DRAGON QUEST® XI S: Echoes of an Elusive Age™ – Definitive Edition
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Enjoy the beginning of the game in 3D for up to 10 hours of content! Join a young hero as he takes his first steps towards becoming the Luminary, a legendary hero destined to save Erdrea—and then carry over your progress into the full game.
BONUS: Complete the demo and be rewarded with x3 “Seed of Skill”.
*NOTE: Due to the way Steam works, you will be unable to continue to play the demo after purchasing the full game.
Please be aware that if you purchase the full game before completing the demo, you will no longer be able to receive the completion bonus from the demo.
DEFINITIVE EDITION CONTENT
Includes the critically acclaimed DRAGON QUEST XI, as well as an array of new content, features and quality of life improvements.
- Enjoy the massive content of the base game as well as new character-specific scenarios, which offer the possibility to learn more about some of your favourite companions.
- Play as you want – switch between 3D HD or 2D 16-bit modes, original soundtrack or orchestral version of the music, and English or Japanese audio.
- Dive into the 16-bit World of Tickington – an additional side-quests area that see you journeying to past DRAGON QUEST worlds reimagined in retro style.
- Speed up battle by x2 and x4, ride new mountable monsters and attack with them on the field to earn experience points.
- Spice up the adventure with three new Draconian Quest settings such as ‘Super Shypox’, ‘Townsfolk Talk Tripe’, or ‘Party Wiped Out if Protagonist Perishes’.
- Immortalise your adventure with the photo mode, pose each of the characters and snap some pictures with the beautifully designed world of Erdrea in the background.
About the GameThe Definitive Edition includes all the content from the original release of the acclaimed DRAGON QUEST XI, and adds extra character-specific scenarios, the choice of playing with the original soundtrack or a grand orchestral version of the music, the ability to switch between 2D and 3D graphic modes, a Japanese voice-acting option, and much more.
OVERVIEW
DRAGON QUEST XI S is the last entry in the legendary RPG series from creator Yuji Horii, character designer Akira Toriyama and composer Koichi Sugiyama. This eleventh main entry is a completely standalone experience that features new characters, a beautifully detailed world, finely tuned turn-based combat, and an immersive story that will appeal to longtime fans and franchise newcomers alike. After its release in Japan, DRAGON QUEST XI won multiple gaming awards and received critical praise, including PlayStation’s Platinum Prize and a perfect 40/40 score from Famitsu (an influential video game publication in Japan).
STORY
A young man, about to participate in his village’s coming of age ceremony, travels to a sacred stone alongside his childhood friend. After a series of unexpected events, this intrepid adventurer learns he is the reincarnation of a legendary hero from a forgotten age.
The young hero sets forth into an unknown world on a journey to unravel the mystery of his past… but the welcome he receives is far from warm. Upon revealing his identity to the King, the hero is branded as “The Darkspawn” and hunted by a relentless army.
Fleeing from his pursuers, the hero assembles a band of endearing adventurers who believe he is actually The Luminary reborn. The Luminary and his newfound companions embark on a quest that will take them across continents and over vast oceans as they learn of an ominous threat facing the world.
KEY FEATURES
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Unravel an Epic Mystery in a Riveting Tale
– You are the Luminary, the reincarnation of a hero from a forgotten age. Denigrated as a demon and pursued by a malicious monarch, you must embark on a quest to uncover the mystery of your fate and save a doomed world. Be prepared for an immersive story with twists and turns that pull you in and keep you craving more.
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Assemble a Colorful Cast of Loyal Companions
– Accompanying you is an endearing band of adventurers with their own rich backstories and personalities. Famed manga artist Akira Toriyama brings the characters of DRAGON QUEST to life with his one-of-a-kind style.
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Explore a Massive, Beautiful, Living World
– Excitement lurks around every corner, observe NPC’s attend to their daily schedules, monsters change behaviors to fit their environments, and access new areas, by foot, on horseback or with the use of monstrous vehicles.
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Engage in Classic Turn-based Battles with a Modern Twist
– DRAGON QUEST XI features mechanics simple enough for beginners, but with enough depth to satisfy hardcore fans. As your adventure continues, learn incredible new abilities to take down even the most fearsome foe with your powerful allies.
