Everybody’s Gone to the Rapture
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Yaughton, Shropshire. 06:37am 6th June 1984. Deep within the Shropshire countryside, the village of Yaughton stands empty. Toys lie forgotten in the playground, the wind blows quarantine leaflets around the silent churchyard. Down on Appleton’s farm, crops rustle untended. The birds lie where they have fallen. Strange voices haunt the radio waves as uncollected washing hangs listlessly on the line. The televisions are tuned to vacant channels. Above it all, the telescopes of the Observatory point out at dead stars and endless darkness. And someone remains behind, to try and unravel the mystery. Immerse yourself in a rich, deep adventure from award-winning developer The Chinese Room and investigate the last days of Yaughton Valley. Uncover the traces of the vanished community; discover fragments of events and memories to piece together the mystery of the apocalypse.
Steam User 59
Ce jeu provoque chez moi des sentiments contradictoires.
J'ai envie de lui faire un énorme bisou, et en même temps de lui mettre la torgnole qu'il mérite tout autant.
Fan de simulateurs de marche, (et notamment de Dear Esther du même studio), je me réjouissais à l'annonce de ce portage sur PC! Et autant je trouve que ce titre purement contemplatif atteint des sommets dans certains domaines, autant il me semble souffrir de quelques défauts extrêmement pénibles! À tel point que je conçois qu'ils puissent être rédhibitoires pour certains!
J'énumérerais d’abord les raisons qui font qu'à titre personnel, je l'ai vraiment adoré. (Il en résulte que je ne peux décemment pas le déconseiller.)
Everybody's Gone To The Rapture sait jouer sur la corde sensible des gens, (en tout cas sur la mienne), et parvient à provoquer diverses émotions à travers son décor et ses situations savamment élaborées... Impossible pour moi de le détester, tant il a le génie de se rendre attachant.
Visuellement, le jeu est éblouissant : Les décors charmants minutieusement mis en scène foisonnent de détails, les effets de lumières (ou de météo) sont habilement utilisés pour renforcer les ambiances propres à chaque zone... Si certaines sont plus réussies que d'autres, l'ensemble est globalement impressionnant sur le plan artistique, et le level design à "raccourcis" est bien pensé.
Des musiques assez somptueuses parsèment très agréablement la ballade, et soulignent les petites montées d'intensité de certaines passages.
Et toujours sur le plan sonore, les voix et doublages français sont aussi d'excellente facture! On note d'ailleurs la présence de voix familières (entre autre les doublures d'Eva Longoria, et Morgan Freeman).
Les dialogues sont naturels et bien écrits. L'orthographe des sous titres français est irréprochable, et l'interface elle-même est plutôt cool et fonctionnelle. (Sauf pour le système de sauvegarde auto vraiment nul et pas pratique!)
J'apprécie également que le scénario ne sombre pas dans l'horreur, comme trop souvent dans les jeux du genre. Ici l'ambiance est très particulière, mais jamais malsaine.
Pour tout cela, c'est clairement l'une des meilleures promenades narratives que j'ai eu l'occasion de faire!
Cependant, si le jeu a un net talent du détail ornemental, il se retrouve un peu gâché par quelques carences techniques et divers choix un peu regrettables...
Déjà son prix. C'est pas parce que je jeu est un portage de la PS4 qu'il faut prendre les joueurs PC pour des joueurs console.
20€ c'est trop pour ce type de produit, même pour 5h de "marche" de bonne qualité. (Je reviendrai sur cette durée de vie finalement très artificielle). Disons qu'à 15 balles, je n'aurai pas bronché. Bref, attendez une bonne solde, ou guettez les sites de clés.
Je ne partirai pas trop dans les considérations purement techniques du portage (qui s'avère très moyen), ou dans l'inventaire des quelques petits bugs et chutes de framerate rencontrés... Heureusement pas trop gênants dans ce type d'expérience sans réel gameplay.
