Grand Ages: Medieval
X
Mot de passe oublié ? Lien de récupération
Nouveau sur le site ? Créer un compte
Vous avez déjà un compte ? Connexion
Retour à Connexion
0
5.00
Modifier
L’auteur n’a pas encore fourni de description dans votre langue.
Grand Ages: Medieval is a real-time strategy game. Lead your people and advance through the decades by utilizing construction, research, expansion and conquest. Rise from the role of a simple mayor governing a small settlement and rule over all of Europe. Experience an exciting campaign, play by your own rules in free play or test your skills in multiplayer against up to 8 players!
fosiho 3
Grand Age : Medieval is a bit repetitive and requires a lot of micro management in the long run like most of good RTS nowadays. It's awesome features of economic that needs knowledge about supply and demand, a unique military style unit system, and organically town development characteristics when being zoomed in is one of a kind. Although, it's a bit boring at the mid and end game of the campaign, because lack of more things to do. A good overhaul update may bring this game into top. For example they could add a seasonal weather that affects resources output and prices, trade wagon speed, and positive and negative events.
Steam User 257
Après avoir lu les dernières réactions quant à ce jeu, je me suis obligé de communiquer mon propre avis histoire de contrebalancer les tonnes d'avis négatifs.
Niveau type de jeu, oui c'est une simulation économique, mais qui s'apparente plus à Patrician ou Anno que Total War ou Banished. Les développeurs ont posté une bonne dizaine de vidéos de gameplay avant la sortie du jeu, le type de simulation était déjà flagrant. Avant d'acheter un jeu, on se renseigne messieurs-dames.
Le jeu est trop diffcile? Oui, surprenant pour une simulation, non? Plus sérieusement j'avoue que les premières parties, et même la campagne, sont frustrantes. On cherche à comprendre pourquoi on plonge dans le rouge. Alors oui, le système économique du jeu est un peu différent de la plupart des autres jeux du même genre, laissant moins de marge à l'erreur.
Hé bien, devinez quoi? Une fois qu'on apprend de ses erreurs et qu'on comprend le mécanisme du jeu, on fat des profils. Ce qui fait que mon petit royaume qui flirtait avec la dette s'est retrouvé avec un excédent impressionnant une fois que l'on comprend que le truc, c'est d'échanger les bons produits avec les bonnes villes. La campagne permet de se familiariser au jeu, mais ne donne que des astuces, et ne nous dirige pas à la décision près. C'est ainsi que l'on apprend à jouer, au final. Faites des sauvegardes. Tentez différentes approches. Vérifiez ce qui fonctionne et ce qui fonctionne moins. Faites-en vos conclusions. Prospérez.
Perso, j'ai commencé à comprendre les mécaniques de base à partir de la quatrième heure de jeu, et après avoir relancé la campagne trois fois.
Le jeu est-il parfait? Non. La partie militaire est clairement à revoir. Ce n'est pas forcément grave, jusqu'au moment où vous affrontez de simples loups pendant six mois avec vos mercenaires. Bon, ils ont fait leur mea culpa et promettent de corriger cela ultérieurement. Les combats sont tout de même faisables, bien qu'un peu longs (et coûteux).
Il y aurait après quelques petites choses à améliorer: plus de biens différents, une meilleure répartition des ressources sur la carte, voire un éditeur de carte. Mais le jeu est sorti seulement il y a quelques jours. Il fonctionne tout de même beaucoup mieux que pas mal de jeux dont la sortie avait été un peu trop anticipée.
Si vous aimez les jeux de stratégie et de réflexion, vous avez ici un bon candidat qui peut vous faire passer un très bon moment. Si vous préférez "zigouiller tout ce qui bouge" ou jouer sans trop réfléchir, ce n'est clairement pas le jeu idéal pour cela. :)
Steam User 45
170 heures de jeu: voilà comment je résume: ce jeu consiste principalement à développer un réseau commercial de 20 ressources entre les villes de notre royaume. Pour être satisfaite, la population de la ville doit accéder au maximum de ressources. Chaque ville offrant 5 sites de production de différentes ressources, 4 villes interconnectées seront donc autosuffisantes. Ces quatre premieres villes constitueront notre groupe de base: le baronnet. Mais si les 20 marchandises du jeu sont diffusées sur toute la carte, leur répartition souffre d'irrégularité. Chaque groupe de 4 villes aura un ou plusieurs manques. Il faudra ainsi construire un autre baronnet qui offrira la ou les marchandises manquantes. Baronnets qu'on reliera entre eux et qui donnera notre comté.
Et ainsi de suite: duché, royaume, empire. Voilà reconstituée la composante économique de la féodalité qui est la marque du Moyen Age.
