Mother Russia Bleeds
L’auteur n’a pas encore fourni de description dans votre langue.
Mother Russia Bleeds is an ultra-violent co-op brawler overflowing with an unmistakable style and unforgettably brutal action for up to four players at once. Set in an alternate U.S.S.R, the story centers on a desperate crew of imprisoned street fighters that must overcome an oppressive criminal authority and forced drug addictions through any means necessary. Battle solo or alongside friends in an exceptional story mode campaign or harden your resolve in the savage Survival Mode. Merciless Struggle: Pull yourself up from the cold, hard ground to punch, claw, and stab your way through the hardened ghettos, violent prisons, grim laboratories, and decadent clubs. Powerful Narcotics: Embrace your crippling addiction with a quick injection to crush skulls, snap necks, and tear flesh from bone in a drug-fueled maniacal rage. Find your next fix flowing through the veins of your fallen foes and jam your needle into their convulsing bodies to fill your beloved syringe.
Steam User 47
Streets Of Rage sous amphétamines, fait par des petits français énervés.
C'est la manière la plus simple d'expliquer Mother Russia Bleeds.
C'est bourrin, rapide et crade.
Pour autant, ça ne veut pas dire décérébré. Mother Russia Bleeds n'est pas un jeu facile, il demandera du skill, savoir gerer son placement et ceux des ennemis qui sont très nombreux et surtout, savoir qui eliminer en premier et le plus efficacement pour eviter des vous faire submerger ou enchainer.
N'esperez pas gagner en mashant les bouttons comme un goret, le jeu propose un système de combo qu'il vous faudra découvrir, ainsi qu'un bon nombre de contres, d'attaques puissantes, des prises, ainsi qu'un dash pour se sortir d'une situation compliquée.
Le "bestiaire" est assez conséquent et ne se limite pas au color-swapping, il y a pas mal d'ennemis différents qui vont du clochard en pull en laine taché de gnole, au militaire armé, en passant par les chiens et les junkies en manque. Les ennemis ont tous des attaques différentes et ils ne font pas que filer des tatanes. Certains se serviront d'armes de corps a corps et d'autres de flingues capables de vous descendre en deux ou trois balles. A vous d'adopter la stratégie la plus viable pour vous en sortir sans trop de bobos.
Les habitués des Beat'em'Up a l'ancienne sauront s'y retrouver, mais les nouveaux pesteront surement contre la rigidité du gameplay et la difficulté. Mother Russia Bleeds ne prétend pas faire un jeu moderne, loin de là. MRB c'est un retour aux sources, une lettre d'amour poisseuse à un genre qui vivote a grande peine depuis les débuts de la 3D. Il y a eu bien sur des tentatives interessantes ou même bonnes. Mais revoir un jeu de la trempe de Streets Of Rage, Final Fight ou Double Dragon est un vrai plaisir. Le jeu est dur, frustrant même, mais toujours dans le sens de forcer le joueur a s'améliorer, trouver des stratégies, comprendre les ennemis et les boss. Les Boss qui sont d'ailleurs tous sympathiques avec des manières de les vraincre différentes et qui vous demanderont de comprendre comment les éliminer.
Une des grosses features du jeu, celle qui donne toute son sens au jeu, c'est la méchanique du Nekro. Cette dope bien craignos peut se récuperer sur les ennemis quand ceux-ci sont pris de convulsions au sol. Remplissez votre seringue et utilisez la stratégiquement. Il y a deux utilisation possible du Nekro, se soigner ou passer en etat Berserk. Cependant, si des fois se soigner semble être une judicieuse idée, il faut des fois plutôt privilégier l'offensive et mettre des patates de forains capables de décapiter. Jongler entre les deux utilisation du Nekro est essentiel pour venir à bout du jeu. Bon après si vous êtes des fous furieux capable de torcher un niveau sans prendre de coup... evidemmment qu'une des fonction de la seringue deviens useless. De plus, l'utilisation de cette seringue est limitée. Trois charges maximum que l'ont peut, certes, recharger, mais il faut donc se mettre en danger afin de prélever la Nekro des ennemis qui convulsent, laissant le champ libre aux autres adversaire pour vous tabasser ou vous faire une prise.
