Freedom Planet
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Fight your way across the celestial world of Avalice where cats are green, motorcycles drive up walls and monster girls do most of the buttkicking! Freedom Planet is a cartoony, combat-based platform adventure that pits a spunky dragonoid and her friends against an alien attack force.
Steam User 14
Une seconde, un regard lancé sur le trailer de Freedom Planet suffisent à cerner la bête ; ces loopings traversés à toute allure par une créature trempée dans une couleur froide, ces gros pixels chaleureux de Mega Drive...encore un prétendant qui espère succéder au hérisson. Oui mais non.
Ca pourrait surprendre mais Freedom Planet est trop rapide pour un Sonic. Un vrai Sonic, j'entends. Je le précise pour ceux qui auraient oublié que Sonic le joufflu était bien moins vif manette en main qu'en dessin animé. Sonic the hedgehog, bien plus qu'un jeu de course, était un vrai grand jeu de plates-formes au gameplay carré, aux sauts propres et parfaits. Freedom Planet ressemble plus au Sonic new-look des années Dreamcast. Etre un enfant légitime ne prémunit pas contre la crise d'ado ; fouilli, parfois illisible, il n'offre ni la maîtrise, le génie ou la finition des grands du genre ; sans lui faire l'injure de la comparer à Zool, Sash Lilac ne répond pas aux ordres du joueur avec la même précision que le Kid Chameleon ; trop jeune, trop inexpérimentée, trop pressée de vivre, elle ne sait pas satisfaire nos désirs aussi justement que pouvait y répondre Ristar. Attention, les niveaux sont remarquablement construits et n'ont rien de lignes droites. Mais les sauts un peu trop pressés, les déplacements et les tirs des monstres se font dans une telle hâte que certains stages deviennent de joyeux bordels que l'on traverse comme une fille d'un soir, sans vraiment y prêter attention, puisqu'il y a de toute façon trop de particules et d'ennemis qui gigotent à l'écran comme des hyperactifs. C'est trop nerveux pour un Sonic à l'ancienne. On s'en rend d'autant plus compte durant les combats contre les boss, qui comptent quelques résurrections magnifiques des meilleurs moments d'un Sonic 2 à CD, dont la seule véritable difficulté vient malheureusement du désordre de l'action. Boss par ailleurs un peu trop présents qui empiètent sur le pur plaisir de la plate-forme.
Impétueuse, moche comme une ado avec ses faux airs de s.h.i.t.t.y friend de luxe, Sash Lilac n'en déborde pas moins de générosité. Ses aventures sont celles de la variété ; de fait, les développeurs de Freedom Planet sont des mamans et des papas-poules en puissance, de la race de ceux qui viennent visiter le nid ou l'appartement de leurs enfants avec trois sacs de courses pour être sûrs qu'ils ne manquent de rien. Toutes les maladresses que l'on retrouve dans la finition un peu faiblarde de Freedom Planet sont remboursées au centuple par la passion qui traverse tous les éléments de ce jeu beaucoup plus ambitieux que l'énième plateformer fainéant en pixel art qu'il pourrait paraître : un design léché qui prend vie grâce à de animations et des arrières-plans de qualité ; de belles séquences rythmées qui donnent du punch à l'aventure ; trois personnages jouables et autant de gameplays comme à l'époque d'& Knuckles ; un vrai bestiaire intéressant ; des niveaux longs aux environnements variés ; un mode arcade qui permet d'y revenir plus facilement ; une aventure qui, sans jamais le singer bêtement, est bourrée de références dans son game et son level design à ce hérisson que nous aimons tous.
