FINAL FANTASY XIII
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DO YOU HAVE THE COURAGE TO FACE YOUR DESTINY? As a deepening crisis threatens to plunge the floating world of Cocoon into chaos, a band of unsuspecting strangers find themselves branded enemies of the state. With the panicking population baying for their blood, and the military all too happy to oblige, they have no choice but to run for their lives. Join them on a desperate quest to challenge the forces controlling their fate, and prevent untold destruction. Featuring an unforgettable storyline, a battle system blending action and strategy, cutting-edge visuals and awe-inspiring cinematic sequences, FINAL FANTASY® XIII delivers the next step in the evolution of gaming.
Steam User 4
À l'époque où Final Fantasy 13 avait été annoncé, je n'étais qu'un enfant qui n'avait pas les moyens de se payer des jeux. Je me rattrape donc aujourd'hui en lui donnant une chance.
Je ne sais pas comment l'expliquer mais l'esthétique des personnages, le monde, l'ambiance et les musiques, donnent l'impression d'être au début des années 2000 avec tout ce qu'il y a de plus beau à offrir. Un sentiment très étrange, surtout quand on quitte le jeu et qu'on se rappel qu'on est en 2025.
C'est évidemment pas le jeu du siècle mais j'peux vous dire que c'est rafraîchissant comparé à toute les déchets sans âmes qui sont sorties récemment.
Steam User 4
J'ai bien aimé le jeu et je trouve les critiques de l'époque un peu dur contre le jeu.
Linéarité
Je trouve que la linéarité du jeu est une force et ça permet de rester focus sur la quête principale. Il est difficile de critiquer la linéarité étant donné qu'elle est complément logique par rapport à l'histoire (contrairement à un Cyberpunk 2077 où on est sensé avoir 1/2 semaines pour régler notre problème mais tranquille on va faire tout les ptits boulots de la ville) et le fait d'être poursuivie par les ennemis de nos héros et le temps.
Il est vrai que pas mal de zone sont magnifiques (j'ai moddé le jeu) mais ça manque de cohérence, de vie et interactivité. (par exemple à Nautilus là on est pas poursuivie il y aurait pu y avoir de la vie et de interactivité en ajoutant 2-3 mini jeu.
Et au contraire des critiques de l'époque. L'arrivé à Gran Pulse à cassé le rythme de la narration avec des quêtes nulles pour moi. J'ai juste farm et j'ai avancé.
Gameplay
J'ai bien aimé le gameplay même si vers la fin il était un peu répétitive. Il apprend au joueur progressivement à jouer (peut être un poil long)
Histoire
Une histoire bien au global, un peu comme FF6 ya pas vraiment de personnage principale. dommage que le chapitre 11 casse un peu le rythme.
Graphisme
J'ai moddé le jeu et le jeu tient largement la route.
Les cutscène en CGI sont magnifiques.
Steam User 3
Pas encore terminé, je suis arrivé au chapitre 11
Les 20 premières heures sont linéaires
Les persos sont vraiment bons
Le scénario est pas exceptionnel (jusque la en tout cas) mais la narration est bien foutue
Les décors sont très sympas à partir du chapitre 6
Les musiques sont géniales
Le système de combat fait un peu peur au début mais au final quand on comprend c'est vraiment bien foutu et intéressant
Le jeu fait moins rêver que les autres FF, son point faible c'est clairement son univers et le gros manque d'à coté, mais il reste vraiment bon et a des superbes qualités (ses persos, sa musique et son système de combat)
Un bon FF y'a rien à dire
Steam User 4
Ce n'est pas Claire du tout.
Je l'avais commencé à l'époque lorsqu'il était sorti et j'avais arrêté d'y jouer avant même d'être arrivé à Gran Pulse, soit environ à la moitié du jeu. Les conditions de l'époque n'avaient pas aidé puisque je jouais sur une télé cathodique et les textes étaient presque illisibles, mais les couloirs, aussi jolis soient-ils, l'histoire et les combats ne m'avaient pas particulièrement emballé.
À l'époque, c'est le système de combat qui m'avait le plus rebuté. Les affrontements m'ennuyaient et finissaient par m'endormir. Même si c'est moins le cas 15 ans plus tard, ce système de combat manque cruellement d'une gestion plus poussée de nos deux compagnons de combat. Hormis le changement de rôle, nous sommes spectateurs des décisions de l'I.A, ce qui peut vite devenir frustrant. De plus, l’animation de changement de rôle ralentit inutilement le rythme des combats, et répéter ce processus toutes les douze secondes pour optimiser l'ATB devient rapidement lassant.