Visuellement, le jeu est aussi dégueulasse que bien réalisé. Le pixel-art est maîtrisé et les effets visuels ajoutés renforcent la technique. Pour autant, la DA de Mother Russia Bleeds n'est pas des plus agréable. Laboratoires clandestins, égouts, prisons russes, squats et camps de junkies... Les environnements crados sont légions et les ennemis sont pas tous très mignons (mention spéciale aux clochards et aux meufs défoncés a la Nekro qui nagent dans leur sous vêtements). Mais loin de moi l'idée de dire que c'est moche. Mother Russia Bleeds suinte la Russie fantasmée, celle qu'on s'imagine être avec son lot de laissés pour compte, de camés et de gangsters en survets. Celle qui pue la vodka frelatée et la pisse.
Pour ajouter sur l'ambiance, parlons de la bande son, faite par Fixions, un projet venu d'Aix-En-Provence. Cette BO sied parfaitement à Mother Russia Bleeds. Des synthés, des sons électros oppressant, des kicks lourds. Cette BO cogne dur, à l'image des protagonistes. Je vous recommande d'ailleurs fortement d'investir dans la Dealers Edition histoire d'en profiter, ou de vous la procurer sur le bandcamp de Fixions (ici :
Mother Russia Bleeds est un tourbillon de violence avec des gros kicks dans vos oreilles, du sang par litre, des bouts d'os partout et une horde d'ennemis entre vous et votre vengeance, moteur principal du scénario. Si celui-ci ne semble pas fou-fou, il n'est nul besoin d'en demander beaucoup. Mother Russia Bleeds se joue avant tout pour casser des gueules et afficher son pseudo sur le Leaderboard et surtout, sur un canapé avec des potes.
Steam User 44
Mother Russia Bleeds est un beat'em all, genre qui a quasiment disparu. Le style « pixel-art » est une des grandes réussites du jeu : lisible, coloré, maîtrisé.
Pour les plus jeunes, il s’agit d’un genre où vous dirigez un personnage face à des multitudes d’ennemis qui vous assaillent en contenu sur un plan 2D (la "profondeur" sert de décors, comme dans un Street fighter). Une fois les ennemis battus, vous progressez vers la droite jusqu’au boss du niveau et vous enchaînez de cette façon.
Chaque perso dispose d’une seringue avec 3 charges qui leur permet de se soigner ou de devenir « berserk », augmentant les dégâts de manière ostensible. Vous rechargez les seringues en piquant les ennemis qui convulsent (ouep)
Vous vous débarrassez des ennemis avec une multitude de coups : légers, coups de pieds, attaque chargée, empoignade… ça bastonne, ça saigne, c’est défoulant.
Ça saigne tellement, au point que la santé des ennemis n’est pas montrée par une barre de vie mais par l’état de la tronche des ennemis, plus ils sont endommagés, plus il saigne sur leur face, et vous de même (mais vous, vous voyez votre barre de vie).
L’ambiance du jeu est sanguinolente, glauque et franchement malsaine. Certains niveaux sont crades. Je dis bien certains…il est regrettable que les développeurs n’aient pas gardé cette ambiance glauque dans tous les niveaux. En effet, certains sont plus « gentillets » que certains autres, dommage.
En effet, c’est la principale « qualité » du jeu : son côté sanglant/glauque. Le reste est classique.
Le scénario ? C’est de la merde. Oui oui, parce qu’il faudra m’expliquer le lien entre la révolution bolchévique, la mafia russe, une drogue bizarre qui fait voir des zombies et, le meilleur pour la fin, des CRS en Russie avec un équipement moderne (années 2000) lors de la révolution russe. Non en fait, cherchez pas, y a rien a trouver. Je crois que les devs ont abusé de leur propre poudreuse.
Le scénar est caca mais les devs pensent qu’il n’est pas caca, du coup, il essaye par tous les moyens de vous le faire lire. Vous pouvez les passer mais à moitié. C’est-à-dire ?