Pour moi, LA tare principale de ce jeu, c'est l'insupportable lenteur du déplacement!
Cela décourage complètement l'exploration, qui en devient "pénible" à une vitesse aussi poussive. (On aimerait bien aller voir ce qu'il y a là bas, dans ce jardin qui semble si joli, et qui a du être si long à modéliser ; mais vu le temps fou que ça va prendre d'y aller et d'en revenir, on continue tout droit vers la lumière : Hyper frustrant)
Le bouton de "course" (RT) exige d'être maintenu quelques secondes avant de faire effet. Il n'augmente la vitesse que d'environ 20%, et ne s'utilise qu'en extérieur. On joue donc en permanence avec cette gâchette 'sprint foutage de gueule' enfoncée, et pourtant la sensation d'intolérable lenteur persiste.
Qu'explorer en marchant & courant soit l'UNIQUE propos de ce genre de jeu ne me pose aucun souci! Mais quand on ne laisse au joueur que cette seule possibilité "d'action", le minimum est qu'elle soit au moins confortable et agréable. Or ici, ce n'est pas le cas, et c'est USANT. Le joueur se sent "puni" de vouloir explorer, (et pas que par la lenteur - cf. le paragraphe sur la boule de lumière) et ce, alors que le jeu lui demande précisément de ne faire que ça - c'est aberrant qu'un jeu d'une telle qualité soit bêtement gâché par un détail pareil!
Les 5 à 6 h de durée de vie sont obtenues en grande partie par cette obligation de lambiner doucement au lieu d'avancer normalement, ainsi qu'au fait qu'on doive rester plus ou moins "sur place" dans le secteur des cinématiques pour en découvrir le contenu : ça "meuble" beaucoup de temps de jeu d'écouter les nombreux audiologs.
Dans ce genre de jeu très avare en objectifs clairs, la poignée de succès basés sur l'exploration pure prend tout son sens, bien qu'une bonne partie des succès se base encore sur "l'innaction". De plus, certains ne se débloquent pas alors qu'on a bien complété (et vérifié) tous les objectifs du trophée. (3 essais pour "perdu?" avant qu'il soit validé!)
Le choix d'une narration avec personnages "désincarnés" dessert un peu le scénario, car dans les dialogues où l'on ne perçoit finalement que leurs voix, on se demande souvent "qui est qui" ou "qui fait quoi" parmi cette 20aine de silhouettes sans visages!
Si la trame principale se comprend sans difficulté, ce choix de DA des saynètes rend l'histoire individuelle de chaque protagoniste (et les liens qu'ils entretiennent) parfois difficile à suivre...
Connaître l'histoire dans son ensemble remet tous les dialogues et les personnages du jeu dans une nouvelle perspective, et donne presque envie de refaire un run - mais cette lenteur démotive!
La boule de lumière qui guide le joueur est à la fois une bonne et une mauvaise idée... Je passerai sur l'assommant système d’interaction au stick analogique pour déclencher certains dialogues qui n'a aucun intérêt : il est heureusement désactivable. Le souci de cette lueur est qu'elle est un guide omniprésent dans le décor, et c'est justement l'antithèse même de la narration / exploration "non-linéaire" (pourtant vantée sur la page du magasin)... Couplé au souci de déplacement pénible, on finit donc par aller uniquement "où la lumière dit d'aller", point final. Lorsqu'on s'y est enfin résigné, on peste dès que la boule en question disparaît du champ de vision! (Par exemple parce qu'on a cédé à la tentation d'aller explorer là où il ne "fallait pas"), et qu'on doit ensuite la retrouver en arpentant le monde ouvert au hasard, pour se recaler avec l'ordre dans lequel cette boule a décidé qu'on devait explorer la carte. Et même si la présence de cet orbe se justifie "scénaristiquement" au fil du temps, je trouve son énvahissante présence finalement discutable...
