DUSK
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Battle through an onslaught of mystical backwater cultists, possessed militants & even darker forces as you attempt to discover just what lurks beneath the Earth in this retro FPS inspired by the '90s legends.
Steam User 1
c'est une dinguerie en big 2018 de pas avoir intégré un système de sauvegarde automatique mais le jeu est bien quand même
Steam User 2
Un jeu captivant qui va bien au-delà d'un simple hommage à Doom, malgré une inspiration évidente. Le level-design et la bande-son sont particulièrement réussis, et le titre se distingue par son originalité et son lot d'idées innovantes. A faire absolument si vous êtes fan du genre !
Steam User 0
Je n’ai jamais été un grand joueurs de FPS, a fortiori de “Rapid Shooters”, pour tout dire, ma première entrée dans cet univers fur Doom3 sur la Xbox première du nom, que j’avais adoré, non seulement pour son action, mais aussi pour son atmosphère horreur / SF. J’ai découvert bien plus tard que cet opus avait été une vraie déception pour les fans des deux premier opus d’ailleurs, et me suis rendu compte que ce jeu que j’appréciais, émergeait - avec son cousin Quake - d’une matrice de jeux bien plus bourrins et acrobatiques.
Aussi le Doom de 2016 m’avait mis à rude épreuve : trop rapide, trop nerveux, trop métal pour moi xd. Beaucoup de joueurs qui prennent de l’âge vous le diront : on perd en réactivité et jouer aux FPS devient plus fatigant :p.
Et pourtant j’ai ce regret d’avoir été un peu trop jeune à l’époque pour avoir vécu cette vague de jeux qu’on appelait carrément des “Doom - Like” puis des “Quake - Like” tant ces deux séries ont donné naissance au genre, avant la sortie des premiers Call of Duty (oui oui, on oublie pas Wolfenstein 3D à l’origine).
Comme je suis un auditeur assidu du podcast Fin du Game, j’ai tendance à faire tous les jeux dont ils parlent avant d’écouter leurs émissions. Et lorsqu’un épisode sur Dusk est arrivé, j’ai trouvé là l’occasion de renouer avec ce vieux désir de goûter à ce qu’aujourd’hui on appelle les “boomer shooter” (lol) avant de l’écouter.
Au final vous pouvez l’écouter avant de faire le jeu, vu que l’histoire dans Dusk est très accessoire, mais l’ambiance est plus ésotérique et lovecraftienne qu’un Doom ou un Quake. Vous passerez, au fil des chapitres, par une campagne façon Délivrance / Massacre à la tronçonneuse, un gigantesque complexe aussi industriel qu’infernal rappelant pas mal le premier Half - Life, puis par un segment plus médiéval avant de finire par plusieurs niveaux totalement hallucinants, véritable pandémonium de toutes ces zones.
Les monstres sont diversifiés et nombreux, les zones sont bien remplies et conçues (mention spéciale pour ceux qui jouent sur la gravité), bien qu’ils font le choix de nous perdre par moment. L’arsenal est vaste et vraiment fun, avec un bon gun feel (en dehors des pistolets, affreux xd). On bute tout ce qui bouge en sautant partout, d’un tremplin vers une échelle tout en laissant une traînée de grenades en contrebas, on monte pour récupérer un bonus qui double notre cadence de tir tout en gardant un oeil sur sa santé, etc.
Pour 6 petites heures, j’avoue ne pas avoir vu le temps passer, le jeu peut se faire petit à petit, chaque niveau se bouclant en une dizaine de minutes, ce qui au final n’est pas plus mal vu comment le jeu peut s’avérer fatiguant, car très rapide et intense.
Bref, expérience intéressante, les amateurs du genre peuvent y aller les yeux fermés. En revanche Dusk à été aussi pour moi l’occasion de découvrir son développeur principal, David Szymanski et ses jeux, qui semblent reprendre cette vibe rétro mais par des approches plus horrifiques et narratives. Hâte de jouer au reste de ses jeux.