Certes, vous passez les dialogues mais la mise en place de la scène, elle, est impassable, du coup, à chaque fois que vous refaites un passage du jeu, vous vous tapez quelques secondes de « mise en place » des dialogues que vous passerez de toute façon. Particulièrement gavant dans le dernier niveau qui est d’une difficulté absurde.
Le jeu ne vous permet p as de reprendre un niveau à un checkpoint. Faites le niveau d’une traite ou recommencez. Les deux derniers niveaux sont un enfer pour ça, j’ai même abandonné la scène finale, et je ne la relancerai pas, pas envie de me retaper le niveau en entier. Ma patience commence à s’effriter là, m’voyez.
Le jeu vous permet de recruter une I.A pour vous aider. Cool !!!sauf qu’elle est con comme un balai premier prix. Incapable de survivre aux situations spéciales du jeu qui sont variées, elle meurt en boucle. Elle a aussi une tendance à vous oublier : vous tombez à terre ? L’IA continue son business comme si de rien n’était, ne vous relève pas et meurt, vous obligeant à recommencer le niveau. Je me suis arraché les cheveux, à cause de vous, je suis chauve maintenant.
La musique est très inégale, comme le reste, certains thèmes sont sympas et rappelle Hotline Miami mais la plupart sont fades et oubliables.
Certaines Hitbox sont foireuses : les chiens notamment, ce sont les ennemis les plus insupportables du jeu.
Le jeu, globalement, me laisse un gout amer, il est chouette les 3 premières heures et devient une purge les 3 dernières. Le scénar n’a aucun intérêt, y a des gros mots juste pour faire style : « j’suis cool wesh », certains niveaux sont sympas à parcourir (le labo, le squat et le club notamment) d’autres sont rageant parce que l’ia est débile, que les hitbox ne sont pas toujours au point et parce que certaines situations sont mal équilibrées (le boss).
En conclusion : un beat’em all maladroit, à réserver à ceux qui veulent leur dose et qui ont une patience a toute épreuve.
Steam User 15
Douce mère Patrie...
Mother Russia Bleeds, sorti en 2016, est un Beat'em Up Gore où l'on incarne des combattants clandestins qui se font capturer par l'Etat, et subissent d'étranges expériences au sein d'un labo. Vous allez découvrir une drogue hors du commun.
Les plus :
- La direction artistique est tout simplement ouf ! Les décors sont gores, violents, prenants, détaillés. Les ennemis qui se déforment au fur et à mesure qu'on leur fracasse le crâne, etc... Bref, chapeau très bas.
- La bande-son, sorte de techno aggressive, colle parfaitement à l'ambiance du jeu.
- L'histoire, bien que courte, reste intéressante, et les dialogues, assez crus, sont bien rédigés, et traduits !
- Une difficulté bien présente, bien que parfois inégale. On va passer du temps sur certains passages, et rouler sur les ennemis dans d'autres passages.
- Plusieurs choix de personnages, avec différents attributs (rapidité, puissance, etc...) ainsi que plusieurs types de drogues.
- Vous avez un mode histoire, qui se finit en 4-5h, puis le mode arène, où il faut survivre le plus longtemps possible.
- Le jeu est bien gore, avec des finish moves particulièrement violentes. Faites attention à dans quelles mains vous mettez la manette.
Les moins :
- Un gameplay assez pauvre, surtout au niveau des combos, ce qui est regrettable pour un jeu de combat.
- Un mode multijoueurs... local.
- Après avoir finit l'histoire, mis à part faire un peu d'arène, on a vite fait le tour du jeu, et sauf pour les gros fans du genre, il n'y pas grand chose de plus à faire.
- Pas compatible avec le Steam Controller. Du moins, je n'ai pas réussi à le faire marcher. Aucun problème avec une manette X360.
Conclusion :
Mother Russia Bleeds est un bon jeu de combats, bien que pauvre niveau gameplay. Ce qui le sauve sont son univers, ses graphismes et son histoire. A prendre en solde.
_ _ _ _
Si vous avez trouvé cette évaluation utile, venez rejoindre notre page de curation et nos forums !
