Imperator: Rome

Un des meilleurs jeux de stratégie auquel j'ai joué jusqu'à présent.
Ambiance sonore au top, gameplay prenant, pas trop compliqué à comprendre après quelques parties.
J'en suis à plus de 350h et j'apprends toujours de nouvelles choses sur la façon de gérer au mieux.
Les succès sont aussi marrants à faire, ils permettent de reproduire certains fait réels (ex : refaire l'empire d'Alexandre le Grand ou l'Empire Romain) et fournissent par moment un bon challenge (ex : conquérir la map entièrement).
Bref le genre de jeu où on voit pas le temps passer.
Je recommande à 200%.

A very great game in a state of abandon by Paradox, saved by mods
If you want to play Imperator Rome for the first time, or just get back to it, the mod Imperator Invictus is a must have. Adding tons of missions, culture and new tag to the vanilla game, in fact it is so good that Paradox allowed compatibility between achievements and Invictus.

As much as I love the game, I don't think that the vanilla game is worthy to play. With mods, it is a really pleasant game. The only complain I have is civil war, you must defeat ennemies army tons and tons of time, as in reality, a few decisive battle would suffice. Or just take all their territory, very chronophagique.

Évaluation pour Imperator: Rome
Points positifs :

- Profondeur historique : Imperator: Rome offre une reconstitution détaillée de l'Antiquité, avec une carte vaste et des factions variées. Le jeu capture les complexités politiques, sociales et économiques de l'époque, rendant chaque partie unique et immersive.
- Système de gestion détaillé : Le jeu propose une gestion approfondie des ressources, des provinces et des personnages. Les joueurs doivent équilibrer l'économie, la loyauté des gouverneurs et les besoins militaires pour maintenir la stabilité de leur empire.
- Diplomatie et politique : Le système diplomatique est riche, permettant des alliances, des trahisons et des intrigues politiques. Les personnages jouent un rôle crucial, avec des traits et des ambitions qui influencent le cours du jeu.
- Graphismes et interface : Les graphismes sont détaillés et l'interface utilisateur est bien conçue, facilitant la gestion des nombreuses variables du jeu. Les cartes et les modèles de personnages sont particulièrement bien réalisés.
- Évolutivité et modding : Le jeu bénéficie d'une communauté active de moddeurs, permettant d'ajouter des contenus supplémentaires et de personnaliser l'expérience de jeu. Les mises à jour régulières des développeurs enrichissent continuellement le jeu.


Points négatifs :

- Courbe d'apprentissage raide : Comme beaucoup de jeux de Paradox Interactive, Imperator: Rome peut être intimidant pour les nouveaux joueurs. La complexité des systèmes de jeu nécessite du temps et de l'effort pour être pleinement maîtrisée.
- Début difficile : Les premières versions du jeu ont été critiquées pour leur manque de profondeur et de contenu. Bien que de nombreuses améliorations aient été apportées, certains joueurs peuvent encore trouver le jeu moins riche que d'autres titres de Paradox.
- Gestion des personnages : La gestion des personnages peut parfois sembler lourde et répétitive. Le besoin constant de surveiller leur loyauté et leurs ambitions peut devenir fastidieux.
- Problèmes de performance : Le jeu peut souffrir de problèmes de performance, en particulier lors de parties avancées avec de nombreux personnages et provinces à gérer.
- Dépendance aux DLC : Bien que le jeu de base offre une expérience solide, de nombreuses fonctionnalités intéressantes et des améliorations sont ajoutées via des DLC payants, ce qui peut augmenter le coût total du jeu.


Résumé :
Imperator: Rome est une simulation historique riche et détaillée qui plonge les joueurs dans les complexités de l'Antiquité. Avec un système de gestion approfondi, une diplomatie complexe et des graphismes soignés, le jeu offre une expérience immersive pour les amateurs de stratégie et d'histoire. Bien que la courbe d'apprentissage soit raide et que certaines mécaniques puissent sembler lourdes, les mises à jour régulières et la communauté active de moddeurs enrichissent continuellement le jeu. Recommandé pour les joueurs prêts à investir du temps pour maîtriser une simulation historique complexe et gratifiante.

Un jeu qui a connu une histoire tumultueuse.
Je l'ai acheté à la sortie pour ne faire qu'une partie. Attendant la sortie de nouveaux contenus pour redonner du souffle au gamelplay trop redondant autrement entre les nations. Le succès en demi-teinte de cet opus de Paradox a coupé court à mes espoirs de voir la franchise être poussée plus avant.
Pourtant, le travail acharné des équipes du mod "Invictus", ainsi que la porte ouverte par l'éditeur, redonne un vrai souffle à Imperator.
Avec le mod, il est désormais possible de débloquer les trophée Steam, ce qui est un plus pour les puristes des licences de l'éditeur.
Les mécaniques économiques, culturelles et religieuses sont sans doute les plus abouties pour ce genre de jeu.
En conclusion :
Un bon jeu qui n'aura sans doute plus de nouveau contenu en dehors des mods, mais qui propose une expérience suffisamment enrichissante pour mériter sa place dans une bibliothèque Steam.

Je ne fais pas souvent de review, mais là, j'ai passé 30h de jeu en 3 jours, rien de plus à ajouter. Le jeu est assez compliqué à prendre en main, mais une fois les mécaniques et aspect du jeu compris, on arrive plus à décrocher. " PATRES !!! "

Excellent jeu, dommage que Paradox l'est abandonné au profit de jeu plus décevants, ou un énième DLC à 20€

Je n'ai pas connu le jeu à ses débuts donc peut-être certains jugeront mon avis illégitime.
Cependant je juge le jeu tel qu'il est, c'est à dire ce à quoi il ressemble aujourd'hui.
Comme tout bon jeu Paradox, il faut compter une bonne dizaine d'heure pour apprendre ne serait-ce la base.
Mais passer ce cap, le jeu se révèle être un formidable jeu de gestion dont Paradox à la maîtrise avec un système assez différent des autres jeux pour nous permettre de découvrir autre chose.
Le jeu qu'Est IMPERATOR : ROME aujourd'hui mérite d'avoir sa note relevé.