Manette déconseillée
En anglais sous titré
Steam User 0
Lot of secret and fun surprise, good rythm, can't get bored
Steam User 0
Looks horrible, hard to get in due to these odd old looking graphics but when you dive inside you discover what devs can do with passion, a love for our old video games, a truly respect for level design, incredible ideas: I enjoy each level of dusk and always get surprised by new ideas. A really great video game to understand there is an other way than AAA or billions cost games. Here is fast and great pure shots of dopamine. (Xcuse my bad English)
Steam User 0
Sans doute un des meilleurs jeux auquel j'ai joué cette année pour l'instant ! La créativité derrière ce titre est incroyable ! Tout y est pour que ce jeu soit un vrai plaisir à parcourir : niveaux bien foutus, difficulté bien dosée, bestiaire très important mais néanmoins reconnaissable, une direction sonore niquel et la BO de Andrew Hulshult est sublime !
Je recommande même à celles et ceux qui n'ont jamais joué à un boomer-shooter de leur vie ! Ca vaut clairement le détour !
Steam User 2
FPS-retro.
Véritable hommage aux FPS des années 90, DUSK est un boomer-shooter comme on dit aujourd'hui, articulé exactement comme l'étaient ses ainés Duke Nukem 3D, Blood et consorts. Ici pas de regen-auto, pas d'auto-save omniprésente, pas de munition illimités, de caisses derrières lesquels poser un caca se planquer en attendant qu'une tête ennemi s'offre à notre viseur. Ça fait du bien.
Et pas de cinématique. Presque pas de dialogue même. Parce qu'à mon sens, c'est là l'une des forces de DUSK, au-delà du feeling global très agréable, du niveau de qualité de vie bien supérieur aux ancêtres (pas de dégâts de chute ni de noyade possible, le pied), ou du level design alambiqué mais fonctionnel; cette force c'est la narration par le gamedesign et les décors. DUSK arrive à nous faire vivre une histoire, pas complexe certes, mais de manière forte, juste en nous posant des bouts de polygones et/ou des ennemis ici et là. Cela donne au jeu une forte identité, qui à mon avis et plus que le reste, aura réussi à lui donner une renommée qu'il n'aurait pas eu sans.
Parce qu'on ne va pas se mentir, malgré ses qualités, DUSK reste un "simple" FPS, qui ne va pas changer la face du monde. Pourtant il y a de bonnes idées, mais la progression est tellement cassée que ça en enlève beaucoup de son charme. Je m'explique. DUSK est divisé en 3 épisodes, de 10 niveaux chacun. Le premier épisode est beaucoup trop conventionnel, je vais même oser dire que je m'y suis ennuyé, j'ai même pensé abandonner ma partie à ce moment là. Heureusement les niveaux sont courts et (trop) faciles. Puis arrive le second épisode, et l'amusement arrive enfin. Du bon level-design, des idées de gameplay, l'univers devient intéressant et la progression est hyper agréable. Grand moment de bonheur. Et enfin, on parvient au troisième épisode, et là, fête du slip. Tout part en nawak, c'est du WTF de bout en bout, tellement foufou que la progression en devient pénible, éreintante, limite j'étais essoufflé à la fin de chaque niveau. Autant dire que j'ai ressenti un réel soulagement en voyant défiler les crédits de fin de jeu.
Niveau contenu, rien à redire, je dirais 8h de jeu pour finir en ligne droite, et plus si on essaye de trouver le maximum de passages et niveaux secrets. Une re-jouabilité relative est offerte au joueur, puisqu'il y a en tout 6 modes de difficulté, et qu'il est possible de refaire chaque niveau individuellement avec des défis genre ne tuer aucun ennemi ou ne pas se faire toucher une seule fois. Un mode "arène sans fin" est aussi présent, pour les fanatiques du genre, moi je trouve ça plutôt inutile mais bon c'est là. Et un mode multi que je n'ai pas essayé.
DUSK est donc un FPS-retro très cool, qui ravira tous les fans du Duke, et sur lequel j'ai globalement passé un bon moment, je lui ai même mis 2 smileys contents sur ma liste de jeux finis. On peut cependant lui reprocher d'avoir une progression trop tranchée, qui aurait méritée d'être un peu plus distillée, afin de rentre l'expérience encore plus plaisante.