire que pour le 100 %, il faut aimer les voyages… et la douleur.
Prix (en solde) :
Souvent autour de 5 à 10 €. À ce prix, c’est une véritable expédition spatiale procédurale — exigeante, mais inoubliable.
Conclusion :
The Long Journey Home est une expérience spatiale unique : une odyssée de survie, d’improvisation et de désespoir cosmique.
C’est dur, parfois cruel, mais incroyablement gratifiant quand, après des heures de galère, vous voyez enfin la Terre apparaître à l’horizon.
🪐💫 Un jeu qui vous apprend une grande vérité : dans l’espace, personne ne vous entend hurler quand votre vaisseau explose à cause d’un rocher invisible.