Super Meat Boy
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Super Meat Boy Forever takes place a few years after the events of Super Meat Boy. Meat Boy and Bandage Girl have been living a happy life free of Dr. Fetus for several years and they now have a wonderful little baby named Nugget. Nugget is joy personified and she is everything to Meat Boy and Bandage Girl. One day while our heroes were on a picnic, Dr. Fetus snuck up on them, beat Meat Boy and Bandage Girl unconscious with a shovel and kidnapped Nugget! When our heroes came to and found that Nugget was missing, they knew who to go after. They cracked their knuckles and decided to never stop until they got Nugget back and taught Dr. Fetus a very important lesson. A lesson that can only be taught with punches and kicks.
The challenge of Super Meat Boy returns in Super Meat Boy Forever. Levels are brutal, death is inevitable, and players will get that sweet feeling of accomplishment after beating a level. Players will run, jump, punch and kick their way through familiar settings and totally new worlds.
What’s better than playing through Super Meat Boy Forever once? The answer is simple: Playing through Super Meat Boy Forever several times and having new levels to play each time. Levels are randomly generated and each time the game is completed the option to replay the game appears and generates a whole new experience by presenting different levels with their own unique secret locations. We’ve handcrafted literally thousands of levels for players to enjoy and conquer. You can replay Super Meat Boy Forever from start to finish several times before ever seeing a duplicate level. It is truly a remarkable feat of engineering and a monumental example of ignoring the limits of rational game design and production.
They don’t give Oscars to games, but they probably will after Super Meat Boy Forever becomes the best movie of 2020 and 2021! Our story takes Meat Boy and Bandage Girl through several worlds in search of their darling little Nugget with beautifully animated cutscenes and musical accompaniment that makes Citizen Kane look like a reaction video to an sled unboxing. Players will laugh, they will cry, and when all is said and done maybe they’ll emerge from the experience a little better than when they started. Ok so that last part probably won’t happen but marketing text is hard to write.
Steam User 2
Super Meat Boy propose des graphismes particulier, un style vieillot par rapport à son année de sortie, la DA du jeu est faites autour de ça, l’univers visuel est volontairement simple. Chaque monde a son identité marquée : des hôpitaux inquiétants aux forêts torturées, en passant par des usines infernales. L’animation est fluide, les effets sont nets, et malgré l’austérité apparente, le jeu déborde de personnalité. Les cinématiques, courtes et pleines d’humour noir, ajoutent une touche de folie qui ne laisse jamais indifférent.
Les musiques sont nerveuses et parfaitement adaptées au rythme frénétique du gameplay. Chaque niveau, chaque monde possède sa propre ambiance sonore. Les bruitages sont simples mais redoutablement efficaces : chaque rebond, chaque saut, chaque bruit d’écrasement ou d’éclat de viande sont parfaitement intégrés.
Le gameplay est assez compliqué à prendre en main avec son système de sprint. Le cœur du jeu repose sur des mécaniques simples ; courir, sauter, s’agripper, mais leur exécution demande une maîtrise absolue. Chaque niveau est une leçon de timing, de mémoire musculaire et de persévérance. La difficulté est redoutable, mais jamais injuste : vous perdez, encore et encore, mais toujours pour apprendre. Chaque mort est une micro-leçon, chaque réussite, un petit triomphe, un die and retry comme un autre.
L’univers de Super Meat Boy est un hommage déjanté aux classiques du genre, avec ses clins d’œil constants à l’histoire du jeu vidéo et à la culture pop. On y découvre des personnages déblocables issus d'autres jeux indépendants, chacun avec ses propres mécaniques, ajoutant une belle variété au gameplay. L’histoire, volontairement absurde, oppose Meat Boy au terrible Dr. Fetus, dans une quête aussi sanglante qu’héroïque pour sauver sa bien-aimée Bandage Girl.
