Pathfinder: Kingmaker – Enhanced Edition
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With the help of over 18,000 Kickstarter backers, Narrative Designer Chris Avellone and composer Inon Zur, Owlcat Games is proud to bring you the first isometric computer RPG set in the beloved Pathfinder tabletop universe. Enjoy a classic RPG experience inspired by games like Baldur's Gate, Fallout 1 and 2 and Arcanum. Explore and conquer the Stolen Lands and make them your kingdom! Based on our players' feedback and suggestions, this version of the game improves and builds upon the original. Based on our players' feedback and suggestions, this version of the game improves and builds upon the original. This edition includes: • numerous gameplay-enriching content additions and dozens of quality-of-life features • new abilities and ways to build your character, including a brand-new class • new items and weaponry
Steam User 12
Un énorme problème
Pathfinder est un nom qui en dit long à une génération de rôlistes. Des journées/soirées/nuits de jets de dés endiablées, des centaines de litres de bière ingurgités, et une kyrielle d'échecs critiques. Seulement voilà, Pathfinder est-il réellement adaptable dans le média qui nous intéresse aujourd'hui ? Ou est-ce une tâche dont le niveau de difficulté est hors d'atteinte pour les compétences d'Owlcats ?
Un barbare, ça sait dessiner !
La patte graphique signature de Pathfinder est respectée. C'est joli, à la hauteur voire légèrement supérieur à la plupart des Baldur-like qui ont foisonné ces dix dernières années, tous plus ou moins bons. Les personnages, bien que rudimentaires (on sent d'ici l'odeur du petit studio qui peine à rendre convaincants ses tas de pixels) s'en sort assez bien. Les effets sont absolument sublimes, les sorts et pouvoirs en mettent plein la vue. Visuellement, c'est une réussite.
Pose cette plume et attrape une masse
L'écriture quelque-peu linéaire est d'une densité frappante, et le lore absolument démentiel de Pathfinder est bien présent. Si vous avez des centaines d'heures à perdre en lecture, allez-y, foncez, vous serez pas déçus. L'histoire et les quêtes ont toutes bénéficié d'un soin particulier, et la narration, bien que souffrant de quelques temps-morts ou lourdeurs passagères, s'en sort avec mention honorable.
L'assommoir et la spirale de la frustration
Un paquet de gens va me jeter des tomates, mais faut que je le dise : le gameplay est une purge. Purement et simplement. Oui, il avait le potentiel d'être incroyablement addictif et gratifiant, mais il souffre de tels défauts d'équilibrage et certaines mécaniques sont tellement frustrantes que j'ai développé une relation paradoxale. Dans le dernier quart du jeu, tout devient d'une difficulté absurde.
Vous en faites pas, je vais développer
Pathfinder est un jeu de rôle papier, avec des mécaniques de jeu de rôle papier, que les joueurs prennent du temps à découvrir, on en discute avec le Mj, on passe cinq heures à créer son perso et comprendre les mécaniques de jeu... On y passe un temps énorme parce que c'est une expérience sociale. Kingmaker est un jeu solo. Arrêtez-moi si je me trompe, mais les joueurs solo jouent pour se détendre, s'immerger dans un univers, vivre une expérience gratifiante. Oui, c'est long, mais je vais y venir.
Si vous n'avez pas déjà un bac+5 en jdr papier, BON COURAGE pour comprendre comment fonctionne le jeu dans ses rudiments (classe d'armure, jets d'attaques, manoeuvres de combat...). C'est d'une densité abyssale, et dès les premières heures de jeu vous serez paumé, c'est là le premier obstacle. beaucoup vont déjà passer leur chemin.
Si vous avez franchi le premier obstacle à force de persévérance, vous allez devoir vous taper la lecture de tous les sorts, objets et aptitudes que vous rencontrerez, et bien souvent, vous serez frustré par le système de probabilité. Parce que tout marche par D20, et vous avez une chance sur 20 de faire un critique (pour simplifier, parce qu'il y a un système de confirmation etc...). Ce qui fait que vous allez développer un personnage, que vous prendrez ce qui vous intéresse comme capacités parce que vous voulez du roleplay, et au bout de quelques heures vous allez vous faire déglinguer par le jeu, même en mode normal, parce que 90% des archétypes et classes du jeu sont par définition mauvais. Et le jeu vous encourage à poncer la méta, même en normal ! Deuxième obstacle : vous voulez vous la jouer rôliste, et on vous oblige à jouer tryhard.
