Elliot Quest
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After Elliot’s wife disappears, he falls sick and attempts to take his own life–only to discovers that he can’t die. Plagued by nightmares and growing weaker by the day, Elliot seeks out a local Sage, who tells him that he’s the victim of a rare curse. A demon called a Satar is slowly consuming Elliot’s vitality. If Elliot can’t find a cure to the curse before it’s too late, he will become a Satar. His only hope is to ask for the help of one of the island’s Guardians, who have kept the Satar from taking over Urele. Explore a vibrant open-world filled with hidden secrets and mysterious Guardians that can help cure Elliot's curse of immortality. Throughout this adventure you'll collect countless abilities and spells, quest through 5 dungeons and defeat 16 unique bosses along your way to unlocking multiple endings.
Steam User 6
Quiconque possède quelques connaissances du jeu vidéo reconnaîtra d'emblée sous les traits du petit Elliot ceux d'un certain Kid Icarus et dans son aventure des accents prononcés de Zelda. Notamment le deuxième opus, sorti sur nes - le seul que je n'ai jamais fait, pour d'obscures raisons que j'ai d'ailleurs bien du mal à m'expliquer. Bref, des sources d'inspiration à peine voilées, qui donnent un résultat pour tout dire remarquable.
Niveau direction artistique, rien à redire. Nous avons affaire à du pixel art tout ce qu'il y a de plus propre et à une bande son pour le moins... inspirée. Très proche de ce que proposaient ses mentors en leur temps, à tel point qu'elle fait mouche sur le champ. Prise de risque minimale, diront certains à raison, mais efficacité garantie. Les musiques sont vraiment un gros point fort du jeu, qui favorise pour beaucoup l'immersion !
Pour ce qui est du gameplay, là encore le résultat est à la hauteur, bien qu'il demeure classique. Au fil des zones et donjons que parcourt Elliot, nombreux et variés d'ailleurs, il découvre divers pouvoirs (feu, glace, vent, terre), améliore sa quantité de vie, de mana, ainsi que son équipement : flèches, armure, bouclier, une paire d'ailes pour le double saut, des bottes pour rebondir sur les ennemis en les assommant au passage ou encore un collier le rendant assez fort pour pousser certains blocs. Sans compter qu'il dispose d'une sorte d'arbre de talent grâce auquel on pourra faire évoluer certains (mais pas tous) aspects du gameplay : cadence de tir, fréquence des critiques, portée des flèches, survivabilité ou efficacité de la magie. Tout ceci pour dire que la progression de notre personnage est palpable. J'en veux pour preuve le lancement d'une nouvelle partie, lequel s'avérera des plus... douloureux (rapport à la remise à zéro de nos aptitudes).
Chaque niveau que franchira Elliot le gratifiera d'un point supplémentaire à dépenser dans cet arbre de talent ; du moins, jusqu'au niveau 20. Il nous faut donc récolter de l'expérience, expérience que nous obtenons soit en récoltant des parchemins plus ou moins dissimulés, soit - vous vous en doutez - en tuant des monstres. Qui sont en passant d'une variété significative, que ce soit dans leur comportement, leur tendance offensive, défensive, ou leur capacité à attaquer de loin ou pas. A cela s'ajoute une foule de boss, parfois optionnels, et dans l'ensemble très bien fichus. Le dernier d'entre eux n'étant pas le plus réussi qui soit, l'aspect aléatoire trop prononcé de ses attaques pouvant faire s'éterniser le combat.
Ensuite, comment ne pas évoquer le level design ? En un mot, exemplaire du début à la fin ! Les lieux et donjons que traverse Elliot sont pensés jusque dans leurs moindres détails et donc conçus avec beaucoup d'ingéniosité. Tous regorgent de secrets et autres recoins qui seront parfois inaccessibles lors de votre premier passage. Il vous faudra y revenir une fois le pouvoir adéquat obtenu : en somme, une invitation à l'exploration. Un petit bémol, cependant, à propos de l'ultime donjon. On attend de lui qu'il soit un récapitulatif de l'aventure, une sorte d'examen au cours duquel on éprouve la capacité du joueur à user des pouvoirs qu'il aura récupérés. Sans être mauvais pour autant, loin s'en faut, il le laisse à ce titre un peu sur sa faim.