Graphiquement, c'est très joli, les personnages sont détaillés, et les décors, bien que très linéaires, sont variés et globalement stylés. Cependant, les scènes cinématiques, bien qu'impressionnantes visuellement, sont beaucoup trop brouillonnes. La "caméra" ne cesse d'être secouée, probablement pour donner un sentiment d'action, mais cela les rend simplement illisibles.
L'histoire aurait pu être sympathique, mais la compréhension de l'univers repose énormément sur les informations données par le glossaire, ce qui casse le rythme de la narration. Si j’ai trouvé la fin plutôt réussie, tout le reste n'est vraiment pas clair. Cependant, la fin m’a agréablement surprise.
Les personnages, eux, sont finalement mieux écrits que dans mes souvenirs. Hope, que je trouvais insupportable à l’époque, bénéficie d’une évolution intéressante. S'il reste agaçant au début, il s’apaise rapidement et devient un personnage plus nuancé.
Le gameplay souffre d'une linéarité explicite. Le sentiment d'être dans un couloir est presque omniprésent, et même à Gran Pulse, l’ouverture arrive bien trop tard pour compenser.
Le système de combat est correct, mais globalement ennuyeux en dehors des affrontements contre les boss, qui restent bien plus engageants. De plus, la personnalisation des personnages est limitée, ce qui renforce ce sentiment de manque de liberté.
Le système de combat est correct mais globalement ennuyeux. Peu de liberté, même dans la personnalisation des personnages. Finalement, seul les combats de boss se révèle réellement intéressant.
Quant aux quêtes annexes, elles se résument à des chasses. Petite parenthèse cela dit, je préfère largement avoir à faire à une quête de chasse, qu'à une quête qui nous demande d'aller pêcher un poisson bien spécifique pour quelqu'un qui souhaite impressionner son âme soeur. Il s'agit d'aller à un endroit précis pour tuer un monstre, puis de répéter le processus. Les récompenses sont intéressantes pour peu qu'elles soient réalisées lors de la première arrivée à Gran Pulse.
Final Fantasy XIII est un jeu joli, avec des personnages plutôt bien écrits et une ambiance sympathique. Mais entre un système de combat mal équilibré et ennuyeux, hors combats de boss, une triste linéarité et une histoire beaucoup trop flou, il est difficile de ne pas être déçu. Malgré ces défauts, si vous appréciez la licence et que vous n'avais peur d'être lassé par moment, Final Fantasy XIII reste une aventure originale.
Si l'avis vous a plu, vous pouvez en trouver d'autres ici.
Steam ne permet pas de laisser une recommandation "neutre", mais mon ressenti est bien ce que l'on pourrait qualifier de mitigé.
Steam User 1
At the very beginning of the game, you might quickly think, "Oh, this is boring," even though the game unfolds gradually!
After an hour of play, you're absorbed!
The game is very linear at first, but once you reach chapter 11 (out of 13), it becomes very open, with multiple quests to complete!
The game also runs on low-end PCs.
I highly recommend using mods that replace textures, cutscenes, and characters with HD models.
With this, your game will look amazing, and I can honestly guarantee you'll spend all day playing it!
When I bought the game, I was a little skeptical because it's a bit overshadowed by its "newer" big brothers, FFXV and FFXVI (which are huge masterpieces, especially FFXV).
In short, it's a purchase you won't regret :)
Steam User 2
Final Fantasy, cet éternel oxymore. Pas si Final puisqu'on en est au 16e titre numéroté à ce jour (pourtant les crises se suivent et ne se ressemblent pas chez Square), pas si Fantasy puisqu'on a quand même une bonne dose de science-fiction/steampunk dans la recette depuis un bail (mais on ne remplacera pas nos gros poulets jaunes pour des canassons pour autant).
Comme beaucoup de ses prédécesseurs, cet opus numéro 13 m'a procuré des sentiments très contradictoires. En revanche, c'est le seul à ce jour dont le lore, extrêmement condensé et nébuleux à la fois, me fascine autant. C'est peut-être aussi du au fait que je ne connais pas les tenants et aboutissants du "Fabula Nova Crystallis", ce grand projet de refonte de la manière même d'écrire la saga. Rien que ça.
Je dois cette clef de compréhension à Atomium (youtubeur), qui m'a également appris que FF XIII était déjà en chantier à peine le X terminé. Et rebelote, après un XII miné par un nanar qui a fait le four du siècle au box-office, le MMORPG a flirté avec la catastrophe avant d'être sauvé par le leadership de Naoki Yoshida. Oh wait, le leadership. C'est pas aussi ça qui manquait à FF XIII, justement ? Askip, Atomium toujours, les diverses équipes créatives bossaient dans leur coin, et au bout de quelques ANNEES elles ont eu le droit de jouer à une démo de jeu. Ok, je comprends mieux cette sensation de patchwork que m'a laissé ce titre. Mais, contrairement au XII qui est un soufflé au fromage trop refroidi, le XIII est plutôt un cake ou un pudding réussi. Y'a beaucoup d'éléments dedans, c'est bourratif ou écoeurant au choix, et ça ne plaira pas à tout le monde, mais c'est pas une raison pour cracher dessus. Car j'ai cru comprendre que le jeu avait beaucoup divisé à l'époque - et continue de le faire.
