Grow Home
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In Grow Home you play as BUD (Botanical Utility Droid), a robot on a mission to save his home planet by harvesting the seeds of a giant alien plant. On his quest BUD will discover a beautiful world of floating islands that are home to some rather strange plants and animals. Grow the giant plant and use your unique climbing abilities to reach ever higher ground, but be careful…one wrong move and it’s a long way down! Key Features Climbing: Procedural animation allows you to move BUD's hands independently, creating a unique and unrestricted climbing experience. Growing: Guide and ride the giant alien plant as you create your own pathways in the sky. Everything you grow can be climbed on. Use it as a bridge, a safety net, or simply as a tool for artistic expression.
Steam User 34
Dans une industrie où aujourd'hui tous les jeux indépendents sortent en early access (donc ne sortent pas), il est bon de voir un jeu raffraichissant, fini et pas cher.
oui, je sais que Grow home n'est pas vraiment un jeu indépendent, mais pour moi, il en a toutes les caractéristiques in-game
Certes, le jeu n'a pas une grosse durée de vie, certes il n'est pas graphiquement au top.
Mais il est fun, très fun même, pour peu que vous aimez explorez et découvrir, vous laissez surprendre.
Et puis, on peut être graphiquement laid, mais visuellement ou artistiquement beau, comme minecraft, et comme ici GH.
Malgré parfois des petits soucis de caméra, les contrôles sont bons. Je joue à la souris/clavier, et je ne sais pas pourquoi les devs recommandent un pad.
Un jeu qui m'a touché, et qui j'espère en touchera d'autres
Steam User 21
Grow Home
Lien vers le test
Ces dernières années, on entend beaucoup parler des titres Ubisoft grâce (ou à cause, argueront certains) de leurs campagnes marketing assez énormes, qui multiplient annonces, vidéos et pubs fracassantes. Mais à côté, il y a des petits jeux, beaucoup moins exposés, que l'éditeur qualifie même d'indés, comme le poétique Child of Light, ou encore l'émouvant Soldats Inconnus... Aujourd'hui, on va s'intéresser à Grow Home, un jeu sorti début février sur la plateforme Steam, développé par Reflections, un studio d'Ubisoft dont on entend peu parler, ce qui est fort dommage, quand on voit la qualité du titre suscité.
Dans Grow Home, on incarne un Botanical Utility Droid, qu'on appellera plus simplement B.U.D. Ce robot n'a qu'un objectif : voyager de planètes en planètes afin de trouver une plante rare qui saura apporter l'oxygène nécessaire à l'espèce qu'il sert. Gros coup de bol, la planète où on vous envoie contient cette fameuse plante. Maintenant, il ne reste plus qu'à la trouver, en utilisant les diverses capacités de notre beau robot.
Après une chute de plusieurs milliers de mètres, vous voilà sur la terre ferme, B.U.D se relève, un peu hésitant. Le joueur, à l'aide de sa manette (le jeu a été pensé pour être joué à la manette, mais l'expérience clavier/souris reste satisfaisante) va faire avancer le personnage. Et là, on se rend compte d'une chose, notre robot ne sait rien, il est pleine phase d'apprentissage. Les premières minutes se révèlent très amusantes (merci les déplacements gérés de manière procédurale), on prend plaisir à voir notre personnage tituber avant de trouver l'équilibre, hésiter lorsqu'il doit saisir un objet, s'agripper ou encore sauter... D'autres éléments viendront enrichir le panel de compétences du personnages via des cristaux à récupérer ça et là sur les différentes îles.
Car oui, il y a de nombreuses îles à explorer dans Grow Home, toutes sont "accessibles" dès le début, il suffit juste de trouver comment s'y rendre en observant son environnement. Le jeu se visite surtout verticalement grâce à la plante centrale, qu'on comparera volontiers au haricot magique de Jack. Il faudra forcément passer par là pour escalader et visiter chaque recoin du monde, on grimpera, via les 2 gâchettes, LT pour le bras gauche, RT pour le bras gauche sur les différents éléments du décor afin de visiter et récupérer les quelques objets, cristaux, plante pour planer, etc... C'est un vrai plaisir de parcourir la planète qui s'offre à nous, les environnements sont tous plus reposants les uns que les autres, l'atmosphère qui règne y est paisible, et change en fonction du moment de la journée ou de la nuit (mention spéciale au crépuscule qui offre des paysages sublimes), et en fouillant un peu, on peut tomber sur des grottes ou des animaux tous mignons qui vous donneront le sourire à coup sûr, si du moins vous n'êtes pas insensible à la direction artistique du jeu, qui m'a personnellement enchanté de par son côté épuré, mais qui ne plaira pas à tout le monde.