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Have Some Fun & Save the World
– Tons of side-quests and addicting mini-games awaits you for enough content to keep you playing for well over 100 hours. You will face insurmountable odds and an evil force of unimaginable power… but while the stakes are high, there are many fun distractions to find if you know where to look.
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Challenge Yourself with the Draconian Quest
– Available when you start a new game, these options allow you to craft you own customized difficulty with different settings and provide a greater challenge.
Steam User 4
Plonger dans Dragon Quest XI, c’est comme ouvrir un grimoire enchanteur : chaque page regorge de magie, d’aventure et de nostalgie. Sous-côté comparé à FF, il n'en reste pas moins qu'en tant que fan de la série depuis ses débuts, cette nouvelle itération a été un véritable délice.
L'histoire commence de manière classique : un héros choisi par le destin qui va finir par vivre une épopée époustouflante pleine de rebondissements et de moments mémorables. Pour la première fois depuis le VIII (le meilleur de tous n'ayons pas peur des mots), les personnages que l’on rencontre sont tous (vraiment tous) incroyablement bien écrits, chacun avec sa propre personnalité et ses motivations. Ca rend vraiment les interactions et les dialogues particulièrement savoureux.
Graphiquement, le jeu est un régal pour les yeux. Les décors sont somptueux, allant des villages pittoresques aux vastes paysages enchanteurs, chaque endroit étant richement détaillé et vivant. Les créatures et les ennemis que l’on croise sont également très bien conçus, avec des designs à la fois charmants et menaçants, typiques de l'univers Dragon Quest. Et que dire sur le bestiaire qui est très vaste. En ce qui concerne le gameplay, ce dernier est à la fois familier pour les connaisseurs mais aussi rafraîchissant. Les combats au tour par tour sont stratégiques et dynamiques (on peut enfin bouger autour des cibles,). Les compétences et les sorts de chaque personnage ajoutent une profondeur tactique, ce qui rend les affrontements assez sympas y compris pendant la phase de farm. Le système de progression est gratifiant, avec des arbres de compétences qui permettent de personnaliser les capacités de chaque héros.
Maintenant, ce qui distingue vraiment Dragon Quest XI, hormis les éléments déjà cités, c'est la possibilité de jouer en 2D, à la manière des anciens et là c'est la nostalgie pleine de modernité qui surgie ! Les fans de longue date retrouveront avec plaisir les éléments classiques de la série, tandis que les nouveaux venus apprécieront la qualité de vie des améliorations et la fluidité de l’expérience de jeu. Les quêtes secondaires et les mini-jeux ajoutent une touche supplémentaire de plaisir et d'exploration. Mention spéciale à la bande son : chaque mélodie, qu’elle soit épique ou mélancolique, accompagne parfaitement les moments clés de l’histoire.
En conclusion, Dragon Quest XI est une véritable merveille pour les amateurs de JRPG. Il réussit à capturer l’essence de ce qui a fait le succès de la série tout en apportant des améliorations modernes qui le rendent accessible et engageant pour tous les joueurs. Si vous cherchez une aventure épique, riche en émotions et en découvertes, ce jeu est un incontournable. Bravo aux développeurs pour avoir créé un chef-d'œuvre qui restera gravé dans les mémoires.
Steam User 7
Quand j'étais à l'école primaire j'ai rencontré l'un de mes meilleurs amis en découvrant qu'il jouait lui aussi à Dragon Quest Monsters Joker 1. Ce jeu m'a hypnotisé dès que je l'ai aperçu par dessus l'épaule d'un autre super ami de l'époque. C'était en 2006, depuis je suis toujours avec attention les sorties des Dragon Quest.
