Green Hell
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GREEN HELL is an Open World Survival Simulator set in the uncharted unique setting of the Amazonian rainforest. You are left alone in the jungle without any food or equipment, trying to survive and find your way out. Clinging to life, the player is set on a journey of durability as the effects of solitude wear heavy not only on the body but also the mind. How long can you survive against the dangers of the unknown? On this journey, you won’t get any help from the outside world. Equipped only with your bare hands you’ll have to learn actual survival techniques to build shelters, make tools, and craft weapons in order to hunt and defend yourself. Constantly threatened by the jungle you’ll fight with both wild animals and tropical sicknesses. Players will also have to face the traps set by your own mind and fears that crawl in the darkness of the endless jungle. STORY You are thrown deep into the emerald and impenetrable Amazonian rain forest. The green hell. Your goal is to survive in the depths of a nightmarish environment using truly intuitive means to escape. Having only a radio at your disposal you will follow the familiar voice of a loved one through this endless and inhospitable jungle, unveiling bit by bit how you got there in the first place. What you discover will be worse than what you fought so hard against to survive.
Steam User 9
Ce jeu nous apprend la résilience.
On m'a empalé, piqué, mordu, griffé, je me suis noyée, évanouie, foulée la cheville, brûlée, empoisonnée ...
Pour la science et la découverte, j'ai goûté à tout et je l'ai regretté xD
Chercher à rester full life en exploration est fastidieux avec trop de perte de temps car il se passe toujours quelque chose... il faut faire des compromis. (exemple= faire un feu pour cuire ta viande = avoir de la stam pour allumer le feu = dormir dans un lit de préférence sinon tu as des vers sous la peau = baisse de la faim = faut manger ++ = tu as la stam pour allumer ton feu mais il pleut = construire un abris pour protéger ton feu ou trouver une grotte = fatigue = tu dors = tu crèves de faim et tu es encore pire qu'avant = visite surprise d'un jaguar ou de zoulou = potentiel décès = perte d'une partie de tes affaires + armure).
Je me contente donc d'un régime banane/noix et hydrique XD c'est moins dangereux et pas de perte de temps !!
La map est immense, l'histoire est folle et nous offre tellement de choses à faire.
Il ne faut pas être frileux avec la survie car elle est poussée à son paroxysme.
Amateurs du genre, foncez !!
Steam User 5
« Comment mourir bêtement dans la jungle en 32 façons différentes »
(…et recommencer, parce que c’est trop bien. Eh ouais on aime en prendre plein la tronche ! )
Green Hell : la survie, mais pas pour les touristes ou marseillais à la télé !
Bienvenue dans Green Hell, ce jeu de survie où chaque plante veut ta mort, chaque grenouille est une arme biologique, et où tu passes plus de temps à regarder tes mollets qu’à admirer le paysage. Oh merde vous l'avez vu l'araignée banane ? ? ?
Tu incarnais un anthropologue. Tu voulais juste étudier les tribus. Maintenant, tu es torse nu, couvert de sangsues, en train de manger un escargot cru à côté d’un feu que tu n’arrives pas à allumer sous la pluie. Bienvenue dans l’enfer vert. Vite les toilettes...
Green Hell est un jeu de survie réaliste en monde ouvert, développé par Creepy Jar, sorti en 2019 (PC) puis sur consoles ensuite. Le joueur incarne Jake Higgins, un anthropologue perdu en Amazonie, qui doit survivre dans un environnement hostile tout en découvrant une histoire psychologique sombre et haletante. C'est mon deuxième jeu de survie auquel j'ai joué et pour un deuxième, la vache j'ai failli perdre ma boussole mentale.
Points forts
1. Réalisme brutal mais captivant
Green Hell ne rigole pas avec le mot survie. Il faut manger, boire, dormir, mais aussi vérifier ses membres pour détecter des blessures, infections, parasites... et les soigner manuellement. Ce niveau de micro-gestion pousse à la prudence constante et crée une immersion très forte. Et en plus de cela il faut gérer le mental et les hallucinations. Non pas un éléphant rose dans un couloir mais des beaucoup plus violentes...
2. Une jungle vivante (et mortelle)
La jungle amazonienne est magnifiquement rendue : c’est une carte dense, sauvage, où la flore et la faune sont à la fois ressources et dangers. Un bruit dans les feuilles, et c’est peut-être un jaguar... ou juste un singe moqueur. Ambiance garantie avec option flipette !
3. Une histoire psychologique inattendue
Contrairement à beaucoup de jeux de survie pure, Green Hell propose un mode Histoire, centré sur la relation entre Jake et sa compagne Mia. C’est un vrai atout, avec un fil narratif solide, et une descente psychologique qui justifie le titre du jeu. Mais pourquoi je suis là ? Mon dieu...
