Dex
L’auteur n’a pas encore fourni de description dans votre langue.
Explore, fight, talk and hack your way through a rich cyberpunk world in this 2D action-RPG! Wanted dead by a mysterious and far-reaching organization, you will traverse the futuristic city of Harbor Prime and make unexpected allies on your quest to bring down the system! In this cyberpunk adventure inspired by Blade Runner and Neuromancer, you are free to choose your playstyle: will you be a silent assassin, a hacker, a diplomat or a straightforward gunfighter? Designed as a throwback to earlier 2D platforming and action games combined with modern RPG elements, Dex offers real-time combat, a mature storyline and interactive dialogues. Customize your character’s skills, equipment and even augmentations – implants which grant you superhuman abilities and open up new paths within the game’s open world.
Steam User 51
Du bon cyberpunk qui fait plaisir.
Ce jeu n'est pas parfait mais il est loin de mériter les critiques négatives que j'ai lu jusqu'ici dessus. D'ailleurs, plusieurs personnes remontent des bugs, personnellement le seul bug auquel j'ai été confronté à été corrigé quelques jours après la sortie du jeu. Donc je n'ai pas vraiment à me plaindre...
Les plus :
- Un vrai univers cyberpunk, c'est suffisament rare pour le noter
- Des dialogues bien écrits (attention VO uniquement pour le moment mais une VF est prévu je crois) et des doublages de voix vraiment sympa
- Les intrigues des quêtes secondaires sont généralement bien foutu et immersives
- Le hacking est plutôt sympa, ça permet de varier le gameplay
- On peut s'implanter du cyberware ! On peut même choisir à un moment d'aller braquer des contrebandiers pour chopper un implant et ne pas avoir à le payer plein pot !
Les plus ou moins, c'est selon :
- Un coté un peu trop bon samaritain sur les quêtes secondaires (mais on peut voir une explication à ça à la fin du jeu)
- Beaucoup de dialogue (positif pour ceux qui aiment, négatifs pour ceux qui ne sont interessé que par l'action)
- Passer en furtivité est compliqué et surtout ne donne pas les points d'xp que l'on a en tuant les ennemi. Pas génant si on va toujours au fight mais embettant si on voulait jouer la discretion
- Un gameplay relativement "simple" à l'ancienne. Perso j'aime mais peut-être que certains seront déçu.
- Relativement peu de choix de rôleplay mais quelques-uns quand même
Les moins :
- Scénario principal un peu court (mais pas mal de "quêtes secondaires" interessantes)
- Les personnages et décors un peu pixelisé si on zoom trop (mais bon on général on reste à bonne distance)
Bon, j'oublie probablement des choses à dire mais en tout cas j'ai passé un très bon moment à jouer à ce jeu. Encore une fois, ce n'est pas le jeu du siècle mais il ne coûte pas non plus 50€ et puis les jeux vraiment cyberpunk sont tellement rare...
Steam User 31
Il y a des jeux qui marquent l’esprit. Tenez, par exemple, je viens de terminer le dernier Deus Ex et pourtant, en cours de partie, il m’est souvent arrivé de me remémorer des souvenirs des mes parties de Dex. Serait-ce à cause de leurs acronymes étrangement similaires ?
En plus de cela, les gars de chez Dreadlocks Studio sont de Prague (lieu où se déroule l’action de Deus Ex : Mankind Divided) ; faut-il y voir la trace d’un complot ? D’ailleurs, c’est bien la première fois que je me mets à écrire une critique trois mois après avoir terminé un jeu. C'est le signe que le produit est bon, non ? Ou bien me suis-je fait honteusement manipuler ?
A la différence du dernier titre d’Eidos, Dex ne nous immerge pas dans son univers par l’intermédiaire de graphismes clinquants en 3D, ou à grand renfort de cutscenes ayant fait travailler jour et nuit de pauvres infographistes. En effet, Le style graphique se veut moins ambitieux et nous permet de parcourir un futur dystopique, sous la forme d’un jeu en 2D avec une vue de côté. Mis à part cette différence graphique, les activités restent sensiblement les mêmes d’un jeu à l’autre.
Il nous sera demandé d’aller fouiner dans les appartements des habitants, afin d’aller découvrir dans leur boite mail leurs secrets inavouables, infiltrer des bases de toxicomanes du futur, ou encore hacker tous les ordinateurs qui passeront à votre portée. Vous l’aurez compris, nous ne sommes pas là pour défourailler des gobelins à dos de licorne ; le monde de Dex nous plonge dans une ville cyberpunk, où des méga-corporations tirent les ficelles afin d'asservir la populace. Le jeu démarre au moment où notre héroïne (curieusement nommée... Dex) se fait sortir de sa torpeur du dimanche matin, par une bande de mercenaires truffés d’augmentations cybernétiques qui souhaitent la kidnapper.