Le premier épisode sort en 1986. Yuji Horii (comme par magie pour les jeux vidéos on dit le créateur, pas "l'artiste" ni "l'auteur") est un ancien, il faut remonter le courant pour comprendre la succession de ses inventions et le progressif vieillissement de ses mécaniques de gameplay. Beaucoup d'histoires qu'il a crée sont passées dans les mémoires, incarnées et maintenant bien usées, lointaines et vécues. D'idées en redondances Yuji s'est retrouvé assis sur un tas de souvenirs, une vie dédiée à un univers qu'il a façonné, presque comme si il avait vécu dedans depuis le départ. C'est bien le Temps qu’il porte en lui et dont il se nourrit comme si il se dévorait lui-même qui lui sert de matière pour créer. L'obsession temporelle, on peut dire que ça lui a commencé avec l'épisode 5 (1992) comme une idée seule, ténue mais prête à se propager. Puis progressivement, plus profondément, dans le septième opus La Quête des vestiges du monde (2000) les premières nostalgies mortifères et romantiques se sont ancrées pour que tout ce Temps finisse par devenir viscéral. On peut tenter de décrire les personnages non-ennemis de Dragon Quest en deux groupes. D'un côté les candides, complètement bienheureux et donc inactifs, de l'autre ceux qui participent à l'aventure et sont constamment menacés de se trouver figés dans le temps, par l'or (Mia et Erik), la glace (Sniflheim), les doubles maléfiques (Pnom Menh), les sortilèges de jeunesse éternelle (Veronica) ou même pris de vieillissement sur place comme chez Marcel, dépossédés de leur conscience, transcendés dans leur essence. Après quelques quêtes accomplies ils peuvent retrouver la mémoire, une fois que la lumière est revenue -portée par l'avatar muet du joueur-, somme de toutes les couleurs comme décomposées et recomposées dans le prisme (la formation cristalline de Gilles) ici dans DQ 11 les 6 orbes à récupérer.
Donc Héliodore la capitale du monde d'Elréa est en danger. Dans le deuxième Livre des Maccabées, Héliodore est le ministre de Séleucos IV, qui se rend au temple de Salomon (dont la structure de pierres ne put être battit sans l'aide d'un petit vers le chamir -qui désigne aussi le corindon, le diamant- car aucun instrument de fer ne pouvait tailler ses pierres; ça nous intéresse pour comprendre ces histoires de châteaux volants, de minerais rares, d'or et de lumière forgée) chercher l'or qu'il contient, mais échoue à l'inspecter et se retrouve chassé du temple par la puissance de Dieu ce qui le poussera à son retour à assassiner Séleucos.
Héliodore du grec hêlios, soleil et dôrea, don. Je suis l’éclairé, l’incarnation du héros venu du monde réel pour défaire la déliquescence de l’imaginaire replié sur lui même. J’assiste à l’amour impossible entre ceux qui vivotent de l’autre côté (le monde virtuel) et nous. C’est par exemple la métaphore des sirènes habitantes de Nauticaa, ce mélange d’êtres mi fiction(poissons) mi humains qui vivent plusieurs siècles et voient périr impuissantes leurs amours de la terre ferme sans pouvoir les rejoindre sous peine d’êtres maudîtes et de mourir.
Il y aussi la fausse brillance de l’or qui passe entre toutes les mains et reflète tous les visages, dans tous les lieux et sans distinctions; l'or qui est empêchée d’accès au ministre Héliodore par la volonté de Dieu et l'invocation de son cavalier à l'armure qui paraissait d'or (notre héros éclairé?). L'ordre des choses c'est que la brillance de l’or est gardée par la lumière du héros qu'on appelle l’Éclairé. Dans le passé oublié et bientôt remémoré de Erik et Mia se joue une réinterprétation du mythe de Midas mettant en scène cette dualité lumineuse. L’or ne peut pas s’incarner comme substitut à la lumière vertueuse et si l’on essaye malgré tout, on se fige dans le temps et c’est l’or comme machine vide et avide qui finit par vivre à notre place, en notre corps.
La créature finalement battue sous les coups de mes coéquipiers et moi-même s'est propagée une dernière fois en tentacules dorées pour tenter de transformer les ressources de la terre environnante en or. Mais retenue courageusement par nos pouvoirs elle s'est fendue en son milieu pour laisser paraître la sœur d'Erik, Mia, désemparée et abasourdie de tourments. Erik s'est alors précipité pour la sauver tandis qu'une pellicule d'or commençait à la recouvrir elle aussi, comme si elle était devenue une ressource dévorable indistincte du reste du monde. D'une main transit d'efforts il réussit a l'atteindre et s'étreignant tous les deux dans une dernière bravade Erik se sacrifia en laissant l'or l'envahir à sa place. Mia désespérée versa une larme sur le collier maudit recelant le pouvoir alchimique malfaisant et en implorant le ciel que l'or "ne valait pas les moments de rire et de joie, même sous le froid et la faim" ce qui brisa le maléfice.