On peut compter 20-30 heures pour la quête principale seule, aisément 40-50 pour le reste. Et si vous tombez dans le cycle infernal farming/theorycraft, n'oubliez pas de respirer, prendre une douche, misc.
ATTENTION : CE QUI SUIT PEUT CONTENIR DES TRACES DE SPOILERS.
I/ L'écriture : face A
Oh merde. Les phrases des cinématiques sont tellement simples que je suis capable, avec mes pauvres notions en japonais d'otaku de base, que la traduction française est à chier. Mais vraiment. Arrêtez de prendre les lecteurs pour des débiles, par pitié. Ah oui, le jeu est vieux et les équipes plus ou moins pirates de traducteurs amateurs s'affairaient côté japanimation. Bon, passons. Après tout l'essentiel de l'histoire principale doit être comprise aisément, c'est normal... Euh, ou pas ? Au secours, des explications ?
Et c'est alors que. Bim, technique d'écriture cinématographique par excellence : les flashbacks égrainés ça et là qui permettent de comprendre pourquoi tel ou tel personnage en est arrivé là instant T. Bam, technique du touriste de Terry Pratchett qui prend le joueur par la main. T'es paumé ? T'inquiète l'ami, moi aussi, on va s'en sortir de ce monde bizarre et de tous ces mots imprononçables que personne ne daigne expliciter.
C'est un peu frustrant de ne pas avoir son équipe au complet, mais finalement, tous ces binômes imposés dans la partie "couloir" du jeu rappellent beaucoup FFVI, qui a entres autres été salué pour ce choix osé de narration. Je vois aussi cela comme une quête compagnon déguisée. Et puis, ce long corridor est à la fois une habile introduction au gameplay (on peut le découper en early, intermediate et advanced tutorial), et probablement une métaphore du ressenti des personnages embarqués dans une fuite en avant désespérée.
Les personnalités des protagonistes sont grossièrement brossées, au seul prisme de leurs nombreux différends. Ceci dit, les interactions sont bien maîtrisées, mais j'espérais comprendre pourquoi le public n'a retenu que Lightning. Ok, elle est badass et jolie avec ses cheveux roses et un faux-air asiatique. Je vois juste pourquoi elle est devenue l'égérie marketing de Vuitton. Parce que Dark Sasukette là, elle m'a gonflée pendant 20 bonnes heures, hein. Mais comme dirait Castello Lopez, elle est belle gosse parce qu'elle fait la gueule. Bref, tout ça pour nettement apprécier davantage tous les autres, et tomber dans la team Vanille. C'est la meilleure et c'est le vrai perso principal, point.
Elle est où la douille ? Une fin ratée, bâclée ou inexpliquée ? Rien de tout cela... Juste beaucoup de lecture en perspective.
II/ L'écriture : face B
Vous savez quoi ? Je suis du genre à vouloir compléter et lire chaque entrée d'un Pokédex. A scruter le moindre pixel du royaume de Thedas dans l'espoir de trouver une liste de ravitaillement, une lettre d'amour grivoise ou le journal intime d'un mage sombrant dans la folie. Et donc, un FF doté d'un magnifique dossier à multiples chapitres et une foultitude d'entrées à découvrir pour mieux comprendre le schmilblick, ça m'a fait prendre mon pied.
Et donc... tous ces gens qui chouinent de ne pas comprendre l'histoire... Je pense qu'une grande partie a juste eu la GIGA FLEMME et surtout, de lire tout ce lore, parfois offert sur un plateau d'argent, parfois obtenu à la sueur de votre front. En réalité, les éléments les plus intéressants et révélateurs des enjeux principaux du scénario global ne sont obtenables qu'au prix de plusieurs dizaines d'heures au bas mot. De préférence en postgame, puisque pour une fois vous avez la possibilité de recharger la dernière sauvegarde avant le boss final, et vous échapper direction quêtes annexes. Et puis, il y a tous ces petits détails visuels à choper dans les cinématiques et qui pèsent bien plus lourd que tous les dialogues ou tirades réunis.