Steam User 17
Le genre du beat'em'all est un peu perdu depuis des années, oublié de tous. Je n'en ai pas vu un de mémorable depuis l'époque 16 bits, et si j'en ai loupé, le nombre ne doit pas être trés élevé. C'est d'ailleurs sur l'époque 16 bits que s'appuie Mother Russia Bleeds afin de nous proposer une experience nostalgique des plus sanglante.
Parler du gameplay du jeu est assez simple : vous avancez, vous tapez des gens, seul ou avec un pote. Vous avez une palette de coups assez basique, allant du coup de poing plus ou moins fort, coup de pied sauté aux glissades ou autre prise. Là où Mother russia bleeds amène son petit quelque chose réside dans la gestion de la "nekro', une drogue que vous vous injectez pour soit vous soignez, soit déclencher une furie qui vous permettra d'être super rapide et d'effectuer un finish move qui va décoller la tête de vos adversaires. On peut recharger sa seringue sur certains enemies (ceux qui convulsent avant de mourir), et ça rend la mécanique assez intéressante.
Le jeu est découpé en 8 chapitres dans lesquels vous allez bastonner sec. Les enemies sont plutôt variés pour le genre,ce qui est appreciable. Vous aurez l'occasion de vous battre à main nue ou avec des armes blanches, battes, chiottes, crânes, kalashnikov etc. C'est cool, ça marche, et vous êtes récompensé à la fin de chaque chapitre par un boss totalement baisé.
Oui car ce jeu, est baisé. On nage dans l'ultra gore à la hotline miami (l'OST excellente y fait directement référence d'ailleurs) le malsain, le vulgaire. Moi je me sens bien dans ce genre d'ambiance, et si ça ne suffisait pas, les developpeurs nous ont préparé un scénario simple mais efficace, 4 personnages jouables (mais pas trés différent pour être honnête à part dans les stat' de départ). Le jeu est également gavé de références en tout genre à la pop culture. Vous vous amuserez à les reperer.
Pour faire court, ce jeu est un excellent défouloir gore, fun et bien fichu. On en redemande.
+
Le fun
Le gore
La musique
-
Quelques imprécisions quand on ramasse des objets
NOTE : 8/10
Steam User 12
Mother Russia Bleeds possède un gros point fort : sa direction artistique.
Les décors apportent en effet beaucoup à l'ambiance du jeu, c'est gore et violent. Une Russie assez glauque, et même parfois malsaine, qui donne le ton. Du pixel-art impeccable. La bande-son accompagne parfaitement l'ensemble.
C'est un défouloir efficace, j'ai même dû faire des pauses à cause d'un pouce endolori, si, si...
Différents niveaux de difficulté sont proposés, mais même en mode facile, le jeu n'est pas si simple, rien n'est gagné d'avance. Les ennemis sont variés, certains évidemment plus coriaces que d'autres. Il ne faut pas juste taper à tout va, un minimum de réflexion s'impose pour déterminer la meilleure approche face à certains ennemis.
Le mode histoire offre plus ou moins 5 heures de jeu, et le mode arène permet de prolonger l'expérience.
Mother Russia Bleeds est un beat'em up divertissant, dans un univers violent particulièrement réussi.
Cliquez ici pour découvrir plus d'évaluations
N'hésitez pas à cliquer sur "suivre" si vous appréciez le contenu de ma page de curation.
Steam User 18
Un hommage au beat them all. Un defouloir permanant, un level design soigné avec des boss bien énervés.
Plusieurs personnages et des modes qui laissent entrevoir une durée de vie très intéréssante.
En espérant que le jeu plaise pour que d'éventuelles nouveautés apparaissent a l'avenir.
En tout cas si vous êtes amateur du genre ne raté pas mother ruussia bleeds!
Steam User 12
- A l’heure où les grandes entreprises comme Ubisoft ou EA recherchent des recettes dite « miracle » pour relancer leurs séries cultes. Devolver lance des studios comme « le Cartel » (Cocorico, une firme française) qui prouve que des genres ont encore leur place dans cet univers de jeux triple A, en voici la preuve avec Mother Russia Bleeds, un Beat them all totalement décalé.
En utilisant le « pixel art », certains jeux apportent du bonheur non seulement aux fans de retrogaming, mais également à la nouvelle génération de joueurs, et on peut remercier des supports comme Steam qui permet d’avoir une multitude de jeux indépendants.