Que reste-t-il à dire ? Pas grand chose, en fait. Ah si, l'histoire ! Plutôt commune a priori, mais offrant une palette de choix aux conséquences irrémédiables. Se faire un allié ou un ennemi d'untel, tuer cet autre ou pas, piller ces coffres qui ne nous appartiennent pas, retourner cet objet à son propriétaire ou le conserver pour soi, autant d'alternatives qui exerceront une influence sur le karma d'Elliot et donc sur la fin. Il en existe trois, selon son alignement : bon, neutre ou mauvais. Un système quelque peu obscur, puisqu'on ne sait pas toujours si nos actions rentrent en ligne de compte, mais au demeurant intéressant. En clair, on ne nous prend pas par la main, ce qui est le cas pour l'intégralité de l'aventure en fait.
En dehors de ça, on peut rencontrer deux ou trois bugs mineurs : une jarre de magie irrécupérable, par exemple ; quelques confusions dans la dénomination de certains succès ; un personnage qui ne nous laisse pas passer, bien que les conditions soient réunies. Franchement, tout ceci est anecdotique et n'entâche en rien le plaisir de jouer.
Verdict : 4,5/5 - Excellent, à acheter les yeux fermés !
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Steam User 0
Elliot Quest sera resté très longtemps dans ma bibliothèque Steam avant d'avoir pu en voir la fin, et après l'avoir entamé tout de même pour la troisième fois :p. Prenez Zelda II, remplacer Link par Pit de Kid Icarus, et remettez encore une grosse couche supplémentaire de Metroid, et hop, vous aurez un beau jeu d'aventure d'aventure doublé d'un bel hommage aux jeux pré-cités.
Je suis honnêtement assez étonné de voir que le jeu est si peu connu, et même s'il n'est pas parfait, je recommande chaudement de s'y essayer pour ceux qui aiment le genre.
Graphiquement, le pixel-art est vraiment cool et propose de très beaux environnements et de jolis chara-design, excepté les boss qui sont malheureusement très quelconque. Les animations sont propres, les musiques sont entrainantes sans être chiantes (ce qui important étant donné le nombre d'aller-retours à faire), et il y a quelques effets de styles inspirés.
Niveau gameplay, vous utilisez donc un arc, que vous pourrez améliorer, et vous trouverez rapidement différentes magies élémentaires obligatoires pour progresser dans les niveaux et résoudre des énigmes, plus quelques objets qui vous faciliteront la vie, comme par exemple un bouclier. Chaque ennemi tué rapport de l'expérience qui servira à débloquer des compétences (vitesse de tir, portée, consommation de magie, etc...). Le truc, c'est qu'en cas de mort, vous perdez une partie non négligeable de l'expérience accumulée. Et contrairement à un Dark Souls, celle-ci n'est pas récupérable sur l'emplacement de votre mort :p. Cela rend la mort bien trop punitive, surtout à la fin du jeu où accumuler de l'expérience est très long. C'est certainement ce qui en découragera plus d'un, d'autant que le jeu devient relativement difficile passée la moitié de l'histoire.
Finalement, tout va se jouer sur la progression du joueur. Le jeu offre un vaste terrain de jeu, et comme dans Zelda II, il faut trouver sur la carte les différents lieux, certains étant évident (les villes, les temples...), d'autres non (au cœur d'une forêt, sur la plage...). Les lieux à visiter sont indiqués quand on passe dessus avec un "!", mais certains sont franchement difficile à trouver et tiennent sur un pixel. C'est en fouillant la carte de fond en comble que l'on trouvera de quoi se faciliter la vie, que ce soit de la vie supplémentaire, des réserves de magie ou juste des objets de quêtes pour avancer. Le sentiment d'exploration est plutôt agréable, mais on aurait pas craché sur un système de déplacement rapide ou de téléportation, car aller d'un bout à l'autre de la carte est parfois très fastidieux. Or, il vous faudra constamment retourner dans certains lieux avec de nouvelles capacités pour trouver des secrets. Sans ça, il y a quatre donjons obligatoires, plus le donjon final, donc en ligne le droite le jeu est assez court (comptez peut-être une dizaine d'heures). Mais les secrets et donjons bonus sont nombreux, notamment des boss cachés très retors, ce qui augmente pas mal la durée de vie du jeu. Il y a de plus trois fins différentes, selon que vous ayez commis des bonnes ou des mauvaises actions.