Si par bonheur vous avez franchi le deuxième obstacle, vous allez en venir à la gestion de royaume. une usine à gaz en temps limité (parce que le jeu est bourré de timers visibles ou invisibles) qui vous oblige à faire des choix, et beaucoup sont scriptés ou certains évènements sont incompréhensibles et vous mènent à la ruine du royaume, et un écran de game over. Et il intervient parfois après des centaines d'heures de jeu, et vous mettez votre personnage et votre histoire à la poubelle. C'était le troisième obstacle.
Enfin, si vous avez surmonté tout ça sans passer dans la difficulté la plus facile (on en parle de la fierté du joueur qui arrive pas à s'en sortir sur un jeu en mode "normal" et le sentiment de honte de baisser la difficulté ?), vous allez arriver à la fin du jeu, et vous taper des ennemis quasi-invincibles. Trop de classe d'armure, des sorts qui ignorent TOUTES vos défenses, toujours surburnés, surbuffés etc... ce qui fait que le succès ou l'échec ne repose que sur la probabilité de sortir un critique. Le jeu n'est asbolument pas équilibré dans son endgame, et même si votre groupe a le meilleur équipement possible, les spécialisations les plus méta etc... ça ne change rien à la fin, soit vous priez pour que ça passe, soit vous vous faites éclater par le premier monarque de la wild hunt venu et ses trouzemille pécores qui vous chopent, vous paralisent et vous taillent en sashimis sans que vous puissiez rien faire.
Le mot de la fin
Considérant le temps de travail et les efforts investis dans le jeu, je ne comprends pas que les combats de haut niveau soient aussi ridiculement cassés. Personne ne s'est posé la question de l'équilibrage et de la frustration ? Et concernant toutes ces classes inutiles, quand vous créez un perso, vous partez dans l'idée que "je vais lui mettre trois niveaux de barbare, deux niveaux de moine, cinq de voleur, puis de nouveau cinq de barbare et le reste en moine" ou bien vous avez envie d'être roleplay et avoir votre perso qui reste dans sa classe jusqu'au niveau 20 ? (que vous n'atteindrez d'ailleurs certainement jamais sans une connaissance absurdement précise du jeu ou bien un guide).
Pathfinder est un jeu de rôle papier. L'adapter ex-libris en jeu vidéo pose un problème d'équilibrage énorme, qui aurait pu être corrigé, mais ne l'a pas été. Au final, on se retrouve avec un jeu de rôle beaucoup trop compliqué pour les non-initiés, qui auront envie de s'y verser et vont passer des dizaines d'heures avant d'abandonner et le laisser sombrer dans l'oubli.
Il trouvera donc son public parmi les initiés ou les tryhards qui veulent du vrai défi et en ont pas marre de voir un voleur niveau 18 échouer son jet de crochetage de difficulté 30 en rollant un 1 et devoir attendre 16 heures pour le retenter. Etant MJ, je sais même pas par quelle sorcellerie narrative on peut expliquer qu'il faille attendre 16 heures pour retenter un crochetage. Mais j'imagine que c'est à l'image du reste du jeu.
Des bisous, et courage dans vos aventures, vous en aurez besoin.
Steam User 4
Pathfinder Kingmaker
Une expérience aussi agréable que désagréable. Franchement ce jeu est sous le même principe d'aller voir son médecin qui est très jolie… Parfois, elle a beau être belle. Les tests ne sont pas du tout agréables. Drôle de métaphore. Mais après 350 heures de ce jeu et 15 ans de donjon&dragon, baldur's gate, Fallen Order et je passe les jeux très difficiles et succès de fou que j'ai été cherché. Kingmaker a une place particulière et en pas en bien. Il n'est pas difficile, il est chiant.
Le jeu est agréable, les personnages sont bien et occasionnellement un peu trop stéréotypée 21 siècles.
Amiri est intéressante, mais je trouve qu'elle devient vite lourde. Son côté barbare type Conan et son épée gigantesque avec son corps de chat ne fonctionne tout simplement pas.
Harrim est désespérant.
Jaethal est folle, mais intéressante et son histoire bien que lugubre est agréable et j'ai bien aimé son dénouement (Il n’en a beaucoup). Disons qu'elle a eux ce qu'elle mérite.