Toujours ce même or qu’on ramasse à la fin de chaque combat, qui tombe comme récompense du corps des monstres vaincus et des coffres cachés en parallèle de l’expérience, les "points d’xp", cette valeur du temps éprouvé. L’or qu’on peut échanger contre des jetons et jouer aux casinos (et ainsi perdre le jeu dans le jeu) de Costa Bravor et d'Octogonia est autant propriété des monstres -qui se sont aperçus que pour user des humains l’hypnose du jeu était plus efficace que la violence- que propriété de Yuji. L'or qu'on gagne à force de temps.
Le temps toujours perdu, perdu dans le revers (« l’envers » ce niveau entier dans les vestiges de Pnom Menh) et qu’on cherche à reconquérir inlassablement car les états finis donnent toujours matière à de nouvelles histoires et le Bien ne triomphe jamais longtemps dans l’imaginaire. C’est le renouveau du mauvais (en tant que ce qui empoisonne la vie) et sa catastrophe à dépeindre (le Mal en tant que ce qui divise) qui donne matière à la création. On peut imaginer le lien entre la fantasy tolkienesque crée en opposition au monde techno-industriel étendant son empire sur tout le globe et les japonais pionniers du jeu vidéo qui se sont emparés de ce style comme un retour dans le passé d'un autre, peut-être pour cicatriser la bombe?
Marcel parmi tous s’en sort le mieux, il est seul dans le temps retrouvé comme dans les palais infinis de The Longing. Et peut-être comme le roi ronflant par dessus son sbire il attend qu'on le réveille?
"Le revers" de Pnom Menh, d'où on se trouve piégé au travers de la faille sur la fresque supposée divine et aux vertus attrape-touristes, c’est bien ce que le présent décomposé, usé par les heures innombrables nous inspire. C’est ce monde où ce qui a été dans un même corps et sous un même nom est maintenant autre chose dans un nul-part, un espace de dédales aux limites indiscernables où seul le souvenir tisse un lien entre ces grands salons du temps. Le phénomène est possible grâce à l’illusion de nous-même au temps non-chronologique. Cette illusion de nous-même est reproduite avec la possession aussi illusoire que l'on fait du héros par le biais du jeu-vidéo. On se parcourt à travers l’autre, on ne comprend pas bien, et il ne reste que l’impression d’avoir traversé un morceau de temps (ensemble?). Herman le romancier des revers, des brèches, des illusions et des faiseurs de mensonges écrit dans The confidence-man: his masquerade: Le docteur-hérboriste resta silencieux un moment, plongé dans ses pensées. Enfin, relevant la tête, il dit: "J'ai réfléchi à toute votre histoire, mon ami, et je me suis efforcé de le faire à la lumière de ce que je crois être le système de toutes choses; mais elle jure si complétement avec lui, elle est si incompatible avec lui, que vous devez me pardonner si je vous dis franchement que je ne puis y croire"
Steam User 2
L'histoire est passionnante et les personnages sont très attachant. En plus il n'y a pas vraiment l'aspect répétitif que j'avais eu sur les autres DQ ou les autres JRPG en général. Je recommande vraiment ce jeu.
Steam User 1
JRPG + Akira Toryama à la D.A. = chef d'oeuvre
Et ne ne désinstallez pas le jeu après le générique de fin ;)
Steam User 4
J'ai adoré ce jeu, du début à la fin.
Super durée de vie, un système de combat au tour par tour très sympa, des personnages attachants, un super scénario, des équipements à forger, acheter, revendre... what else?
Steam User 1
Aventure complète et amusante, multitude d'attaques et d'accessoires permettant de personnaliser ses héros. Nombreuses cinématiques de qualitées.
Pour tout ceux qui, comme moi, ont connu dragon quest grace a dragon quest "l'épopée des élus" ou "la fiancée celeste", vous ne pouvez qu'apprecié Dragon quest XI.
Steam User 0
Je ne sais pas pourquoi (même si je pense que c'est surement à cause de son titre astronomiquement long) mais le jeu fait un peu bug l'affichage de steam dans ma bibliothèque et parfois ça fait des trucs un peu bizarre.
Sinon le jeu est très bien je recommande.