Divinity: Original Sin II
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The Divine is dead. The Void approaches. And the powers lying dormant within you are soon to awaken. The battle for Divinity has begun. Choose wisely and trust sparingly; darkness lurks within every heart. Who will you be? A flesh-eating Elf, an Imperial Lizard or an Undead, risen from the grave? Discover how the world reacts differently to who – or what – you are. It’s time for a new Divinity! Gather your party and develop relationships with your companions. Blast your opponents in deep, tactical, turn-based combat. Use the environment as a weapon, use height to your advantage, and manipulate the elements themselves to seal your victory. Ascend as the god that Rivellon so desperately needs. Explore the vast and layered world of Rivellon alone or in a party of up to 4 players in drop-in/drop-out cooperative play. Go anywhere, unleash your imagination, and explore endless ways to interact with the world.
Steam User 5
Hey salut Larian ! Merci pour la doublette divinity sin 2 + BG3 qui on fait que pour moi il y a eu un avant et un après. Je me retrouve à chercher tous les jours sur google quel est le futur jeu de Larian Studios, tellement j'ai accroché à votre hygiène et votre passion transmise à travers vos jeux. Je pèse mes mots mais quand je joue à autre chose maintenant ça me parait fade.
Alors pour mon avis sur Divinity 2
Contexte : je l'ai acheté il y a des années, j'ai fais l'act 1 j'ai beaucoup aimé mais, déménagement IRL + beaucoup de boulot = je ne savais plus où j'en étais donc je l'ai laissé en suspens.
2024 je me fais BG3 et je prends une claque monumental en le finissant x fois.
J'apprends que c'est eux qui ont fait Divinity 2, bref je me replonge dedans.
Mon avis (beaucoup influencé par BG3)
-Le narratif :
Le plus : l'histoire est excellente, pour son époque c'est une des histoires les plus riches, on fait des choix qui ont des conséquences. On s'attache à ses compagnons de voyage (j'en reparle dans les "moins" tout de même). Ça change aussi un peu de ce qu'on à l'habitude de voir dans les histoires médiévales fantastiques, Larian à sa propre définition pour chaque race, on a pas forcément l'humain polyvalent, le nain avec une grosse hache qui vit dans des grottes, et le magnifique elfe. (là ils sont carrément cannibales)
Le moins : Il y a TROP de quêtes (trop c'est excellent hein mais pas en même temps), on s'y perd (ou alors elles bugs, des drapeaux rouges qui restent alors qu'on a finit la quête ou qu'on a ramassé le coffre) Les compagnons on commence à s'attacher à la fin, mais bon le fait que dès qu'on a passé un cap dans l'histoire ils ont tous un point d'exclamation sur la tête pour te parler, ça te sort un peu de l'aventure je trouve.
Cela a été grandement amélioré dans BG3 donc bravo à vous Larian.
Le gameplay :
Il y a un truc que je reproche à BG3 : c'est sa facilité même en honneur/tacticien, c'est FACILE, à part dans ma 1er run, je n'ai JAMAIS utilisé la fonction "revivre". Alors que sur Divinity 2 préparez un BON stock de parchemins, vous allez en avoir besoin. Ça peut frustrer le joueur casu, mais on est pas dans un monde où tout est facile ! Quand y a un peu de challenge c'est mieux. Sur ce point Divinity 2>BG3.
Par contre le système de combat il y a eu des choses frustrantes de mon côté : comment un archer n'arrive pas à tirer depuis la hauteur juste parce que devant il y a un tout petit mur qui dépasse (je ne remet pas en cause quand un archer en voit pas à cause du brouillard hein)
Aussi le fait que peu importe comment on monte notre initiative on se retrouve à jouer chacun notre tour avec l'IA + quelques bugs où on ne sait pas pourquoi des fois y a que le personnage de devant qui est considéré en combat et ensuite quand les autres sont enfin considérés comme étant en combat = alors ils jouent en tout dernier. Après c'est aussi ce qui fait la difficulté j'imagine que certains boss avec (1000000 d'initiative) joue en 1er et te mets un gros sort AOE qui te défonce la moitié de ta vie.