Heureusement, un mystérieux hacker nous avertit du danger imminent en communiquant dans la tête de notre personnage. Sans avoir eu le temps d’ingurgiter un café, nous prenons la fuite en sautant par la fenêtre de notre studio, tout en suivant aveuglément les indications du mec qui parle dans notre tête (encore un qui s’est pris pour Morpheus). Après avoir semé nos poursuivants et avoir traversé des égouts puants, le jeu nous permet de découvrir une ville futuriste qui regorge de secrets pour celui qui aime explorer. Le titre adopte une structure de Metroidvania (non, cela n’a rien à voir avec les serviettes hygiénique), c’est à dire qu’au fur et à mesure que vous vous implanterez des améliorations cybernétiques, vous gagnerez des compétences qui permettront de toujours pousser davantage vos pérégrinations.
Il existe une dizaine de compétences possibles qui vont de l’utile super-saut, au maniement des armes à feu et du crochetage (que je vous conseille de débloquer en priorité !), à la maîtrise du pain dans la gueule, aux classiques (mais indispensables) compétences de piratage, ou bien encore des implants agissant sur la persuasion.
Attention, il ne sera pas possible de débloquer toutes les compétences à la fin de votre partie, donc il ne tient qu’à vous de faire le bon choix pour être sûr de ne rien louper du jeu. Mon conseil est de vous focaliser davantage sur les options les moins offensives, telles que : le crochetage, le piratage, et la persuasion.
Pourquoi un tel choix ? Car nous allons maintenant nous pencher sur l’aspect le moins reluisant du jeu : la castagne.
Du shoot pour ambiDEXtre ?
Vous allez vous rendre compte dès le premier combat (qui risque de dégoûter prématurément les joueurs les moins patients) que les développeurs ont davantage misé sur l’ambiance que sur l’échange de mandales.
Et pour un Metroidvania, ça la fout plutôt mal.
En effet, pour arriver à dégommer les ratiches de son adversaire, il faut se tenir à une distance bien précise. Le temps que l’on arrive à se positionner correctement, il n’est pas rare que celui-ci nous ai déjà entamé la barre de vie de moitié... et encore, je ne vous parle pas des ennemis équipés d’armes à feu qu’il faut fuir comme la peste. Heureusement, il existe une approche furtive ! Si vous arrivez dans le dos de votre ennemi, il est possible de l’éliminer d’un seul coup. Cette mécanique, couplée avec une intelligence artificielle carrément débile, fait que l’on favorisera la plupart du temps cette méthode sournoise. Bien que l’IA ne soit pas bien finaude, je ne considère pas cela comme un véritable défaut (sinon, le jeu aurait été bien trop dur, et je ne pense pas que je vous aurais écrit cette critique).
Effectivement, cela nous force à nous servir du level design (plutôt bien foutu) afin de trouver des chemins détournés pour parvenir dans le dos de nos victimes.
Pour peu que l’on se fasse repérer, il suffit juste de sortir le plus rapidement possible de la zone dans laquelle nous nous trouvons afin que l’IA nous oublie et reprenne tranquillement sa ronde, comme si rien ne s’était passé. Sans compter que lorsque l’on saute sur une plateforme (pourtant munie d’une échelle), les ennemis n’arrivent même pas à nous suivre et restent bloqués à la plateforme du niveau inférieur. Vous me direz qu’il n’existe pas que le corps-à-corps, et comme je vous l’ai expliqué précédemment, nous pouvons nous spécialiser dans les armes à distances.
Malheureusement, l’ergonomie du machin est d’une galère sans nom ; il faut maintenir la gâchette gauche pour sortir son gun, agir sur le joystick droit afin d'orienter la visée, et enfin appuyer sur la gâchette droite pour tirer.
Cela aurait été plus simple que la visée soit automatique, mais vu que ce n’est pas le cas, nous ferons vite l’impasse dessus.