Jubilost est intéressant et lui aussi, j'aime beaucoup son développement.
Linzi, linzi fait sans aucun doute le jeu.
Nok-Nok ma fait bien rire, un peu comme Mincs dans Baldur's Gate.
Octavia fut sans conteste l'une de mes personnages préférées bien qu'elle est radicalement différente de ce que j'aime.
Regongar ... Je déteste les orcs, il est un demi-orcs et franchement. Évolution intéressante et c'est un bon personnage que j'ai beaucoup aimé.
Tristan. Son histoire est incroyable et vraiment un bon personnage également.
Valérie, un personnage intéressant qui devient vite lourd. Qui aurait plus être basée sur une Valkyrie. Ils ont fait un tank et des quotes d'une femme au visage angélique qui dit qui plus l'amure est lourd et plus le bouclier est lourd m'a fait décrocher. Comme Amiri ont va dans le stéréotype de la wonder women. Mais ont va trop loin. Je cite que la plupart de mes personnages préféré sont des femmes. Alors pas d'accusation. Je trouve juste ici qu'on pousse trop loin.
J'ai bien aimé Kalikke et kanerah et sans elle. Le jeu aurait été moyen. Leurs histoires est captivante et j'ai adorée.
Il en va de même pour Nyrissa.
On a la possibilité de changer radicalement la vision du personnage et cela je trouve bien.
Maintenant le gameplay : AHAAHAHAAHAAHAHAH (je vais être le plus canadien possible)
FUCK THAT SHIT!
Pire gameplay ever. Un IA stupide qui ne fait juste que cumulé des bonus divin plus que le niveau du jeu est haut. Total War a légère est un avec une armée deux fois supérieur à la vôtre est une vraie farce (Pour l'avoir fait trop souvent). Kingmaker est ignioble.
Un barbare avec 42 de classe d'armure et qui fait 6 attaques par tour quand vos personnages sont niveaux 8 est bien présents dans ce jeu. Non franchement, c'est la difficulté la plus grotesque que j'ai jamais vue de ma vie.
On affronte des seigneurs élémentales noble, niveau 5 et des ourses hiboux aussi nombreux qu'une nuée de gobelin.
On perd vite tout sens du réalisme.
Près de 70% du bestiaire détruit vos stats -6 force, Con dex et j'en passe en quelques secondes. Un monstre peut vous faire perdre 14 niveaux en 3 tours… Bordel, j'écris, c'est lignes et je me demande pourquoi j'ai été si loin avec un aussi niveau difficulté.
Aucun personnage normal ne peut performer dans kingmaker. On va avec un 28 de force et 4 d'intelligence… Bienvenu Hodor ... Si on veut performer dans le plus haut niveau difficultés. C'est lourd et très désagréable. Où ont fait une construction de moine/mage et ont brisé le jeu avec un 72 de CA. Ce n'est pas le moins du monde agréable. En fait, perso cela me dégoute. Tous les commentaires sur internet vont dans ce sens. Je m'ennuie aussi des duels de mage de Baldur's gate. Ici, un mage est un gros kaboom qui fait du 200-300 de dégâts et ne sert à rien d'autre. Les buffs et débuffs, ont ne joue pas avec cela. On buff le perso et ont fait des sorts de zones et c'est fini. Il ne faut pas approcher l'ennemi.
Anyway, le jeu est aussi sur la gestion de sont royaume et vraiment. C'est super sweet. J'ai bien aimée.
Hormis cela, donc le combat qui est une grosse partie de la mauvaise note.
Si tu ne recherches par les succès comme moi et si tu veux prendre un bon moment avec une bière relax. Oui kingmaker est un jeu intéressant. Je ne fais pas dire que c'est un mauvais jeu. Il a certains points fort et l'histoire est sweet. Le jeu est bien. Néanmoins, la difficulté de kingmaker tue l'ambiance du jeu. L'histoire est intéressante. Kingmaker n'est pas une grande œuvre. Ce n'est pas un Baldur's Gate, Witcher ou Dragon Age 1 . Mais, c'est un jeu intéressant qui mérite d'être joué.
Steam User 4
J'arrête à la moitié du jeu (il est trèèès long !).
Pas parce qu'il est mauvais mais parce que je n'ai plus le temps ni le courage (je me fais vieux) de m'investir dans de tels jeux.