Comme Pier Solar avant lui, Freedom Planet est l'un de ces jeux modernes que l'on rêverait d'avoir en cartouche pour sa Sega Genesis. On pourrait alors le citer dans ces relans cycliques de débats de cours de récréation où, vingt ans plus tard, des adultes continuent de s'écharper pour savoir laquelle des deux versions d'Aladdin était la meilleure ; des engueulades éternelles qui se finissent toujours à coups de listes. Freedom Planet y aurait belle allure. S'il n'a pas la carrure d'une tête de série qui peut porter un système à elle seule comme un Tides of Time ou un Landstalker, il ferait partie de ces jeux qui, plutôt à l'instar de Flink ou de Dynamite Headdy, grossissent fièrement les rangs des chevaliers de la Mega Drive invoqués par les passionnés pour résister à l'oppression des sales gosses qui ont grandi sur Super Nintendo. Sans rougir, Freedom Planet est de la même cuvée que ces jeux-là. Sorti en 95, il aurait traversé les âges avec la réputation d'un jeu semi-culte, l'une de ces perles oubliées un poil surestimées (sûrement à cause de cette gomme appelée temps qui ravage les mémoires et embellit tout), un régulier des conversations de bon goût. Aujourd'hui, il est un beau cadeau très imparfait lancé à tous les nostalgiques et autres autruches heureuses qui seront ravies de cligner des yeux pour en éviter les tares, d'en combler les manques avec le rêve. Un jeu qui se joue, se re-joue et se re-re-joue comme les jolies trouvailles qui nourrissent nos émulateurs.
De Mega Drive, Freedom Planet n'a pourtant que l'allure. Tout comme avec Sonic, ce n'est qu'une filiation d'apparence, finalement superficielle. Son coeur est ailleurs. Son design flashy, sa relative imprécision qui vire parfois au foutoir complet, sa sur-scénarisation inutile et mièvre, ses musiques acidulées, son âme girly-pop nous renvoient plutôt aux années Saturn et postérieures, au Sega des Burning Rangers et Space Channel, celui dont la nouvelle orientation se laissait deviner déjà dès Knuckles Chaotix. Entre Sonic et Freedom Planet, on retrouve la même différence de ton qu'entre un Phantasy Star et ses déclinaisons Online. L'esprit et le rythme d'un jeu Sega moderne dans le corps d'un jeu Genesis en pleine crise de pré-puberté (niaiserie bavarde oblige). L'OST, représentative de l'ambiance générale, est carrément moins proche d'Hill Top Zone ou d'Oil Ocean que de Burning Hearts ou My Sweet Passion ; The Dragon Gave a Loud Scream du NiGHTS original s'insèrerait sans contraste dans les fichiers audios du jeu avec son beat fou muselé par une sourdine. Bien que pensé comme un hommage à la mascotte bleue des années 90, Freedom Planet n'est peut-être finalement pas tant un jeu pour les fans de Sonic, qu'il pourrait surprendre voire carrément décevoir, que pour les fans de Sega, au spectre d'attentes beaucoup plus large, qui ne peuvent que plonger avec délice dans ce joli melting pot de tout ce qui a forgé leurs vies de joueurs. Je veux m'y noyer.
edit : jeu intégralement en anglais mais vous ne raterez rien.
Steam User 8
On retrouve dans Freedom Planet le melting-pot des meilleurs jeux de plate-formes de la MegaDrive : level design et déplacement à la Sonic avec des skills à la Rocket Knight/Ristar. Les graphismes de MegaDrive surboosté sont superbes et l'animation des boss gigantesques fait forte impression.
Si le jeu paraît sage au début (tant dans le graphisme que dans la difficulté), c'est dans les niveaux plus avancés que le cocktail explose et nous rend accro au titre. Les boss deviennent redoutables et une concentration de tous les instants est requise pour gérer les patterns. La bande-son est agréable, inspirée et pêchue.
Ce titre est une belle madeleine de Proust de ce qui s'est fait de mieux sur MegaDrive, et ce pour un prix abordable. Car je rappelle qu'à l'époque, il fallait raquer 40€ pour s'offrir une cartouche de ce genre sur MD =p
En plus, l'héroïne est une dragonne. Du coup, on s'y attache ^^
Steam User 11
I will be short.