La durée de vie est très solide. Comptez plusieurs dizaines d’heures pour voir le bout des niveaux principaux, bien plus si vous souhaitez récupérer tous les bandages, débloquer tous les personnages et triompher des versions “dark world” des niveaux. Le challenge est omniprésent, mais la satisfaction d’atteindre le bout d’un niveau particulièrement difficile est incomparable. Les speedrunners y trouvent un terrain de jeu parfait, et les amateurs de défis y reviennent sans cesse.
Comme tout jeu de plateformes exigeant, Super Meat Boy peut frustrer. Mais jamais de manière réellement punitive. Il ne vous lâche pas la main, mais vous tend toujours une nouvelle chance. La réapparition quasi-instantanée après chaque mort maintient un rythme fluide et addictif. Une chute ? On recommence. Encore et encore. Jusqu'à la perfection.
Super Meat Boy est un pilier du jeu de plateformes indépendant. Sa difficulté peut paraître intimidante, mais pour ceux qui persévèrent ça va le faire.
Je vous souhaite beaucoup de réussite… et de vies perdues dans la joie : )
Steam User 2
jouer ,mourir, recommencer, mourir encore ,quitter, respirer, recommencer ensuite répéter
Steam User 1
J'ai absolument aucune idée de si j'ai adoré ou détesté le jeu.
Je sais pas non plus si l'absence totale de coyote time et de toutes formes de buffer click rend le jeu très skillé ou ATROCE, mais bon, à part ça, j'ai trouvé le platforming délicieux-miam! et les contrôles super agréables, bien que un peu dur à prendre en mains.
Bref : je suis mitigé, j'ai trop kiffé le platforming mais détesté beaucoup des autres mécaniques
(missiles à tête chercheuse, ventilateurs, mobs kamikaze). J'ai quand même fait le monde bonus (coton valley) et je rejouerai sûrement au jeu mais je sais pas vraiment pourquoi...
Ah, l'histoire est méga goofy, j'adore ! et les bosses sont trop cools
Steam User 0
Super Meat Boy, c’est pour moi l’un des meilleurs représentants du genre plateforme, avec cette capacité rare à rendre chaque niveau à la fois frustrant et profondément jouissif. Dès les premières secondes, on est plongé dans un gameplay millimétré où la mort fait partie intégrante du processus d’apprentissage, mais loin d’être punitive au point de décourager. Au contraire, chaque échec donne envie de recommencer immédiatement, avec la ferme intention d’améliorer son parcours.
Ce qui rend ce jeu si addictif, c’est cette sensation unique de fluidité et de contrôle précis qui permet de s’immerger complètement dans la recherche du « run parfait ». On ne joue pas juste pour terminer un niveau, mais pour enchaîner les sauts et les esquives avec une efficacité et une rapidité quasi chorégraphiées. Le défi devient un moteur intrinsèque, et le plaisir naît de cette maîtrise progressive.
Graphiquement, son style pixel art acidulé, accompagné d’une bande-son punchy et motivante, sert parfaitement l’expérience sans jamais distraire de l’essentiel : le gameplay. La variété des niveaux, l’introduction de mécaniques nouvelles au fil de la progression, et la montée en difficulté sont impeccablement dosées, évitant l’ennui ou la répétition.
En résumé, Super Meat Boy est pour moi un incontournable du platformer hardcore, qui réussit à transformer la frustration inhérente à sa difficulté en un plaisir intense, presque addictif. Un jeu qui donne envie de se surpasser, niveau après niveau, run après run.
Steam User 0
Un jeu absolument génial !
Son gameplay ultra-précis et exigeant te pousse à donner le meilleur de toi-même, tout en te permettant de savourer chaque réussite, à condition de faire preuve de persévérance.
Un vrai chef-d'œuvre du jeu de plateforme !
Steam User 0
Le jeu basic ou il vous rendra fou de stress : simple efficace et enervant !
Graphismes pixels , maniabilite exceptionnelle bref c est vos nerfs qui vous lacher !
Le des jeux les plus dur qu il soit !!!
Interet : 14/20
Realisation : 12/20
Steam User 0
sur manette cest beacoup mieux atention jeux tres enervant jai termine lhistoire principal qui est court mais le 100pourcent est tres long et dur