Certaines phases de transitions traînent en longueur - mais sans doute est-ce parce qu'elles ont aussi pour fonction de masquer élégamment les temps de chargements inter-zones, aussi je ne m'acharnerai pas trop sur ce détail.
Bref. Quelques problèmes, mais c'est principalement la lenteur de la marche qui plombe le jeu, et ce n'est pas nouveau chez ce Studio. Pour Dear Esther, je n'avais trop rien dit (émerveillée que j'étais). Pour Everybody's Gone to the Rapture, l'éval sera une fois de plus positive, mais ça me semble indispensable de rapporter clairement ce souci... En revanche, si ce gâchis stupide persiste encore la prochaine fois, là ça ne passera plus.
Steam User 123
FRDe l’arrêt et de l’abandon : v. 0 -
En ce qui me concerne, il n’y a pas de ‘walking simulator’.
Les gens ont-ils été rappelés auprès de Dieu ? Pas vraiment. Dans un petit patelin pittoresque d’une vallée britannique idyllique, vous semblez avoir été laissé pour compte…
Comme dans de nombreux jeux focalisés sur la narration, vous n’êtes pas là pour vivre l’Histoire, non, elle a déjà eu lieu. Vous n’avez qu’une chose à faire, évoluer dans le monde pour la comprendre, la reconstituer au mieux de ce que l’interaction permet. Everybody’s gone to the rapture (Egtr) est proche de Dear Esther avec les mêmes défauts rédhibitoires auprès d’un certain nombre de joueurs : marche permanente, pas de saut, pas de sprint, pas non plus de perception visuelle de votre corps… il y en a qui ne supporte pas et au fond, c’est bien compréhensible. Que reste-t-il à faire ? Comprendre, s’attarder, un jeu pour les contemplatifs.
Le jeu donne à voir des scènes de très grande qualité, une nouvelle occasion de redécouvrir le plaisir simple de graphismes d’une extrême cohérence, d’une grande justesse. Les changements de lumière, très fréquents mériteraient d’être étudiés (il est amusant de noter le changement technique radical du Source Engine quasi réinventé de Dear Esther et du CryEngine ici à l’œuvre).
Rapidement se dessine une chose remarquable : le phénomène responsable des évènements est inconnu, au mieux décrit comme « de la lumière liquide » qui se propagerait depuis un autre plan… Et simultanément on ressent la peur et l’angoisse face à l’inconnu (qui affecte la santé et bouleverse une communauté) et la grâce intrinsèque, la sensation de paix ambiante qu’il dégage. Un bel exploit des développeurs. Un peu comme J.J. Abrams peut le faire, le mystère s’épaissit mêlant une approche cartésienne peinant à décrire un phénomène fondamentalement fantastique. Les bribes d’informations vous parviendront au travers de manifestation de conversations passées entre les habitants peut avant leur évaporation, mais alors que tous ils sont déjà affecté et angoissé par les prémisses du « cataclysme ». L’on peut ressentir un peu de ces ondes radio émise depuis la terre et qui voyage dans le cosmos portant à l’infini de l’information qui résonne dans le vide. Le jeu est intégralement traduit en français (voix et sous-titres), en Anglais du moins, le voice acting est superbe, meilleure que beaucoup.
Que je suis reconnaissant que ce titre, à la base une exclusivité ps4, se soit finalement ouvert aux PC. Je prends un grand plaisir à contempler, à y évoluer. C’est une expérience qui marque, qui possède une puissance certaine. Mais soyez averti, si vous choisissez de le prendre qu’il emporte celui qui joue loin de ses habitudes.
cf. Bioshock Infinite, SOMA, Firewatch, Vanishing of Ethan Carter, Dear Esther Leviathan Old City, TIMEframe
Steam User 22
Je suis assez perplexe quant aux évaluations globales. Et récentes dailleurs.
Ce jeu est un pur chef d'oeuvre de narration, de beauté visuelle et d'ambiance sonore.
