Mafia III
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Now back home in New Bordeaux, Lincoln is set on escaping a criminal past. But when his surrogate family, the black mob, is betrayed and wiped out by the Italian Mafia, Lincoln builds a new family on the ashes of the old and blazes a path of military-grade revenge through those responsible. Intense gun fights, visceral hand-to-hand combat, white knuckle driving and street smarts will all be needed
Steam User 6
Il m'a fallu 9 ans avant de le faire à cause des avis négatifs, j'aurais dû le faire plus tôt si j'avais su.
L'histoire était vraiment bien, le gameplay aussi. Juste le DLC avec les sataniques qui était vraiment bizarre et dispensable.
Steam User 6
Mafia III: Definitive Edition est un jeu à part. Ce n’est peut-être pas le plus raffiné sur le plan du gameplay, mais il compense largement par sa narration viscérale, son puissant propos social et son approche cinématographique rarement égalée dans le genre.
On incarne Lincoln Clay, vétéran afro-américain du Vietnam, dans une reconstitution saisissante du sud des États-Unis en 1968. L’histoire est racontée comme un documentaire criminel, avec des flashbacks, des interviews, et une réalisation digne des meilleures séries HBO. Le scénario, dur et sans fard, aborde des sujets forts : racisme systémique, ségrégation, guerre, corruption, vengeance, avec une sincérité rare dans un jeu vidéo.
En ce sens, Mafia III est presque instructif. Sa fidélité historique, tant dans l’architecture, les décors, les affiches, les enseignes ou la structure urbaine des quartiers (pauvres/riches, noirs/blancs, industriels/ruraux), force le respect. La ville de New Bordeaux est vivante, détaillée, crédible… mais aussi un peu trop vaste.
Malheureusement, c’est un jeu à patounes : on arpente une carte immense sans qu’elle serve vraiment. On admire à peine tous les détails (graphismes, signalétiques, affiches de propagande, etc.) tant on est happé par une boucle de gameplay redondante :
Trouver une cible → saboter son business (vols/meurtres) → déclencher une confrontation → attribuer le quartier à un lieutenant → recommencer dans le quartier suivant.
Cela fonctionne un temps, mais s’étire beaucoup trop. Chaque lieutenant n’a que trois petites missions secondaires, et c’est tout.
L’IA est quasi absente : la police est lente et inefficace, les passants se jettent sous vos roues comme s’ils voulaient mourir, et les accidents n’ont aucun effet réel, la limite entre décors destructible et décors non destructible n'est pas toujours clair, beaucoup de murs invisibles dans l'eau. Tout ça donne parfois l’impression de jouer dans un monde en carton-pâte — sauf quand les cinématiques reprennent la main.
Les DLC proposent des contenus plus variés, mieux rythmés, parfois même plus drôles ou surnaturels. Ils montrent ce que le jeu aurait pu être s’il avait osé plus de variété dès le début.
Pour ma part je suis largement séduit.
Steam User 2
Mafia III, c’est un peu comme une grande berline américaine des années 60 : classe, imposante, charismatique… mais pas toujours souple dans les virages. Pourtant, malgré ses défauts techniques, j’y reviens avec plaisir, parce que ce jeu, c’est une ambiance, une claque narrative, une proposition forte.
On incarne Lincoln Clay, vétéran de la guerre du Vietnam, qui revient à New Bordeaux (sorte de New Orleans) pour voir son monde s’effondrer. Et ce que le jeu raconte, la vengeance, le racisme institutionnalisé, les tensions raciales des années 60, la guerre intérieure des hommes brisés, c’est rare, fort, bien écrit. Oui, le gameplay tourne parfois en boucle, oui la structure des missions est répétitive. Mais, quand on gratte la surface, on découvre un diamant brut.
New Bordeaux est un personnage à part entière. Sa bande-son est tout simplement exceptionnelle. Entre les courses poursuites sous Paint it Black ou une planque sous The House of the Rising Sun, chaque moment est sublimé par une musique qui sent le sang, le cuir, et l’Amérique fracturée. Lincoln, c’est pas juste un dur à cuire qui tabasse dans tous les sens du terme, c’est un type qui a été broyé par la guerre, la société, la trahison et ça transpire dans son regard, dans sa démarche. Il ne cherche pas à être aimé. Il cherche à reconstruire quelque chose dans un monde où tout est corrompu. C’est rare d’avoir un protagoniste aussi crédible et tragique dans un open world. Ca me rappelle mes meilleurs amis de Sarcelles (mention spéciale à Afro-Cartel pour les connaisseurs) qui cherchaient à faire leur place dans un monde qui leur était hostile.
Vraiment, Mafia III n’est pas parfait, mais il a quelque chose que beaucoup de jeux plus “propres” n’ont pas : une âme. Si on cherche une histoire sombre, stylée, marquée par les cicatrices de l’Amérique profonde, on peut foncer sans hésiter.
Steam User 2
not a bad game by all account, not better than the 1 or 2 but still a pleasent time since the vast majority of bug have been fixed
(sorry for the spelling miskate, english is not my first language)
Steam User 3
Malgré son gameplay répétitif, le jeu a un bon scénario et une bonne ambiance
Steam User 1
J'ai beaucoup aimé, c'est varié et les graphiques sont supers. Pas mal de bugs (impossible de lancer en écran total, mais on peut y revenir quand le jeu est lancé et la manette se déconnecte souvent, il faut faire escape avec le clavier puis B avec la manette et quand ça arrive au moment inopportun c'est pas top)
A part ça, j'en suis à 1200 heures de jeu !
Steam User 1
Vraiment sympa, cependant certaines missions étaient assez répétitives et c'est assez dommage car ça ruine l'ensemble