Bref, Elliot Quest ne souffre selon moi que son système de mort hyper punitif, qui peut induire des pics de difficulté rebutant, et du léger manque d'intérêt pour la quête principale du héros. Par contre, la prise en main est immédiate et le sentiment de progression par l'exploration est très appréciable. Clairement à découvrir.
Steam User 0
Elliot Quest est un jeu qui s'inspire de Zelda 2 : une carte du monde sur laquelle on se déplace pour trouver des donjons à explorer en 2D vue de profil, on y affrontera de nombreux monstres afin de tracer notre chemin jusqu'aux divers pouvoirs que les temples renferment et qui nous permettront par la suite de résoudre des puzzles, d'accéder à des lieux inaccessibles auparavant ou, plus simplement, nous aideront à traverser le monde plus facilement.
Le jeu n'est pas mauvais mais on ne peut s'empêcher de penser qu'il aurait mérité un bon coup de polish final : un peu d'équilibrage pour la difficulté par exemple (les boss sont presque tous très simples à battre, alors que certains ennemis sont des plaies à combattre ou à éviter), rendre le jeu un peu plus clair (c'est peut-être voulu, pour rendre hommage à la "difficulté" à l'ancienne, mais le manque d'information sur ce à quoi sert tel ou tel objet, entre autre, est plus agaçant qu'autre chose), améliorer l'interface (pouvoir utiliser les gâchettes de la manette pour utiliser une autre capacité plutôt que de rentrer dans le menu à chaque fois notamment, les "cinématiques" trop lentes...) et un peu de travail supplémentaire sur les graphismes. Pas que le jeu soit laid, mais tout est très "carré" et manque de relief (beaucoup d’aplats de couleur) ce qui donne au jeu un aspect un peu amateur ("amateur" plus plus, mais amateur tout de même).
Concrètement, j'ai alterné entre le plaisir de jeu et la frustration d'être confronté à des erreurs de design qui m'ont parues assez basiques à repérer et auraient pu être corrigées facilement. J'ai eu besoin d'une douzaine d'heure pour arriver à la fin du jeu mais ceux qui apprécieront devraient pouvoir prolonger le plaisir assez longtemps puisque je suis loin du 100% et il y a un certain nombre de zones optionnelles du jeu que je n'ai pas pu explorer.
Dans un style similaire (quoi que plus axé exploration, là où Elliot Quest mise plus sur les combats je trouve), je recommanderais plutôt de jeter un œil à Treasure Adventure World sur lequel je me suis bien plus amusé. Malgré ses défauts, Elliot Quest reste toutefois un jeu tout à fait recommandable.
13.5/20
Steam User 0
Un très bon jeu dans laissant la part belle à l'exploration. Il est très difficile de s'arrêter une fois la partie commencée.
Je n'en suis encore qu'au début mais déjà l'alchimie fonctionne à merveille et l'envie d'aller toujours plus loin est bien présente.
Je recommande
Steam User 0
Ok, the last patch was very helpfull.
Theses are the final things your should consider fixing :
- Can't rebind the default keyboard controls.
- Horrendous dPad only controls for the Xbox 360 controller (seriously, the Xbox 360's dPad is terrible).
The rest is excellent : the dungeons are well designed, the boss battles are nice and the soundtrack is great but it uses a lot of A Link To The Past kind of sound.
Last options you should add :
- Completed rooms / dungeons on the map. Zelda II indicated when a Palace was cleared. Maybe you can make something that indicates the player that he found everything he could in dungeons / exploration zones. That would help a lot !
Steam User 0
On pense pouvoir se transformer en dragon de dessin animé, mais on est rapidement déçu en se retrouvant aux commandes d'un bébé en couche culotte (mais la couche est mis sur le corps de manière assez étrange).
Il reste néanmoins un très chouette metroidvanilla en pixel art open world sandbox (rayer mentions inutiles)
Steam User 0
A titre de comparaison, j'ai préféré Elliot Quest à Iconoclast.