N’en déplaise à notre ami Toupilitou, je n’ai joué qu’à la manette, et je ne pourrais donc pas vous confirmer que ce soit plus maniable au clavier / souris. Étant donné que le déplacement de notre personnage s’effectue avec le joystick gauche, je vous laisse imaginer la gymnastique nécessaire lorsque l’on souhaite viser un ennemi tout en se déplaçant. En plus de cela, les munitions se font rares, et devoir vider deux chargeurs pour tuer un ennemi (qui visent tels des Lucky Luke nano-modifiés) fait que l’on se retrouvera à favoriser la furtivité. Toutefois les compétences de piratage permettront de vous sortir de situations épineuses, par exemple en retournant les mitrailleuses robotiques contre les ennemis, ou bien en les étourdissant quelques secondes après leur avoir « hacké » le cerveau.
Dex invader
En début de partie, le système de piratage pourra également faire grincer des dents. Les développeurs ont eu l’idée « judicieuse » d’en faire des phases de shoot’em up.
Lorsque vous vous introduirez dans un système informatique, quel qu’il soit, votre avatar sera représenté par un vaisseau qui devra naviguer dans un labyrinthe parsemé de pièges. Les défenses informatiques attaqueront votre vaisseau au fur et à mesure de sa progression, et seule votre DEXtérité (vous l’avez pas vu venir celle-là !) permettra de trouver la sortie, synonyme de réussite du hacking. Pour vous défendre, il est possible de shooter les antivirus qui vous attaquent, mais comme pour les combats, il va vous falloir montrer ultra-précis pour arriver à faire mouche. Heureusement, après avoir amélioré ses compétences de piratage, notre vaisseau gagnera en puissance, et arrivé à haut niveau ces phases ne deviendront plus que des passages défouloirs qui ne représenteront plus de grosses difficultés.
Un gros coDEX
Mais, Dex, ce n’est pas juste des combats hasardeux et des phases de shoot'em up dont on aurait pu se passer. Dex, c’est surtout la retranscription d’un univers cyberpunk réalisé avec amour. Le jeu vous lâche dans une ville divisée en plusieurs quartiers, disposant chacun de son identité et qu’il est possible d’explorer à sa guise....
Steam Limitant le nombres de caractères, retrouvez la suite de cette critique ici :
Steam User 13
Si vous aimez les univers cyberpunk et les rpg, ne passez pas à coté de Dex.
Son scénario est bon. Le jeu dure environ 15 heures si vous ne rushez pas le jeu.
Sachant qu'il y a une rejouabilité via différent choix possible que ce soit dans la quête principale ou les quêtes secondaires, ainsi qu'à votre façon de jouer et à votre façon de résoudre les missions (arme à feu, corps à corps, bourrin, discret, persuasion pendant les dialogue, piratage).
Augmentez votre personnage à chaque monté de niveau pour devenir plus puissant.
Achetez des implants pour vous perfectionner. Des armes (ancienne ou dernière technologie) pour vous frayer un chemin dans les quartiers chaud. Ou alors juste avec vos poings et vos pied.
Très bon jeu à ne pas rater.
Steam User 6
Un bon amuse-bouche avant de me lancer dans le nouveau DEUS EX.
On a affaire là à un jeu en 2D mélangeant plateforme et RPG, le tout dans un univers Cyberpunk avec tout ce qui tourne autour : hacking, vilaines corporations, expériences etc.
Les quêtes annexes sont assez nombreuses et le scénario, bien que classique, est plaisant.
Seul regret : la partie infiltration est plutôt limitée, et non récompensée (pas d'XP en évitant les ennemis). Le joueur progressera plus en cassant tout le monde sur son passage.
Steam User 10
" Sorti le 13 août dernier sur Steam, l’early access ne fait que débuter et le jeu se relève assez maigre en contenu. Par exemple, le cyberspace et le hacking, qui étaient des points très importants de la campagne Kickstarter, sont absents et il en va de même pour la quête principale. Ainsi, il n’y a pour le moment aucun tutoriel et nous sommes lancés dans la peau de Dex, héroïne cyborg dont on ne sait rien. Outre cela, pour le moment, le jeu souffre d'un manque de diversité que ce soit dans les types d'ennemis au faible nombre de quatre, d'implants qui s'ils sont bien utiles ne sont pas bien nombreux non plus .
