Dishonored: Death of the Outsider

Les Dishonored sont les jeux d'infiltration les plus grisants auxquels j'ai pu jouer. "Death of the Outsider" est probablement le plus faible de la série (courte durée de vie et épilogue bâclé) même s'il est incontestablement un bon jeu.
Je ne recommande pas forcément de l'acheter plein pot à cause de sa durée de vie. Dishonored 1 & 2 ont plus de rejouabilité, privilégiez les si vous ne connaissez pas la série.

Ce Dishonored est un mauvais jeu en tant que tel, mais une excellente extension du 2 ! Bien qu'il reste assez buggé malheureusement.

Histoire au scénario intéressant.
Il est difficile de réussir toutes les quêtes et de trouver tous les objets à collecter sans une aide extérieure, la référence dans ce domaine est www.supersoluce.com

Dishonored: Death of the Outsider est une sorte de DLC de Dishonored 2. Tout comme les précédents volets, ce jeu mérite une grande admiration.

L'un des aspects les plus remarquables est son système de jeu qui continue d'offrir une liberté exceptionnelle. On peut choisir de suivre une approche furtive, ou de faire usage des nouvelles compétences. Cette variété de choix permet aux joueurs de personnaliser leur expérience de manière unique, tout en explorant une histoire captivante.

Bref, Dishonored: Death of the Outsider est une suite naturelle à l'univers de Dishonored, tout en apportant des éléments frais qui raviront les fans de la série.

très bonne extension du 2-ème jeu, il est agréable et offre des éléments de gameplay frais.

Les extensions du jeu original l’avaient démontré avec brio : un léger rééquilibrage des mécaniques de déplacement de notre personnage suffit à bouleverser toute l’appréhension d’un jeu comme Dishonored. Il fait tomber les évidences construites au cours des parties, et reconfigure entièrement les environnements dans des dimensions qui déstabilisent. Death of the Outsider renouvelle cet exploit, avec une mécanique de téléportation suffisamment riche pour faire oublier que la gamme de pouvoirs offerts par ailleurs s’avère étonnamment resserrée, sans perspective d’évolution au cours de la partie.
Ce travail de fond souligne d’autant mieux un travail sur les niveaux une nouvelle fois somptueux, qui marque encore davantage ce qui singularise encore aujourd’hui Dishonored 2 dans le paysage des "immersive sims", ses ambiances inquiétantes bien que lumineuses, luxueuses. Il manque malheureusement une idée de level-design aussi marquante que celles du "manoir mécanique" ou de "la déchirure" ; quelques nouveautés pleines et entières, comme ces sentinelles qui hantent le Void, aussi réussies soient-elles, n’ont pas le temps d’exposer tout leur potentiel.

C’est l’un des paradoxes étonnants de cette extension ambitieuse, de parvenir à donner l’impression d’un jeu entier condensé plutôt qu’un DLC au rabais, tout en n’arrivant pas à gommer une fâcheuse tendance à rester sur la réserve. La faute notamment à un arsenal qui, en quête de polyvalence, tend parfois à niveler les issues de telle ou telle approche (discrétion absolue, contact non létal, run brutale), et de là à donner la sensation d’une créativité trop limitée. Le risque était fort de basculer vers une formule générique, sans pour autant que je ne puisse me plaindre d’un quelconque ennui dans ma découverte.

Le dernier volet de la saga Dishonored et c'est lui aussi, une petite merveille d'inventivité. De plus, la direction artistique n'a pas vieillie d'un iota et les possibilités de jeu sont toujours aussi fabuleuses. Bref, un petit bijou !