Red Faction Guerrilla: Re-Mars-tered Edition
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Set 50 years after the climactic events of the original Red Faction, Red Faction: Guerrilla allows players to take the role of an insurgent fighter with the newly re-established Red Faction movement as they battle for liberation from the oppressive Earth Defense Force. Red Faction: Guerrilla re-defines the limits of destruction-based game-play with a huge open-world, fast-paced guerrilla-style combat, and true physics-based destruction. Open World Guerrilla Warfare – You decide who, when, where and how to battle. Utilize guerrilla tactics, improvised weaponry, and modified vehicles to lead insurgent attacks on EDF targets. Launch attacks based on your own gameplay style, take on missions in any order you choose, or engage in destructive activities to weaken the EDF's grip on Mars. Strategic Destruction – Use destruction to your tactical advantage, setting ambushes or chain reaction explosions to attack enemy strongholds and permanently modify the game environment.
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Nous sommes en 2130 sur Mars. Alec Mason (les nombres Mason, pas la bonne série), chômeur sur Terre, est invité par son frangin à créer une petite entreprise de recyclage. Sauf que dès notre premier job — sans doute alertée par des voisins soucieux de faire intervenir les forces de l’ordre pour sécuriser le site — l’EDF nous agresse directement. Elle a visiblement mal vécu sa privatisation, au point d’être devenue une SMP. (Hein, quoi ? Les détails, plus tard.)
Bref, probablement se sentant menacés par deux types sans armes, les policiers en hélicoptère de combat décident d’ouvrir le feu alors qu’on voulait juste leur montrer notre permis d’explosifs. Résultat : notre frère est tué sur le coup, et nous, on est blessé. C’était peut-être une réaction un chouïa exagérée.
Fort heureusement, on est sauvé et soigné par une association de lutte contre les violences policières : la Red Faction. Elle combat la tyrannie de l’EDF et ses tarifs d’électricité abusifs par des moyens percutants et efficaces. Comme quoi, la privatisation... (Non, sérieusement, les détails, plus tard.)
C’est donc à grands coups de pétitions, sit-in, manifestations pacifiques, recours devant les tribunaux et... comment ça, plutôt sabotage, embuscades, assassinats politiques et attentats à la voiture piégée ?! Mais vous êtes des terroristes ! Et que va penser l’opinion publique ? Je vais vous prouver que le sit-in marche. À tout de suite.
Bon, je dois reconnaître que le système de santé est excellent. Mais je ne sais pas ce qui est pire : le fait qu’EDF ne se soit pas arrêtée ou qu’ils m’aient qualifié de nid-de-poule dans leur rapport. OK, d’accord pour le terrorisme, passez-moi les mines : je vais faire sauter ces foutus compteurs Linky.
Allons droit au but : le principal argument de vente du jeu, c’est que toutes les structures artificielles sont destructibles. Si on place correctement ses charges, on peut jouer aux dominos ou faire découvrir à l’EDF les joies de la gravité. Bon, étant un artificier de merde, au lieu de faire s’écrouler le silo sur la patrouille chargée d’entretenir les câbles, je l’ai fait tomber sur moi... Je vous ai parlé de l’excellence du système de santé ?
Bien sûr, outre vos explosifs, vous aurez naturellement accès à tout l’arsenal du petit guérillero : masse à deux mains, pistolet, lance-grenades, fusil désintégrateur, ou véhicules allant de la petite citadine à la citerne EDF lourdement armée (qu’ils appellent un tank, apparemment (soupir) les anglicismes).
L’espace de combat est divisé en six zones, de plus en plus gardées par l’EDF, dans lesquelles nous devons nationaliser les moyens de production d’énergie et restaurer le bonheur de la population. Bon, j’avoue que je n’ai pas compris pourquoi détruire une usine de traitement de l’eau rendait les gens heureux... Mais bon, je ne suis pas martien. Si ça leur fait plaisir, préparez-vous pour les pénuries. (Et j’avoue, avec un système de santé pareil, autant en profiter.)
Je ne vais pas vous résumer toute l’histoire — elle figure d’ailleurs dans vos manuels scolaires. Disons juste qu’EDF a fini par faire appel à des huissiers. Et pas pour un constat à l’amiable, vu la gueule du cuirassé qu’on s’est pris. Mais on a quand même réussi à les renvoyer sur Terre, et l’EDF est devenue "Électricité de Mars" après nationalisation de ce qu’il restait. Comme quoi, les enfants, la morale de cette histoire, c’est que le terrorisme... ça marche.
Tu voulais me dire quoi, tout à l’heure ? Hein ? On ne se battait pas contre Électricité de France mais contre l’Earth Defense Force ? Bon, si tu vois des huissiers pour l’histoire avec Flamanville, je ne suis plus là.
Mot de la fin ? Euh... comment on rejoint les Maraudeurs déjà ? Et dire que j’avais accès à un si bon système de santé...
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bon je n'y est pas jouer longtemps mais j'en connait assez pour dire que ce jeux est une pépites, je l'avais a l'époque quand je jouais sur play et putin sa fait plaisir de rejouer a ce jeux