. Le bourre-pif par excellence
Le Cartel mise sur une violence rare de nos jours pour ce genre de jeux, en effet Mother Russia Bleeds n’est nullement destiné à un jeune public. Ici, vous évoluez vraiment dans un monde de brutes, loin des clichés de Streets of Rage ou de Golden Axe.
Pour les plus jeunes, le Beat theam all se classe comme un jeu d’action très musclé où vous dirigez un personnage face à des multitudes d’ennemis qui vous assaillent en contenu sur un plan 2D (la "profondeur" sert de décors, comme dans un Street fighter). Une fois les ennemis battus, vous progressez vers la droite jusqu’au boss du niveau et vous enchaînez de cette façon.
Chaque perso dispose d’une seringue avec 3 charges qui leur permet de se soigner ou de devenir « berserk », augmentant les dégâts de manière ostensible. Vous rechargez les seringues en piquant les ennemis qui convulsent dans leur mare de sang.
Vous vous débarrassez des ennemis avec une multitude de coups : légers, coups de pieds, attaque chargée, empoignade… ça bastonne, ça saigne, c’est défoulant.
Ça saigne tellement, au point que la santé des ennemis n’est pas montrée par une barre de vie mais par l’état de la tronche des ennemis, plus ils sont endommagés, plus il saigne sur leur face, et vous de même (mais vous, vous voyez votre barre de vie).
L’ambiance du jeu est sanguinolente, glauque et franchement malsaine. Certains niveaux sont crades. Je dis bien certains…il est regrettable que les développeurs n’aient pas gardé cette ambiance glauque dans tous les niveaux. En effet, certains sont plus « gentillets » que certains autres, dommage.
. La Russie, terrain de jeu
En effet, c’est la principale « qualité » du jeu : son côté sanglant/glauque. Le reste est classique.
Le scénario ? Mettez votre cerveau au repos ! Oui oui, parce qu’il faudra m’expliquer le lien entre la révolution bolchévique, la mafia russe, une drogue bizarre qui fait voir des zombies et, le meilleur pour la fin, des CRS en Russie avec un équipement moderne (années 2000) lors de la révolution russe. Je crois que les devs ont abusé de leur propre poudreuse.
Vous apprécierez l’histoire qui sera ponctué de quelques scènes mettant en scènes nos castagneurs, à l’aide de bulles façon bande dessinée ; cependant ne cherchez pas la perfection de la langue de Molière, ici tout est d’une vulgarité.
. Difficulté d’un autre âge
Le jeu ne vous permet pas de reprendre un niveau à un checkpoint. Faites le niveau d’une traite ou recommencez. Le jeu puise ses inspirations dans les premiers Beat them all et clairement le titre s’adressera à tous ceux qui ont connu des softs comme Shadow of the Beast par exemple.
Mother Russia Bleeds n’est pas un titre facile d’accès, pire il se destine vers des vieux joueurs comme votre serviteur. Il faudra de la patience et de la dextérité pour finir les 9 niveaux en tenant compte du tutoriel. De plus, il existe plusieurs fins suivant vos exploits durant la partie.
. Du rififi pour ce genre ?
La bande sonore colle parfaitement à l’action, elle pousse le joueur à vouloir toujours avancer comme un dingue. Certains thèmes portent la touche des jeux « Hotline Miami » sans pour autant être du plagiat.
On notera cependant quelques points noirs concernant la jouabilité en effet, les chiens restent sans doute les ennemis les plus « chiants » à abattre, en effet le masque de collision montre des signes de faiblesses avec ce style d’adversaires, dommage.
Prétextant à un univers ultra-violent, Mother Russia Bleeds profite de ce phénomène pour renouveler le genre, mais est-ce la bonne méthode pour être un bon jeu ? La réponse est non, bien que son ambiance adulte apporte réellement une nouveauté, il manque la correction de quelques bugs ainsi qu’une difficulté mal dosée, même pour un habitué du genre. On notera également que le jeu par moment est assez fouillis.
En conclusion : un beat’em all pouvant plaire aux fans du genre, mais à éviter pour les novices, vous voilà bien avertis.