POSTAL 4: No Regerts
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The POSTAL Dude is back! Several years have passed since the events that devastated the once proud town remembered as Paradise. The only two to walk away from the cataclysm unscathed, the hapless everyman known as the POSTAL Dude and his loyal companion Champ, drive aimlessly through the scorching deserts of Arizona looking for a new place to call home. After a fortuitous gas station rest stop ends with their car, trailer home, and the rest of their worldly possessions stolen, all the Dude’s seemingly got left to his name is his canine cohort and his bathrobe, and neither of them smells all that great. However, on the horizon, the duo glimpses an unfamiliar and dazzling town that beckons to them. What untold prospects lie within? Fame? Fortune? Maybe a bidet or two? Edensin awaits. POSTAL 4: No Regerts is a satirical and outrageous comedic open world first person shooter and the long-awaited true sequel to what’s been fondly dubbed as "The Worst Game Ever™", POSTAL 2! (No third game is known to exist.)
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Je reste nostalgique de Postal 2 mais j'arrive quand même à m'amuser avec celui ci. A la sortie c'était laborieux maintenant ça va beaucoup mieux je trouve. (Postal 2 était beaucoup plus fun tout de même)
Steam User 0
i am outrageously shocked by the unviolence in this game!
it is so far from reality!
for example, i can't grab children, send them into cages and then gaze them on zyklon-b...
what is it for a little-poney world???
but at least i can kill people!
Steam User 0
Le jeu est très drôle !
L'humour du jeu est absurde bien comme il faut !
Les animations sont belles
Le gameplay est bien
Il y a une bonne variété d'arme
Honnêtement ce n'est pas un jeu sur le quel je vais passé des centaines d'heures, mais il est très bien !
Steam User 0
Beaux graphismes, mais âme disparue
Note : 5 / 10
Postal 4, c’est un peu comme la version graphique relookée de Postal 2, mais avec toute l’implication en moins. On te refait vivre une semaine de chaos dans la peau du Postal Dude : boulot débile, violence gratuite, humour trash — tout y est. Sauf… l’âme du jeu original.
Pour beaucoup, le moteur Unreal 4 a juste repeint une coquille vide. L’ambiance, l’humour satirique mordant, la folie douce de Postal 2 ne sont plus là : tout paraît mécanique et sans véritable inspiration. On joue cette suite parce qu’on veut y retrouver ce qu’on aimait — et on tombe sur une pâle copie.
En résumé, si tu veux juste shooter du voisin avec des graphismes actuels, ça fera l’affaire. Mais si tu espérais ressentir cette folie maladroite, ce second degré flippant ou ce vent d’insolence qui soufflait sur Postal 2 — oublie. Ici, c’est joli, mais froid.
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Qu'est-ce que POSTAL 4: No Regerts ?
POSTAL 4: No Regerts est la suite spirituelle assumée de POSTAL 2, développée par Running With Scissors. Après un POSTAL 3 catastrophique, cette itération fait office de rédemption, en revenant à ce qui faisait le sel de la série : un monde ouvert absurde, une liberté totale d’agir (ou de déraper), et un humour noir qui ne recule devant rien.
Un retour aux sources bienvenu
POSTAL 4 revient à la première personne, avec son ambiance délirante et son gameplay chaotique. On y retrouve le POSTAL Dude, plus en forme que jamais, qui erre dans une nouvelle ville (Edensin) à la recherche d’un sens à sa vie (ou au moins d’un boulot). Le jeu reprend la formule "journalière" : chaque jour de la semaine vous offre des objectifs à remplir, mais vous êtes libre de les ignorer pour semer le chaos à votre façon.
Le jeu brille par sa volonté de ne pas se prendre au sérieux. C’est mal optimisé, parfois moche, mais c’est drôle. Si tu viens pour une expérience raffinée, passe ton chemin. Si tu veux faire pipi sur des passants ou affronter des gangs de furries armés jusqu’aux dents : bienvenue à Edensin.
Technique en dent de scie, mais sincérité intacte
Le jeu n’est pas parfait techniquement — loin de là. Bugs, animations approximatives, optimisation douteuse : on est sur un titre au parfum de early access prolongée. Mais malgré ses défauts, POSTAL 4 dégage une sincérité rare. Le studio sait ce qu’il propose, ne ment pas sur la marchandise, et continue de patcher le jeu régulièrement avec de nouveaux ajouts et des améliorations.
Humour trash et satire sociale
On retrouve ce bon vieux ton irrévérencieux et déjanté. POSTAL 4 tire sur tout ce qui bouge : politiques, influenceurs, véganes, livreurs, flics… rien ni personne n’est épargné. C’est parfois gras, parfois maladroit, mais ça fait souvent mouche. Et au fond, c’est pour ça qu’on aime POSTAL : parce que ça ose.
Un monde ouvert riche en WTF
La ville d’Edensin n’est pas immense, mais elle est bourrée de secrets, de PNJ bizarres, de missions secondaires absurdes, et d’armes toutes plus inventives les unes que les autres. Entre le lance-chatons, le seau de pipi gelé, ou les grenades de godes explosifs… il y a de quoi s’amuser. En solo, c’est une vraie expérience de bac à sable du chaos.
Conclusion : No Regerts, vraiment
POSTAL 4: No Regerts, c’est un jeu sale, bordélique, et pas toujours maîtrisé… mais putain, c’est fun. C’est le digne successeur de POSTAL 2, et même si ça ne conviendra clairement pas à tout le monde, les fans de la série y trouveront leur compte.
Un jeu à faire si t’as l’humour noir bien accroché et que t’as envie de souffler un coup avec un délire vidéoludique total.
---{ La note }---
☑ 7 / 10
Steam User 0
:)