Le monde ouvert c'est cool aussi, mais parfois on tombe sur des Gaps de difficulté, par exemple je farm du magisters avec des combats easy pendant 2 3h (durant l'acte 2) puis bloqué car ne comprenant pas ce que je dois faire pour avancer dans mes quêtes je me retrouve à explorer la map et pouf je tombe sur un combat impossible (même en recommençant 10 fois).
+ une autre fois ou je me fais simplement oneshot mon tout 1er perso (j'ai direct recharger et reculer)
Ensuite la gestion de l'inventaire est bof tiers, juste la fonction "shift" qui est dans BG3 change la vie.
Le craft ensuite, je l'ai peu utilisé mais je trouve ça bien qu'il soit là. (si on va pas voir les crafts possibles sur internet, c'est un système plutôt cool) Mais ça fait qu'on se retrouve avec un inventaire illisible (merci les sacs différents sur BG3)
La beauté du jeu :
Pour son époque il est super beau, mais forcément on se sent moins emporté par l'aventure lorsqu'on compare la rencontre avec Astarion (BG3) et Sébille (Divinity 2). Pour l'un tu as la cinématique du couteau sous la gorge et pour l'autre tu as le narrateur qui parle avec 2 personnages qui se regardent sans bouger.
Evidemment ce n'est pas le même budget ni la même technologie.
Mais c'est juste pour dire qu'il faut donner les moyens à Larian studios pour qu'ils te sortent un truc propre.
En bref dans mon avis : il y a beaucoup de chose que j'appel des "axes d'améliorations" mais dans l'ensemble j'ai trouvé que c'était un excellent jeu, je viens surtout donner mon avis pour encourager le studio car je suis impatient du prochain projet que ça soit Divinity 3 ou autre.
PS : j'ai finis le jeu en mode normal (j'avais lancé au début en mode tactique mais je suis resté bloqué niveau 3)
Aussi je voulais dire que la fin est ouverte et la question d'un de mes personnage préféré Malady est restée en suspend donc même s'il est développé dans 20 ans je serai là pour Divinity 3 :)
Steam User 3
Très mitigé sur ce jeu.
Étant friand de CRPGs, je me faisais une joie de jouer au très renommé DoS2. Vu les excellentes notes, je m'attendais à un monument du genre. Eh bien non... j'ai été plutôt déçu. Pourquoi ? Pour deux raisons principales : un scénario médiocre et de très mauvais choix de game design.
Univers plaisant mais scénario faible
Pour ne rien spoiler, je me contenterai de dire que le scénar tient en haleine durant tout le premier acte, malheureusement il s'étire dans de fades circonvolutions à partir du deuxième, et ce jusqu'à la fin.
En occultant les longueurs, on se rend compte qu'il s'agit d'un pastiche de Baldur's Gate 2 : Throne of Bhaal... L'ascension vers la divinité, la dichotomie entre responsabilité et soif de pouvoir, toussa toussa.
L'histoire de DoS1 était déjà peu intéressante mais l'humour faisait qu'on passait outre. DoS2, lui, se prend beaucoup plus au sérieux et, de fait, n'a rien de très original.
A cela s'ajoutent des défauts de game design que je développe ci-dessous et qui m'ont empêché d'apprécier les combats (qui étaient pourtant l'atout de DoS1).
Système d'armure qui rend le character building contre-intuitif.
Tous les persos du jeu possèdent deux armures : une pour résister aux dégâts physiques, une pour absorber les dégâts magiques. Tant qu'elles ne tombent pas à zéro, les barres de vie ne peuvent être entamées. Il est alors primordial de savoir détruire n'importe quelle armure rapidement.
Ne cherchez surtout pas à spécialiser vos persos - c'est-à-dire à faire un perso qui ne ferait que de la magie, un autre qui résisterait uniquement aux coups physiques, etc. - le système d'armures les rendra inefficaces dans beaucoup trop de situation. Le jeu veut que vous jouiez des persos multiclassés, c-à-d qui ont autant de compétences magiques que physiques afin de pouvoir détruire les deux types d'armure.
Sur le papier c'est intéressant, sauf que dans la pratique c'est contre-intuitif et même anti-roleplay : absurde le paladin qui apprend la nécromancie, pourtant il le doit car c'est la meilleure façon d'être un minimum résistant (grâce à l'absorption de vie). Absurde le voleur qui apprend des skills de guerrier-gros-bourrin, mais c'est important pour avoir accès à des déplacements non disponibles dans la branche furtive. Absurde le rôdeur qui doit se transformer en mage élémentaire, pourtant ses flèches de feu seront du pipi de chat s'il ne le fait pas... C'est comme ça pour toutes les classes.