La seule chose qui peut décevoir dans Grow Home finalement, c'est la brièveté de l'aventure. En prenant mon temps, il m'aura fallu moins de 3 heures pour en voir le bout. Pour atteindre les 100%, comptez 4-5 heures, grand maximum. Et bien que le voyage fut très plaisant, je ne vois aucune raison de recommencer une nouvelle partie, puisque le jeu n'aura rien de plus à proposer.
Le titre de Reflections est l'une de ces bonnes surprises de ce début d'année, à n'en point douter. Il est dommage de voir qu'Ubisoft n'ait pas jugé bon de l'exposer davantage, mais nul doute que le bouche à oreille, la qualité et le prix très bas du titre (7.99€) permettront au jeu de connaître un petit succès. En tout cas, il le mérite.
Steam User 16
Conclusion :
Un jeu Ubisoft qui ne nécessite pas UPlay ! J'encourage à fond !
Petit jeu très joli qui vous donnera du fil à retordre :)
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Conditions :
Attention : se joue à la manette
Acheté à environ 5€
Se finit en 2H30 (mais perso 15H pour avoir tous les succès)
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Les plus :
Un style jamais vu ! (Univers un peu Mario Galaxy VS escalade/découverte un peu Minecraft)
Un rendu graphique très bon ! (1080p60 sur une GTX 560M)
Un prix correct (environ 5€)
Les moins :
La prise en main (la maniabilité du personnage est très dure)
Les bugs de collision (arrive que les objets/surfaces attrapées vous tombent des mains…)
Les bugs via le téléporter (si vous restez bloqué dedans appuyer sur les crois directionnelles de votre clavier pour sortir)
Steam User 14
Game by Ubisoft that doesnt require Uplay. 21/20
Steam User 12
Cette évaluation a été co-rédigée avec Kitsune-Musume, qui a oscillé entre moments de joie et frustrations en parcourant le jeu. Votre serviteur, quant à lui, s’est éclaté comme un gosse à explorer tous les secrets de Grow Home.
Grow Home, c’est un peu le résultat d’un croisement hypothétique entre Octodad – qui serait au passage amputé de 6 tentacules, Treeker – pour le côté low poly et couleurs pastels – et enfin Jack & le Haricot magique – pour le thème. Mais avant tout, il reste une expérience vidéoludique originale à vivre.
Dépêché sur une nouvelle planète où une plante-étoile a été localisée, le petit B.U.D. (Botanical Utilitary Bot) a une mission : analyser l'écosystème et faire pousser la gigantesque plante afin d'atteindre de nouveaux sommets. En poussant, celle-ci libérera des bourgeons qui permettront au petit robot de faire croître des branches qui se connecteront à des îles disséminées dans l'univers. Bourgeon après bourgeon, branche après branche, la plante atteint une dimension colossale et permet au joueur de façonner son monde de manière unique.
Soyons francs, ce jeu basé sur un projet expérimental, à savoir à l’origine la mise en mouvement d’animations procédurales dans un jeu d’aventure – et notamment l’aspect monde ouvert qui offre un gameplay basé sur la physique – regroupe des caractéristiques qui ne plairont pas aux moins aventureux/patients d’entre nous ; et on les comprend tout à fait. Mais pour les joueurs aguerris et blasés du grand monde vidéoludique, Grow Home offre une expérience rafraîchissante et une ambiance de jeu posée. Les animations procédurales permettent de calculer en temps réel les mouvements du petit B.U.D. en fonction du terrain, de sa vitesse, son élan, etc., ce qui provoque une véritable sensation de crapahutage et un très bon feedback en matière de grimpette.
Les deux bras-pinces du petit robot peuvent en effet saisir les surfaces lorsque l'on presse les gâchettes correspondantes (ou que l'on utilise les deux clics de la souris, parce que oui, ça se joue parfaitement bien avec le combo préféré des pécéistes). C’est très difficile à décrire, mais l’impression de faire tout soi-même est bien retranscrite, sans que l’on se torde les doigts/neurones comme dans un « Octodad » ou un « I am Bread », tout en profitant d’une précision particulièrement fine ; il faudra toutefois compter un petit quart d’heure d’habituation afin d’escalader naturellement les parois les plus ardues.
En matière de sensations, ce ne sera pas tout, puisque B.U.D. pourra faire du parachute (avec l’aide de mignonnes pâquerettes), du trampoline sur les feuilles de la plante-étoile ou encore du parapente avec des feuilles mortes de la taille d’un homme. C’est clairement grisant, et rien ne viendra nous limiter, la faune et la flore locale ayant la particularité de réapparaître toutes les minutes. De même, chevaucher les bourgeons de la géante plante ne sera pas chose aisée à prendre en main au début mais rien ne vous empêche d’en saisir de nouveaux, et ce, autant de fois que vous le voudrez. Ce bout de planète devient alors un terrain de jeu géant qui nous sera familier à force de passer et repasser, par d’autres recoins encore, au travers des fondations d’une œuvre qui grandit à la sueur de nos petites mains.