C'est avec un plaisir non dissimulé que j'ai évolué dans cette ville pittoresque, aux raisonnances architecturales anglais. Les décors sont somptueux, les jeux de lumière magnifient encore plus l'ensemble.
J'ai eu l'impression de me retrouver plongé dans un roman de Stephen King de par le mystère qui nous ai proposé. A cela s'ajoute une touche d'ésotérisme et de poésie. Grandiose. Je n'ai que des superlatifs tant ce jeu m'aura marqué.
Regardez autour de vous, prenez votre temps, sentez le souffle du vent se glisser dans vos cheveux et derrière vos oreilles. Observez les détails. Ecoutez les oiseaux se mouvoir à côté de vous. Avancez, reculez, ne faites rien.
Alors est-ce juste une balade ? Non, c'est plus que cela. Pour quelles raisons les habitants ont ont disparu ? Quelle est cette lumière ? Ce halo scintillant, intense qui guidera vos pas.
Au moment où j'écris ces quelques lignes, la bande originale vibre dans mes oreilles. Elle est juste sublime. Sans celle-ci, ça ne serait pas vraiment pareil. #JessicaCury
Il faut néanmoins pouvoir apprécier ce genre d'expérience. Tout comme The Vanishing of Etan Carter par exemple, prendre son temps, observer et apprécier.
Bref, je suis vraiment heureux que cette exclusivité PS4 ait vu le jour sur PC. Merci Chinese Room, merci pour cette claque. J'en ai encore des frissons.
Steam User 24
Ce jeu est une petite merveille ! Everybody's Gone to the Rapture embarque le joueur dans un monde qui possède une atmosphère à la fois envoûtante et nostalgique. Une ambiance qui m'évoque quelque peu The Vanishing of Ethan Carter, un titre du même genre qui propose lui aussi un cadre fascinant qui lui est propre.
Son univers nous offre une grande liberté de mouvement, puisqu'il est possible de l'explorer d'une manière absolument non linéaire. Un régal pour les amateurs de simulateurs de marche, et ce, même si la fonction de course n'est pas très rapide. Elle s'enclenche progressivement en maintenant la touche correspondante, seulement en extérieur, et même si certains pourront la trouver un peu lente, d'autres comme moi la trouveront adéquate pour profiter de l'exploration de ce monde. Un rythme réaliste qui permet de contempler chaque aspect de notre voyage, que ce soit via ses environnements réussis ou ses évènements. Ce n'est pas un jeu à l'action frénétique, c'est un jeu qui nécessite de prendre le temps d'explorer et d'observer, chose que l'on fait avec plaisir, sans se forcer.
On y découvre des personnages variés à travers des bribes d'histoire dont on recolle peu à peu les morceaux, et dont l'interprétation finale est assez libre. Chacun peut y voir sa propre conclusion, selon sa compréhension des événements, selon ses convictions...
Le doublage des personnages est remarquable, avec une intonation qui sonne vrai et des voix qui collent à chacun des protagonistes, un travail vraiment soigné qui renforce notre immersion.
La musique sublime accompagne parfaitement le jeu et ses événements.
Il n'y a pas de puzzle à résoudre, c'est une aventure narrative absolument non linéaire que l'on découvre au rythme de notre exploration, sans ennui.
Il m'a fallu environ 13 heures pour terminer le jeu, en essayant au mieux de découvrir chaque pan de l'histoire. Je me suis régalée tout au long de mes sessions de jeu.
Everybody's Gone to the Rapture est une petite pépite qui propose une aventure non linéaire dans un monde à l'atmosphère unique. Une expérience marquante et fascinante à découvrir sans hésiter.