4. Un crafting intelligent et satisfaisant
Tu ne ramasses pas un lit tout fait : tu construis pièce par pièce. Chaque outil, abri ou piège est le fruit d’une logique de survie crédible, et il faut souvent improviser avec ce que la nature t’offre… ou ne t’offre pas. En plus pas de sauvegarde n'importe où ou n'importe comment, non ton abri est ton point de sauvegarde alors n'oublie jamais de le faire, sinon tu pourrais le payer cher en repartant de beaucoup plus loin.
5. Coopératif
Le mode coop (jusqu’à 4 joueurs) permet de partager la galère, ce qui rend l’expérience plus riche, moins anxiogène... ou plus chaotique, selon les coéquipiers. Parfait pour tester une amitié à l’épreuve des sangsues. Mais çà je l'ai pas testé, ce n'est qu'une déduction par rapport à mon jeu solo.
Points faibles
1. Répétitivité à long terme
Comme beaucoup de jeux de survie, une fois le cycle de gameplay bien maîtrisé, certaines actions deviennent un peu mécaniques : ramasser, cuire, soigner, construire. Le stress retombe un peu trop vite quand tu maîtrises le système.
2. Interface et ergonomie parfois lourdes
Le système de gestion corporelle (scanner ses membres, appliquer un remède précis, etc.) est immersif mais peut devenir fastidieux. On passe beaucoup de temps dans les menus, surtout au début à chercher et comprendre.
3. Quelques bugs et rigidités
L’IA des animaux est parfois étrange, les collisions un peu hasardeuses, et certaines mécaniques (comme la sauvegarde ou la détection de certaines plantes) peuvent frustrer. Par contre les dev il y a encore quelques mois continuaient à sortir du contenu et des patchs, donc très bon suivi de leur part.
Conclusion
Green Hell est un excellent représentant du genre survie réaliste, avec une ambiance unique et une attention méticuleuse au détail. Loin des clichés de survie « Hollywoodienne », c’est un jeu intense, exigeant, et profondément immersif, qui propose en plus une histoire forte — rare dans ce type de jeu. Une belle claque pour moi en tout cas.
Steam User 3
On est revenus sur Green Hell après 1ans voir plus, pour "voir l'évolution".
On l’avait déjà testé à sa sortie sur PS4… à l’époque c’était flou, pas ouf.
Aujourd’hui ?
Le gameplay est bien meilleur, plus fluide, plus riche, MAIS...
L’histoire ? Les objectifs ?
Mystère total.
On sait pas trop ou chercher, et mise à part les infos dans notre carnet et les quelques appel radio de notre femme bon..pas évident :/
Mais avec des potes ?
C’est un chef-d’œuvre de chaos.
Un qui lèche une grenouille et meurt empoisonné.
Un autre qui mange un champignon, vomit, meurt, respawn, remange un champignon, re-meurt.
Un qui se fait sauter dessus par un jaguar en 1v1...
Et le dernier qui devient fou parce que les autres meurent en boucle, entend des voix, voit des ombres… puis meurt aussi.
Tout ça, pendant que moi je construis une cabane bancale au bord d’une rivière.
8/10, même si je sais toujours pas ce que je fais.
P.S. : Ne tapez pas les grenouilles, vraiment.
Steam User 3
Au début, nous n'avons pas du tout accroché de par la difficulté du jeu, ensuite en désactivant le paramètre santé mentale, le jeu devient plus jouable. Je ne suis pas un joueur qui a le temps de mourir 1000 fois dans un jeu (famille, boulot, maison...). Ensuite avec mon fils nous avons réussi à bien avancer dans l'histoire, pour l'instant pas terminée car on passe notre temps à faire des constructions, c'est long car il faut trouver le bois, manger et se reposer.
Dans l'ensemble c'est un bon jeu de survie avec une histoire sympa pour peu qu'on prenne le temps de lire.
Steam User 3
De base j'avais jouer au jeu sur switch (où on a que le mode histoire) que j'ai refais deux fois vu que j'avais eu la mauvaise fin. C'est un jeu très interessant, qui demande beaucoup de recher, les plus peureux/peureuse (comme moi) peuvent faire une partie personnaliser sans les predateurs et tribus afin de se concentrer sur l'histoire. La version pc a visiblement beaucoup plus de contenu ce qui la rend plus interessante
Steam User 2
C'est un très bon jeu qui m'a apprit que les fourmiliers sont racistes
Steam User 4
Excellent jeu. 312 heures avec la campagne et le supplément (gratuit) Spirit of Amazonia.
Alors certes j'ai pris mon temps pour crafter, construire des bases de rêves, déménager....
J'ai lu des commentaires négatifs centrés sur sa difficulté et son côté punitif.
Alors oui, si vous courrez à poil sans écouter les sons qui vous entourent dans la jungle, vous allez passer un sale quart d'heure.
Mais si vous êtes prudents, que vous avancez progressivement, en étant attentif à vos signes vitaux, que vous vous équipez avant les randonnées, bein vous allez vous régaler. Jouable à 4, un vrai bonheur