Plus en détail, « Grand Ages : Mediaval » (GAM par la suite) est donc principalement un jeu de stratégie économique. Sa composante militaire n’est qu’un aspect secondaire qui va surtout valider notre gestion. En effet, seule une gestion efficace de notre « empire » fournira les fonds nécessaires à soutenir les troupes défendant nos frontières. Avec GAM le joueur passera plus de temps à régler ses villes qu’à commander ses troupes. Aussi ce jeu décevra tous les adeptes qui rêvent de vêtir l’uniforme du général en chef pour écraser ses adversaires. GAM, c’est plutôt l’adage du « père la victoire », « la guerre est une chose trop grave pour la confier aux militaires », qui prévaut. Donc, militaires, rompez !
Quant à l’aspect économie, le jeu reprend à son compte les mécanismes du marché qu’on retrouve dans la série des « Patrizier » de même que ceux permettant notre ascension sociale. Il s’agira dès lors d’acquérir au meilleur compte des marchandises qu’on tentera de vendre le plus cher possible. Mieux nous réussirons ce défi, plus vite nous gravirons l’échelle sociale. Toutefois, tout comme dans Partizier, notre réussite doit profiter à la communauté ; diable nous sommes d’honnêtes commerçants et non pas d’affreux capitalistes à la recherche du seul profit personnel. Faire profiter la communauté signifie que notre commerce doit être équilibré. La demande doit légèrement dépasser l’offre pour dégager un profit couvrant les frais. Mais si une surproduction et une pénurie intervient, la croissance, en perdant le producteur ou le consommateur, en souffrira.
Car la croissance est la clef innovatrice du jeu, par rapport à la série « Patrizier ». Si dans « Patrizier » nous disposions de tout notre temps pour gravir l’échelle sociale, GAM oblige à progresser au moins aussi vite que nos concurrents.
La croissance rythme d’abord la progression sociale. Plus nous croissons, plus notre rang s’élève, càd plus nous ouvrons de portes : plus grand nombre et meilleures unités militaires, nouveaux sites de production, etc.
La croissance permet aussi une plus rapide extension territoriale. Or le jeu est découpé en région et chaque région offre des unités spécifiques et un général à celui qui en détient le plus de territoire. Si le jeu n’est pas axé sur la stratégie militaire, avoir des unités « uniques » n’est pas négligeable sur les champs de batailles. De même que profiter des bonus apportés par des généraux ne se refuse pas.
La croissance, c’est aussi une planification optimale des ramifications interurbaines. Pour croître rapidement, la ville doit satisfaire sa population en lui fournissant toutes les ressources demandées. Or si le nombre de ressources disponibles, donc exigibles, est de 20, chaque ville ne produit que 5 ressources au maximum. Il faut donc développer un réseau d’échange entre les villes. Et c’est l’intelligence du réseau qui déterminera la croissance. Moins les marchandises parcourront de distance pour achalander les villes, plus ces villes croîtront rapidement. Et plus rapidement nous pourrons en fonder de nouvelles, chaque pionnier nécessitant ressources et population. On pourrait donc résumer ainsi : ce ne sont pas les villes qui fondent le commerce, mais le commerce qui fondent les villes. Paradoxe ? Réalité ? Intéressant, non ?
Et la croissance, c’est encore une bonne gestion du voisinage. Si la guerre coûte chère en or, elle consomme de la population. Chaque soldat perdu diminue d’autant la croissance de la ville, puisque derrière le soldat se trouve l’habitant. Nous retrouvons là un concept très présent dans la série des « Europa Universalis » : les unités militaires nécessitent de la population qui est en nombre limitée à un moment donné. Mais en plus, tout comme c’est le cas dans les séries « Impérialisme », le bras qui tient l’épée ne tient pas la charrue. Et une épée perdue, c’est d’abord une charrue en moins. En d’autres mots, la croissance des moyens militaires se fait au dépend de la croissance des villes. Et les pertes militaires sont d’abord des pertes de production sèches. On ne remplace jamais une perte humaine.
Dans ce jeu, on se frotte à la réalité qu’un général, aussi bon soit-il, gagne les batailles, mais pas la guerre. Les allemands le savent, eux qui ont perdu la Grande Guerre sans avoir aucune troupe ennemie sur leur territoire. Et cela est d’autant plus vrai que GAM se joue à l’époque de la Guerre de Cent ans. Si cette guerre a durée si longtemps (et même plus en réalité), c’est qu’aucun des deux camps n’avait les moyens économiques d’exploiter la moindre victoire, aussi éclatante fut-elle !
Et s'il faut des moyens pour mener une guerre, il en faut aussi pour établir la paix. Dans GAM, conquérir des villes n'est vraiment utile que si l'on a les moyens de dédommager le perdant. Faute de quoi, la guerre continue.
Pour apprécier ce jeu, il faut donc préférer l’économie à la guerre, faire en sorte que les guerres, inévitables, soient les moins chères possible. Cela ne nous empêche d’apprécier une bonne guerre de temps à autre, mais il ne faudrait pas terminer la partie par le constat de Louis XIV laissé au dauphin de France: « j’ai trop aimé la guerre ».
L’autre aspect qui doit nous motiver pour apprécier le jeu, c’est qu’à la quantité il faut préférer l’efficacité. Comme dans tout jeu stratégique !