Petit aparté : Ce jeu me tentait depuis un bon moment ! J'ai l'habitude d'acheter mes jeux lors de soldes ou autres promotions. Celui-ci n'a pas bénéficié de réduction depuis des années sur Steam. Ne souhaitant plus attendre, je l'ai finalement acheté chez un revendeur agréé avec une petite réduction de presque 4 euros. Un achat que je ne regrette absolument pas aujourd'hui, et je peux même dire qu'il en aurait été de même si je l'avais payé au prix fort. Ce jeu vaut largement son tarif.
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Steam User 11
le meilleur jeu d' ambiance auquel j'ai joué . extraordinaire , les larmes aux yeux et les poils hérissés
Steam User 9
Il existe des représentations théâtrales ambulatoires où l'on doit se déplacer de lieux en lieux (ou suivre les comédiens) pour découvrir la suite de la pièce ; dans l'Arche Russe, au cinéma, 300 ans d'histoire russe sont embrassés au cours du plus long plan-séquence du cinéma : on la voit retracée à travers le vagabondage de la caméra dans le palais de l'Ermitage. C'est une expérience semblable, mais vidéoludique, que nous offre the Chinese Room : à travers notre déambulation dans un village abandonné so british et so vintage, on surprend les conversations de fantômes de lumières -empreintes du passé inscrites dans les lieux visités. Elles nous permettent de reconstituer comme un puzzle le drame qui s'est joué. Le décor et la musique sont magnifiques comme une journée d'automne ou un beau crépuscule, l'apocalypse est apaisante, acceptée. C'est encore une belle oeuvre que nous livre le studio anglais, à condition d'aimer les jeux contemplatifs et narratifs !
Steam User 17
Pour commencer je citerais JDG : "Ce test ne sera pas objectif OK !"
Je viens de terminer le jeu (malgré un PC bien en dessous de ce qui aurais été nécéssaire pour faire tourner Cryengine :'/) et je crois avoir la serie The Chinese Room au complet (j'y est joué bien sûre : Dear Esther, Amnesia : A Machine for Pigs et enfin Everybody's gone to the rapture). Autant dire que je suis famillié avec leur univers et je doit avoué que j'adore la façon qu'ils ont de raconter une histoire. C'est comme un puzzle dont les pièces ont été éparpillé. C'est à nous, joueur, de reconstituer l'image toujours d'une grande poésie (mélée de gore et de violence dans A Machine for Pigs) et Everybody's gone to the rapture s'inscrit dans cette tradition du" jeu d'exploration/narratif" qui me fait toujours aussi chaud au coeur.
Je ne vais pas spoiler l'histoire mais sachez que les graphismes sont plus qu'acceptables et exploités d'une facon originale au niveaux des changements d'ambiances et des"phantômes" (qui sont gracieux comme c'est pas permis).
La musique ... Je vais tout me télécharger tout de suite et puis je reviens ... c'est bon ... Comment séparer Jessica Curry d'un jeu signé The Chinese Room ? Bien que restant dans une forme assez "classique" sa musique m'en fait toujours voire de toute les couleurs. D'une grande grace et d'une grande senssibilité, les partitions sont tout simplement à croquer. Elles l'étaient déjà dans Dear Esther et dans A Machine for Pigs mais là c'était fort ! Un grand bravo ! La musique à toujours une grande place dans une oeuvre de The Chinese Room et c'est tant mieux.
Quand a la jouabilité, ça ce rapproche pas mal de Dear Esther sachez-le. Même si là au moins il y a des interactions (qui se résument à ouvrir des portes et utiliser un objet/orbe), ca reste un gros simulateur de marche. Si cela peut en effrayer certains, moi pas trop parce que ce jeu est artistique avant tout et souvenez-vous qu'on ne trouve le plaisir du jeu qu'en endurant quelque chose avant. Dans ce cas là, c'est une ballade dans un superbe décors, alors je ne vois pas de quoi les gens se pleignent.
Bref, je ne mettrais pas de note, on ne juge pas l'artisticitée, mais je porte The Chinese Room dans mon coeur et leur souhaite bonne continuation.