Middle-earth: Shadow of Mordor

Top, le système de combat est excellent, tout est très clair, on prend très vite nos marques, la carte est compacte mais très dense, rien à redire, c'est du tout bon à tous les niveaux.

Ce jeu est étrangement ultra satisfaisant. Ça me procure du plaisir et de la satisfaction de démembrer et d’arracher la tête de mes ennemis. Si vous ne voulez pas perdre d'argent chez le psy essayer ce jeux

50 hours, it's what requires me to finish the 100%. This game is an absolute masterpiece of its time.

Middle-eart: Shadow of Mordor — Nemesis, la mémoire dans la peau
Terminé : Oui | Contenu annexe : 30%
Le vent de Mordor souffle sur les plaines désolées,
Talion renaît dans l’ombre, le feu de sa vengeance consumé.
Esclave et guerrier, il marche entre morts et souvenirs,
Cherchant ceux qui l’ont trahi, prêt à tout pour les punir.
Chaque confrontation résonne, chaque duel laisse une marque,
Et dans le cœur des orcs, son nom devient une ombre qui embarque.
La mort rôde, le destin s'écrit, et la soif de justice forge le chemin.
De l'ombre jaillit la lumière... ou la fin.
Derrière le sang et la fureur, une vérité se glisse : la vengeance est un cycle, et la liberté se paye au prix fort. C’est ici que commence la danse du combat et du contrôle.
Le système Nemesis est la magie du jeu.
Chaque ennemi se souvient, se venge ou s’incline à la trahison.
Les orcs ne sont pas que des cibles, ce sont des personnages avec leurs forces et leurs faiblesses,
Certains te défient, d’autres tombent avec panache, tous sculptent ton chemin dans la terreur et la finesse.
Les combats sont fluides, la progression est claire.
Améliorations, runes, compétences, les éléments RPG relèvent la saveur d'un jeu d'action très (parfois trop) généreux.
Petit à petit, Talion grandit et chaque affront devient plus brutal, jouissif.
Les répétitions existent, certains passages sont moins inspirés, mais l’intensité du Nemesis rattrape tout, et c’est là que l’histoire se nourrit du gameplay. La suite de l’aventure plonge dans le cœur même de la corruption.
L’histoire nous emmène au plus noir de Mordor, où Celebrimbor et Talion unissent leurs forces.
Deux âmes liées par la haine, la douleur et un anneau d’esprit qui les consume.
Le Rôdeur défie la Main de Sauron, affronte le destin de Celebrimbor, et découvre que la vengeance n’apporte ni paix ni pardon.
Les trahisons s’enchaînent, les alliances se brisent, mais chaque bataille révèle le prix de la loyauté et de la mémoire.
Cette épopée sombre, violente mais teintée d'une certaine poésie, montre que le courage naît dans l’ombre, et que la liberté se conquiert au prix du sacrifice.
Les thèmes abordés résonnent longtemps après les crédits de fin.
Pouvoir, vengeance, mémoire, liberté : le jeu interroge autant qu’il divertit et peu lasser.
La musique enveloppe les plaines noires et les citadelles de désolation, accentuant la solitude et la grandeur de l’aventure.
Le système de jeu lui-même raconte l’histoire : chaque ennemi mémorisé, chaque rançon prise, chaque montée de puissance, c’est le poids de nos choix qui s’exprime. La narration s'exprime autant par les cinématiques et les révélations que par les systèmes de jeu. A chaque affrontement, nos alliés peuvent intervenir et nous sauver, ou nous trahir. Écrivant une épopée unique, un torrent d'anecdotes qui nous sera propre. Certains trouveront que cette histoire, qui s'écrit en partie d'elle même n'est pas suffisante pour les tenir sur la durée.
Car, il faut bien l'admettre, en dehors du Némesis, les mécaniques de jeu ne brillent pas par leur originalité. Les affrontements sont inspirés du système Freeflow des Batman Arkham. Le jeu s'étire parfois inutilement et il y a beaucoup de répétitions dans la structure des missions.
Je n'ai pas eu la patience de grinder pendant des heures et optimiser autant que possible, mon personnage et ses alliés.
A chaque fois que je l'ai pu, j'ai filé droit vers la conclusion de cette aventure.
L'Ombre du Mordor ne se contente pas de raconter une histoire, il la fait vivre à chaque mouvement, à chaque souffle, à chaque échec et victoire. Pour le meilleur, et pour le pire.
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Pour ceux qui joueront après !

Ce jeu est un pure banger, je le conseille a tous fans de assassin's creed, car il reprend beaucoup de mécaniques des opus d'Ubisoft. A la surface, on dirait juste un Assassin's creed dans le seigneur des anneaux mais non ! Beaucoup de mécanique ont été inventées (par exemple le systeme de capitaine, chefs de guerre etc. est très complet et ajoute une touche bien fraîche au jeu) et le gameplay très fluide, surtout pour un jeu de 2014 non remasterisé ! en bref, je conseille de fou ce jeu, surtout pour la rentabilité : seulement 20 euros pour au moins 40-50H de jeu ! IN-CROY-ABLE !!!

Un gameplay très satisfaisant avec le système némésis qui rend les combats avec les capitaines très amusant, via des one-liner et des événements qui rend chaque combats voire multiples combats très mémorable, comme Bûbol et sa lame empoissonnée qui m'a tuer 5 fois au début du jeu pour le revoir 3 fois après l'avoir tuer et le voir défendre la dernière forteresse durant la dernière mission, c'est beau !

Très bon jeu, un peu à la assassins creed, monde ouvert, on dévérouille des zones en montant en haut d'une tour, furtivité assassinat, mode de combat, beaucoup de ressemblance mais sur un univers différent