Prenons les bâtiments proposés. Avant de construire un bâtiment, il faut se poser la question de son efficience. Construire tous les bâtiments dans toutes les villes ne fera que ralentir la croissance. L’exemple le plus parlant est le dépôt qui facilite le transit de marchandises. Il permet de stocker des marchandises en les soustrayant à la demande locale empêchant ainsi une chute des prix, conséquence de leur stockage. Mais le faire construire dans toutes les villes aura l’effet contraire à celui recherché, la stabilité des prix. Le stockage des marchandises amènera paradoxalement une pénurie, donc une explosion des prix et du mécontentement, soit une décroissance des populations. Les villes se dépeuplant, la demande baissera, et les prix aussi ! Il faut comprendre que, le téléphone n’existant pas encore et encore moins le réseau informatique, les villes emmagasinant une marchandise ne connaissent pas leur niveau de stockage respectif.
Comme j’espère avoir pu le démontrer, GAM est un jeu qui offre un grand choix de stratégies. Sans être aussi pointu que l’excellent Pratizier II qui demandait, par exemple, pour les dépôts de gérer les capacités de stockage, le personnel et la sécurité, GAM offre un bon équilibre entre la gestion et la stratégie. Avec le piquant de la guerre, « une guerre qui se gagne autant au front qu’à l’arrière ».
Steam User 13
C'est un bon jeu de stratégie, si on adhère au concept. On peut y passer de nombreuses heures. Mais ceux qui ne jurent que par l'aspect militaire risqueront d'être déçus. Il a sûrement le potentiel pour être un excellent jeu, j'attend les DLC avec impatience. Un ptit bémôle tout de même, le jeu est vendu à un prix un peu trop élevé pour ma part.
Steam User 7
Je recommande Grand Ages: Medevial , a toutes personnes aimant les jeux de géstions et stratégies .
Bien que GAM soyent plutôt dévlopper dans la géstion des marchands que dans la stratégie militaire il reste néamoin un bon jeux de gestion . Au début avec notre 1er ville l'ont est un peut perdu , mais une fois la campagne fini , on comprend mieux le système de gestion du jeux ( il faudra quelques heurs avant de le maîtriser ) . ....
Si toute fois l'ont ce retrouve beaucoup en difficulter au début , il existe de nombreux tutoriels sur youtube d'ou l'ont peut apprendre les bases du jeu ( je comprens pas les critique sur la difficulter du jeu ) .
Malgrès des débuts difficiles , je recommande ce jeu aux personnes qui adore la difficulter dans ce domaine .
Steam User 13
excellent jeu
beau graphisme
prise en main facile
petit soucis c est les bandes de brigand qui vole les marchandise des marchands ce qui a pour effet de plomber votre economie et l evolution des villes
sauf que les bande dde brigand sont en nombres de 300 et que meme 3 unités de mercenaire n arrive pas a les chasser donc on fini par faire banqueroute
Steam User 5
un jeu qui demande du temps pour l'apprivoisermais qui devient amusant à partir du moment ou l'on comprend ses mécaniques
Steam User 7
Avec près de 30H en mode libre et en mode campagne, je décide de donner mon avis sur ce jeu, dans un premier temps j'avais un avis mitigé car les premières heures de jeu font énormément penser à un clone du jeu Patrician IV ou Rise of Venice mais ce jeu s'avère plus riche et l'on y maitrise plus de chose car on a plus la main sur le développement de son empire et sur son commerce intérieur.
Au début le commerce pacifique avec les cités voisines est important mais en prenant de la taille on devient capable de se développer de manière autonome et alors les cités voisines deviennent plus des proies que des sources de profits si l'on a suffisamment de revenus pour entretenir une grande armée. Avoir un empire économique puissant est important car sinon les sièges deviennent interminable si l'on a trop peu d'unités militaires.
Ainsi d'un jeu ressemblant à "Rise of Venice" on passe à un jeu de type "Total War" car les adversaires IA ou humains cherchent à grandir de plus en plus de sorte que les "faibles" cités indépendantes finissent pas disparaitre et les empires entrent en concurrence en mode libre car si vous ne cherchez pas à grandir alors vous régressez et vos adversaires IA ou humains vous passeront devant.
Dans le mode compagne vous devez surmonter une série de défis économiques ou militaires progressifs sur la route qui vous sacrera empereur et vous donnera accès à des défis impériaux ce mode peut aussi servir de tutorial pour apprendre les bases du jeu. Sur le papier le mode multijoueurs semble prometteur mais il y a peu de membres actifs et les parties peuvent être longues avant que les joueurs aient suffisamment de quoi devenir réellement menaçants.
Je recommande ce jeu mais je reconnais que hors promo ce n'est pas un achat à faire prioritairement surtout si l'on à déjà le jeu Patrician IV ou Rise of Venice.
Les + : Grande map du jeu en 3D avec zoom avant arrière sur l'activité des cités où n'importe où ailleurs, Les animations graphiques, fluidité du jeu.
Les - : Faible diversité de produits negociables, l'IA manque nettement de roublardise.