J'ai fait quelques RPG et celui-ci est plutôt dur, notamment pour monter ses personnages, les règles étant très compliquées et peu claires. J'ai dû m'aider de guides sur Internet. Pour savoir comment bien multi-classer un perso, c'est bac+10 minimum.
Cela dit, j'ai bien aimé l'histoire : elle est simple à comprendre et le héros qu'on incarne n'est pas sorti de la cuisse de Jupiter. Il conquiert sa baronnie puis il doit la gérer.
La gestion du royaume est cependant assez désagréable.
Bcp de combats dans ce RPG.
Je les ai faits en tour par tour pour plus de lisibilité. Mais ça les rends aussi plus longs et plus laborieux, notamment en cas d'invocations de créatures.
Bref, à recommander aux passionnés du genre.
Le jeu a un bel emballage, une belle réalisation mais il peut se montrer frustrant tant dans sa difficulté que dans ses mécaniques.
Prévoir BEAUCOUP de temps pour le finir.
Steam User 2
Excellente retranscription du jdr papier sur l'écran. La création et le développement de personnages est plus fourni que le livre de base, et bien plus que la plupart des rpg. On retrouve enfin, 22 ans après BG 2, un Crpg qui ravira n'importe quel fan de la première heure.
Steam User 2
Je reviens sur ma première évaluation après avoir joué une centaine d'heures supplémentaires.
Pour le coup, je tempère un peu mon enthousiasme.
Si je n'enlève rien à ma première évaluation ci dessous j'ajouterai quand même quelques points négatifs par rapport à "wratht of the righteous".
La gestion du royaume est un peu complexe et pas très enivrante. On se demande constamment le sens de faire tel ou tel choix.
Les déplacements sur la carte sont un peu fastidieux et l'horloge tournant, on ne sait jamais trop si il y a une logique à suivre dans les quêtes qu'on entreprend de faire.
Pour faire simple, le jeu est bon, mais tient moins en haleine que son aîné.
Et l'impression de pédaler dans la semoule finit par nous lasser quelque peu.
J'attendrai d'avoir fini pour me faire un avis définitif, mais s'il est vrai qu'en soldes, c'est un jeu abouti et que vous pouvez foncer pour l'acheter, son grand frère m'a nettement plus surpris par sa profondeur.
N'en attendez pas trop non plus! :)
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Après avoir fait intégralement Pathfinder : wrath of the righteous, je me suis lancé dans l'opus précédent, Kingmaker.
Simplement, je n'ai découvert la série que par hasard, et ayant fortement apprécié le deuxième opus que j'avais eu en soldes, j'ai profité d'autres soldes pour enchaîner sur Kingmaker.
J'en suis encore au premier chapitre, à 31 heures de jeu... Mais d'ores et déjà, j'estime que l'expérience en vaut largement la chandelle.
Par rapport à son successeur, Kingmaker offre une grande liberté de jeu. C'en est même un peu perturbant. On découvre des lieux qu'on doit fuir parce que notre équipe n'est pas au niveau, l'horloge tourne et on a un temps limité pour effectuer une mission dont on ne comprend pas bien les tenants et les aboutissants au départ... Seules les rencontres, le parcours de la carte au petit bonheur et les quelques indices glanés ça et là nous permettent petit à petit d'y voir plus clair.
Au niveau gameplay, Kingmaker se défend très bien, il est quasiment l'équivalent de son successeur. Il lui manque simplement la rotation des cartes, ce qui est un peu frustrant lorsqu'on sort d'un DOS ou de Wrath of the righteous.
Je lui ferais le même reproche qu'à son grand frère (wrath of the righteous). Il n'y a quasiment aucune interaction avec les décors, et le relief du terrain n'influe quasiment pas sur les combats. La portée des sorts ou des tirs d'armes à distance se résume à un cercle autour du lanceur, qu'on soit en hauteur ou au fond d'un ravin. Il n'y a pas d'abri (derrière une souche un rocher ou un arbre), on est soit totalement protégé, soit à découvert - 1 ou 0.
C'est loin d'être rédhibitoire, les combats restent extrêmement bien ficelés. Les caractéristiques, classes, alignements, races sont primordiaux tant dans l'évolution de l'histoire que dans les combats, et il faut apprendre à se servir de l'arsenal phénoménal de sorts, de capacités et autres caractéristiques de chaque personnage pour optimiser son avancée dans le jeu.