- This game may look like a sonic. But this is not sonic. Its better imho
- This game is challenging.
- This game deserve way more attention than that.
- This game should be goty
- This game thou should have it
- This game whatever....
Steam User 5
On m'a offert Freedom Planet connaissant mon fanboyisme des Sonic 2D. Et j'ai franchement pas été déçu.
Quand bien même on retrouve un gameplay plutôt similaire à Sonic, Freedom Planet nous dévoile son propre univers, sa propre trame scénaristique et ses personnages trop cutes *^*
Bref, je le recommande chaudement :D
Steam User 5
Un jeu trouvé au fin fond d'un bundle, dont j'attendais pas grand chose et qui se révele être mon platformer préféré depuis...Cave Story peut-être?
Plus
- Pixel art propret et réalisation à mi-chemin entre 16 et 32 bits
- Level design en béton armé, poussant à l'exploration autant qu'au speedrun.
- Maniabilité impeccable au pad
- Les combats de boss
- La difficulté à l'ancienne, adoucie par un placement de chekpoints adapté à un être humain de 2015.
- Hyper généreux en contenu : plusieurs personnages jouables bien différents, mini-jeux, secrets.
- Une histoire d'amitié et de castagne...
Moins
- ...qui se prend trop au sérieux pour son propre bien. Pensez Dickens mâtiné Zola avec des furries.
- Doublage intégral(ement nul).
- L'ADN de Sonic un peu trop voyant par endroits.
- Les derniers niveaux éprouvants pour les nerfs avec ses canons à stunlock de p ute
- Un certain manque d'options. On ne cracherait pas sur un petit filtre 2xsai ou un effet scanlines pour lisser le pâté.
Steam User 2
Plateformer / Sonic-like. De vilains extraterrestres tentent de ravager le monde. Heureusement, une équipe de choc est là pour empêcher ça !
Je ne sais pas trop par où commencer sans paraitre un peu dur avec le jeu. Allez je me lance: Freedom Planet, c'est dur, et stressant (dans le niveau de difficulté de base, à savoir le troisième sur 4). Les niveaux sont super longs (25mn de moyenne je dirais), et heureusement qu'on a continues infinis sinon ce serait un pur calvaire. 3 personnages différents jouables, avec des techniques très différentes, car c'est un jeu de plateforme relativement axé combat, contrairement à son modèle Sonic, avec un panel de coups/cancels assez complet même si dans le feu de l'action le joueur peut avoir du mal à utiliser le bon move au bon moment.
Parce que Freedom Planet veut aller vite (comme Sonic), sauf qu'il y a des pièges, des ennemis et des passages secrets partout (comme Sonic) et donc il faut avoir des réflexes titanesques pour avancer sans se faire défoncer par tout ce qui traine tout en profitant du level design assez grisant du jeu (comme Sonic).
En dehors de ça, le jeu est beau, se manie plutôt bien, l'histoire est plutôt sympas même si les dialogues sont très longs entre 2 niveaux (possibilité d'utiliser un mode qui skip tout ça automatiquement). Les boss sont difficiles mais leurs patterns s'apprennent bien pour réussir à les défoncer (arg 50 morts sur le boss final, GG à lui). La durée de vie pour une première partie est très acceptable, 6h30, sachant que le jeu possède une bonne re-jouabilité avec ses 3 personnages jouables et des défis sympas.
Je vais le garder sous le coude pour tenter les autres perso, en difficulté facile, mais je dois avouer que je n'ai pas hâte d'y retourner pour le moment, même si j'y ai passé un bon moment.
Steam User 2
Une véritable lettre d'amour à la MegaDrive sous tous ses aspects. Prenez de l'action rapide, des niveaux bien conçus et des boss plutôt relevés, et ajoutez une pointe d'humour : vous obtenez une pépite du jeu indépendant. N'hésitez pas, foncez et achetez-le. Vous ne le regretterez pas.