On ne va pas vous mentir, la frustration sera aussi au rendez-vous. Tomber de 1500 mètres d’une île flottante car on a perdu une accroche ou parce que B.U.D. contient mal son inertie – les animations entraînent alors parfois le robot un mètre en avant, qui se prend alors comiquement la tête dans les pieds – est rageant.
Que reste-t-il alors à faire de plus dans Grow Home si ce n’est la quête principale ? Eh bien, vous pouvez en parallèle chercher les 100 cristaux qui sont cachés un peu partout sur les îles, dans les cavités ou la plage sur laquelle vous atterrissez. Cette tâche n’est pas anodine puisqu’elle viendra récompenser les complétionnistes par des bonus progressifs, et en particulier des améliorations pour le jetpack du robot.
Vous pouvez encore faire le débile en jouant avec les objets interactifs du monde de Grow Home (moutons, plantes, et autres espèces) et en les amenant se faire analyser par le scan intégré dans chaque téléporteur (encore une fois, une petite récompense vous attend si vous arrivez au terme de l’objectif). Enfin, une dernière quête de collecte optionnelle vous sera attribuée en finissant le jeu. Il y a de quoi passer alors de 5 à 10 heures suivant l’intérêt que vous portez à l’univers du jeu.
En définitive, Grow Home propose une recette astucieuse mêlant l'expérimental, le procédural et l'exploration pour un cocktail plaisant, plein de douceur dans les phases de découvertes et avec des touches d'acidité dans les moments où l'on perdra le contrôle du petit robot. À consommer sans modération.
Steam User 9
Après 4h je peux dire que je ne suis pas déçu. C'est un jeu de sensations et de fun à construire soi même. J'imagine que si on attend que le jeu nous dise tout, on peut être déçu qu'il n'y ait pas grand chose. L'histoire sert de prétexte et ça me va très bien. Je peux ainsi me faire ma petite aventure dans ma tête, et les mécaniques de gameplay (escalade, crystals, bourgeons et plante principale) sont suffisantes pour cela. Alors emparez-vous de ce bon délire et vous ne le regretterez pas. Je pense qu'en 6h j'aurai terminé, c'est tout à fait correct pour 8€.
Bonus, ma vidéo découverte du jeu:
Steam User 7
Je joue sur Linux. Version Linux : excellente.
Le jeu
Un petit jeu d'exploration. Autant au début il est un peu difficile de controler BUD, qui ne tient pas bien sur ses jambes et à tendance à partir un peu ni'mporte où, autant après quelques temps, on s'habitue à la légère inertie des mouvements. La façon dont il grimpe - on contrôle chacun de ses bras avec les gâchettes de la manette - est bien pensée, c'est cohérent, même si un peu déroutant au début.
Les graphismes sont basiques à bases de gros polygônes, le léger son ambiant est un poil pénible au bout d'un moment, mais on peut toujours le couper dans les paramètres.
Faire pousser les plantes est un challenge, on peut vaguement contrôler la direction mais ça reste difficile, et la gestion de la caméra dans ses moments là n'aide pas, c'est le principal reproche que je ferais au jeu.
Sinon, c'est mignon tout plein, de petites touches d'humour dans les dialogues de MOM, et la traduction est très bien (enfin de ce côté je n'en attendais pas moins d'Ubisoft).
Rejouabilité, achievements
La plupart des achievements sont obtenus au cours du jeu. Les seuls qui sont un peu pénibles sont qui nécessitent de faire plusieurs fois certaines actions (30 fleurs, 50 sauts, 30 mins de deltaplane, ...), vu que la plupart sont loin d'être nécessaires pour terminer le jeu.
En bref
Un petit jeu de parkour/exploration plutôt sympathique.
GNU/Linux
La version Linux est excellente, en dehors du problème récurrent avec Unity, la locale FR fonctionne mal. Ici, la manette pose problème (axe vertical non reconnu, ...). Donc, lancez le avec "LC_ALL=C %command%" pour régler le soucis. J'y ai joué avec le F170 (en mode XInput, le mode DirectInput est mal reconnu).
OS: Linux Mint 18.3 x64, MATE edition.
Hardware : i7 7700K OC@5Ghz, Nvidia 1080GTX, 32GB ram.
Screens : Triplescreen, dont un vertical, un seul screen X.