N'en étant qu'au début de ma partie, je ne mesure pas encore l'arbre des possibles selon les choix de mon perso principal et de sa cohérence avec son alignement, mais, ayant fait intégralement l'opus suivant, j'imagine facilement que le travail de l'histoire et les conséquences de nos actes ont un impact direct sur l'évolution de la partie.
Il y a manifestement un gros travail d'écriture, et le scénario promet d'être intéressant. Visiblement, on doit gérer un domaine à partir de l'acte 2 (je n'y suis pas encore) ce qui ajoute un aspect jeu de stratégie au jeu de rôle de base, et si cet aspect est aussi bien travaillé que l'aspect "croisade" de son digne successeur, ce ne pourra être qu'un + à ce jeu de rôle déjà extrêmement bien ficelé.
Les graphismes sont sympathiques. Pour un jeu sorti en 2018, il est franchement agréable à jouer. L'interface est simple et facile d'emploi.
Niveau difficulté, lenteur des déplacements ou autres détails du gameplay, tout est réglable dans les options, et ce à n'importe quel moment (même au cours d'un combat). Les critiques quant à la difficulté sont donc peu pertinentes. Toutefois, il est vrai, comme je l'ai fait remarquer ci dessus, qu'on fait certaines rencontres trop tôt au gré de notre parcours de la carte. La solution est de ne pas engager de bataille et d'y revenir plus tard, une fois qu'on a avancé dans la partie. Ca peut sembler fastidieux, mais personnellement, je trouve au contraire que cette liberté de parcours donne de la fraîcheur au jeu... Rien n'est vraiment linéaire, on n'est pas tenu par la main pour faire tout dans un ordre précis, et somme toute, ça donne une touche de réalisme que beaucoup d'autres JDR n'ont pas.
En résumé,
Ayant eu Kingmaker en soldes pour 4€, je suis parti pour plusieurs centaines d'heures de jeu sur un scénar très bien écrit, agréable, non linéaire et complet. Peut-être un brin moins abouti que son successeur, mais qui dispose d'autres atouts.
Si vous aimez les RPG au tour par tour façon BG2, Divine divinity ou Pillards of eternity, Pathfinder: Kingmaker n'a rien à leur envier. Il s'inscrit dans la même tradition et est franchement une réussite en tous points. Je vous le conseille vivement.
Steam User 3
Difficile, voire absurdement difficile. Certes. les combats et le système demandent un peu d'investissement. J'ai failli abandonner à cause de l'injustice de mobs ultrapouikés qui défouraillent à coup de stats cheatés. Mais j'y suis revenu et quand on commence à maitriser, ça prend de l'ampleur. Je conseillerai de soit accepter de prendre du temps à arpenter l'internet pour bien saisir le complexe système de combat, soit tout simplement prendre des builds de persos préconstruits qui éviteront d prendre trop de branlées.
Pas toujours intuitifs, les choix manquent de visibilité à long terme, et le jeu est long. Et il y a beaucoup de fins possibles, de romance,... de l'histoire y en a. C'est super immersif.
D'ailleurs: Super histoire. Supers PNJs. Super univers... C'est quand même la grande campagne , la mythique campagne de pathfinder kingmaker le rpg derrière tout ça. Une des meilleures campagnes de jdr!!!! Et ça surclasse tous les petits défauts de l'opus.
Beaucoup de liberté et de choix.
Nan, c'est bien.
Steam User 2
Pour les fans de cRPG "occidental tactique tour par tour", Pathfinder se place aux côtés de "Solasta", de"Pillars of Eternity (2)" ou encore de "Tyranny".
Le jeu est basé sur le système Pathfinder très proche de D&D. Il vous plonge dans une très grande campagne d'Heroic Fantasy, où vous créez votre personnage aux petits oignons avec tout un tas de classes et de compétences. Et comme dans tous les jeux de ce genre, vous recruterez des compagnons tout au long du jeu.
Pathfinder Kingmaker est plutôt vaste et intègrera si ma mémoire est bonne (j'ai fini le jeu il y a longtemps sur GOG) une gestion de royaume / avants-postes. La campagne est épique sans rentrer dans le nanardesque. Personnellement, je le préfère à son petit frère "Wrath of the Righteous".