Vous aurez donc à terme dans votre équipe des couteaux suisses sans queue ni tête, du style :
- Rôdeur mi-pyromage mi-aéromage avec supplément métamorphe,
- Paladin nécromage mi-hydromage mi-invocateur mi-enchanteur avec options assassin,
- Assassin mi-guerrier mi-rodeur mi-pyromage derrière, mi-géomancien devant.
etc. etc.
Level scaling et Level zones qui piétinent le roleplay
Le loot évolue en fonction du niveau, comme dans un Borderlands. Ce qui vous obligera à faire le tour des marchands chaque fois que vous prenez un level pour réviser votre équipement (on souffle fort). Sans ça, vous aurez beaucoup de mal à tenir tête aux ennemis qui, pour une raison obscure, auront systématiquement de meilleures stats que vous.
Le niveau des ennemis en revanche, dépend de zones géographiques. Le soucis est que le nombre de quêtes disponibles ne suffira pas toujours à avoir le niveau requis pour la zone suivante, ce qui vous poussera à faire des choses non roleplay comme ratisser la carte en butant tous les pnjs innocents que vous croiserez, juste pour compenser le manque d'xp.
Cela tue complètement l'esprit rôliste.
Adversaires qui ne sont pas soumis aux mêmes règles que les PJs
A niveaux égaux, nombre d'ennemis ont 2x plus de points d'action que nos persos, ont 2x plus d'armure, font 2x plus de dégâts... Aucun moyen de comprendre à l'aide de leurs stats comment c'est possible. Ca donne l'impression de jouer sous la coupe d'un MJ qui change les règles du jeu selon son bon vouloir.
Dans BG3, on apprécie d'avoir les règles DnD qui, même si elles peuvent être velues, sont carré. Contrairement aux règles de DoS2.
Conclusion
Ce n'est pas un jeu que je relancerai, pourtant il a d'indéniables qualités : la DA, le level design, et la genèse de l'univers (qui mériterait d'être exploitée dans de meilleurs scénarios).
Je conseille tout de même d'y jouer au moins une fois car, en dépit de ses gros défauts, DoS2 a le mérite d'être un marqueur dans l'histoire du crpg, à ce titre il est toujours intéressant de voir en quoi.
Steam User 1
Jeu vraiment très sympa et prenant, malgré un système de suivi de quêtes qui est perfectible et quelques trucs peu intuitifs.
Steam User 1
Un jeu incroyable qui demande un investisement en temps et en exploration mais qui en retour ne vous laissera pas déçu. Si vous avez aimé Baldur Gate 3 et que les graphisme de l'époque ne vous font pas peur, vous retrouverai un jeu digne du studio Laria. Le début est peut-être un peu long mais il vaut le coup et beaucoup de mods dans le workshop sont intéréssant a ajouter !! Je conseille vraiment!!!!
Steam User 1
Un mot d'ordre : Exceptionnel.
OST : Exceptionnel.
Direction Artistique : Exceptionnel.
Histoire : Exceptionnel.
Personnage : Exceptionnel.
Gameplay / Combats : Exceptionnel.
Rejouabilité : Exceptionnel.
Coop Locale : Exceptionnel.
Il est entré dans mon top 5 jeux All Time, et il n'est pas 5ème.
Steam User 1
vraiment excellent.
Très longue durée de jeu, plusieurs personnages jouables avec des caractéristiques personnelles bien spécifiques.
Tourne correctement sur un mac mini 2018 32Go.
Edit:
Puis je me suis équipé d'une carte video externe pour le rejouer encore en profitant cette fois de sa grande beauté.
Je l'ai rejoué plusieurs fois, pour explorer tous les personnages et avec différents attributs et différentes associations. Et chaque fois, que c'est bon.
Complètement terminé en cherchant à développer toutes les personnages au max (niv20) à faire tous les combats, et ca a été un enorme regal... Et y'a encore à faire.
Steam User 1
The game has fantastic combats and a very immersive story.
It's clearly one of the best cRPGs of the last decade. Can't w8 to start BG3.
Just a must have