III/ Le gameplay : face A
Si on rush notre épopée, les trois quarts du temps on se retrouve dans des maps étriquées avec une équipe imposée et des arbres de talents restreints. Alors oui, au bout de 25 heures comme ça, j'en pouvais plus. Mais jusque-là, les combats étaient intéressants, et ce même contre des trash mobs. Le système de rôles, de stratégies, le fait de ne contrôler qu'un seul personnage en temps quasi réel est très bien fichu. Riche et divertissant, une véritable libération après la technique du "je lâche ma manette" de FF12 (et dont je sors fraîchement). En revanche, le pic de difficulté débile que représente la confrontation avec le premier vrai boss, est complètement absurde. Je pense très fortement qu'il n'a pas été scripté en même temps que le reste, et pour des raisons assez évidentes a posteriori. Il n'empêche qu'un lissage eut été bienvenu. Enfin bon, les délais tout ça, la routine de l'objet vidéoludique.
IV/ Le gameplay : face B
Et le monde ouvert fut. Paf dans ta gueule, la gigantesque map. Seconde 1 j'ai savouré la bouffée de fraîcheur, seconde 2 j'ai maudit les level designers. D'une part la minimap ET la map globale TOURNENT, mais EN PLUS on a PAS DE PUTAIN DE NORD INDIQUE. Cerise sur le putain de pudding, impossible de trouver une carte exhaustive. J'ai déterré des schémas japonais ou américains de 2013 hein, rien à faire. Déjà que je sais pas me repérer, j'ai bien pesté. Plus que sur le tirage de tronche de Lightning ou la façon de courir de Vanille.
A mon avis, ce n'était pas encore fini. C'est pour ça qu'on se retrouve avec SOIXANTE-QUATRE chasses (aled), deux mobs un peu cachés (cool), du déterrage de trésors (le classique), de la collecte de laine (sans intérêt) et une quête spécialement dédiée aux chasseurs de succès (argh). Alors je ne demandais pas du Triple Triad ou du Blackjack et surtout pas du Blitzball, mais... je sais pas moi, au hasard : course de poussins chocobos, lancer de couteaux de tomberries, pêche à la ligne ?
V/ Autres
Je ne m'attarderai pas sur ce qui fait la quasi-unanimité : le jeu est sublime, ça me stupéfie qu'il date du lancement de la Playstation 3. Les musiques sont magnifiques, pour l'intro, les ambiances ou les combats. Mention spéciale pour la variante free jazz du thème du chocobo.
Steam User 0
FINAL FANTASY XIII : Un voyage sublime et une narration hors du commun
Souvent critiqué à sa sortie, FINAL FANTASY XIII est un jeu qui mérite d'être redécouvert. Loin des mondes ouverts traditionnels, il vous embarque dans un voyage narratif intense et linéaire qui a ses propres forces.
Les points forts :
Une Direction Artistique à couper le souffle : Le jeu est tout simplement sublime. Les environnements de Cocoon, avec leur design futuriste et utopique, et les paysages sauvages et mystérieux de Gran Pulse sont magnifiquement rendus. Même des années après, les graphismes tiennent la route grâce à une direction artistique exceptionnelle. Les personnages et les cinématiques sont d'une beauté rare.
Un scénario et des personnages attachants : L'histoire est complexe et met du temps à se mettre en place, mais une fois que les pièces du puzzle s'imbriquent, le récit est poignant. Les personnages sont bien écrits et leurs relations évoluent de manière crédible. On s'attache à ce groupe de parias qui se battent pour leur survie et leur liberté.
Un système de combat dynamique et stratégique : Le système de combat Paradigm Shift est brillant. Au lieu de contrôler chaque action, vous définissez une stratégie (Paradigm) à la volée. Cela rend les combats incroyablement rapides, dynamiques et exigeants. Il faut faire preuve d'adaptation et de stratégie pour venir à bout des ennemis, car un mauvais choix de Paradigm peut vous coûter la victoire.
Les points faibles :
Le principal point de critique est sa linéarité prononcée, surtout dans la première moitié du jeu. Le début ressemble davantage à un couloir qu'à une exploration libre. Si vous vous attendez à un monde ouvert immense dès le départ, vous risquez d'être déçu. Cependant, cette linéarité sert un but : elle met l'accent sur la narration et permet une mise en scène impeccable. De plus, le jeu s'ouvre considérablement une fois que vous atteignez Gran Pulse, offrant de grandes zones à explorer et de nombreux défis secondaires.
En conclusion :
FINAL FANTASY XIII est un RPG qui demande un peu de patience. Si vous êtes prêt à vous laisser emporter par son approche unique et à accepter sa linéarité initiale, vous découvrirez un jeu visuellement somptueux, avec une histoire touchante et un système de combat passionnant. C'est une aventure qui mérite d'être vécue.