Bref, le monde de Dex et ses mécaniques peuvent paraître un peu faiblards. En effet, le système d’arme à feu a une ergonomie assez hasardeuse, ce qui fait que nous retrouverons plus facilement à enchaîner coups de pieds et coups de poing qu’à essayer de viser. Mais le réel problème reste les ennemis qui nous tirent dessus alors qu’ils n’apparaissent pas encore à l’écran et qui nous forcerons à jouer les suicidaires ou à fuir lâchement. Même constat au niveau du système d’infiltration qui en l’état est extrêmement mal géré – au point même que je n’ai pas très bien su comment on était censé s’en servir. Quant au coté plateforme, ce dernier n’est pas exempt de bugs non plus. Ainsi le jeu aimera vous forcer à monter les escaliers quand vous désirez aller tout droit ou inversement. Et on pourra aussi remarquer des chutes étonnantes de framerate, d’autant plus étonnantes que les endroits concernés sont souvent vides.
Malgré tout, n’oublions pas que c’est une alpha, ainsi il n’y a rien de vraiment étonnant à voir un jeu dont le contenu semble prometteur mais encore absent ou emplis de bugs. Surtout que même en cet état peu engageant, Dex vous offrira tout de même de quoi vous occuper pendant quelques heures. En effet, certains PNJ sont déjà implantés - même si on peut déplorer leur rareté - et nous offrirons des quêtes à choix multiples qui nous aiderons à nous immerger dans l’univers. L’écriture est très prenante et nous retrouvons les thèmes liés au cyberpunk, à savoir tout ce qui trait à la condition et misère sociale, au transhumanisme, aux corporations « ne vous voulant que du bien », à la corruption, au marché noir et la liste est encore longue.
Mais la plus grande qualité de Dex à l’heure actuelle est encore la promenade qu’il offre. Habor Prime, ville futuriste où se passe l’action, nous ferme encore beaucoup de portes au nez. Mais nous ne pouvons nier la diversité et la cohérence des lieux. Ainsi, l’ambiance de Dex est assez proche de l’œuvre de William Gibson, dont les développeurs avouent s’être inspirés, avec un fort soupçon de Deus Ex. Et comme toute ville qui se veut cyberpunk, cette cité est aussi étincelante que sale et décadente. J’ai pris un réel plaisir à me promener dans les quartiers actuellement accessibles de cette ville divisée en secteurs : de Chinatown aux entrepôts gardés par des hommes qui n’auraient pas dû m’attaquer à vue. A crocheter des portes pour accéder à de nouveaux lieux - en effet, notre belle cyborg se retrouvera vite bloquée si vous n'investissez pas quelques points dans le domaine. La direction artistique et l’animation des personnages de type 16-bits ne plaira pas à tous mais pour ma part : je la trouve somptueuse. Les rendus sont fins, les jeux de lumières très bien gérés et la Bande-Son ne fait que renforcer l’atmosphère. Mais avant tout, la plus grande qualité de l’univers de Dex est qu’il parait crédible. "
La preview complète c'est par ici :
Steam User 2
Intéressant petit RPG indé que ce Dex. Il ne faut pas attendre de lui qu'il révolutionne quoi que ce soit, et il n'a pas les moyens d'être plus ambitieux, mais en l'état, ce qu'il fait est ma foi très agréable.
C'est donc un RPG dans un univers cyberpunk, qu'on parcourt en vue de côté, en se déplaçant à travers les différentes zones de la ville que l'on va débloquer peu à peu, et en interagissant avec l'environnement, avec quelques phases de plateforme, beaucoup de phases de combat en temps réel avec une vague composante rythmique (il faut parer et esquiver au bon moment). Il y a aussi du hacking, qui se déroule dans sa propre interface qui rappelle un peu les bullet-hell (en plus simple). Le reste se passe comme dans tout CRPG : des dialogues à choix multiples, une fiche de personnage avec des points à investir dans nos compétences à mesure qu'on monte en niveau, et une variété d'approches proposée, entre les armes à feu, l'infiltration, les assassinats, le corps-à-corps, le hacking, la persuasion, et les implants cybernétiques.
Est-ce que tout ça marche ? Parfois, oui, parfois, moins. C'est un jeu fait par une petite équipe et avec des petits moyens, et ça se sent. Les contrôles sont peu précis, les combats un peu répétitifs et pas très précis non plus, et l'écriture a des hauts et des bas. Toutes les quêtes n'ont pas plusieurs choix possibles, et le level design n'est pas toujours transcendant. Surtout, l'intro et le tutoriel sont très mauvais - tenez bon jusqu'à rencontrer Decker, ça ira bien mieux après, promis. Mais il n'y a rien de rédhibitoire, rien qui donne envie de rage quit, rien de stupide, et le pire dans le jeu est juste un peu bancal.
Le mieux, lui, est très bon. Les dialogues sont entièrement doublés en anglais, et extrêmement bien doublés, ce qui est une très agréable surprise vu le budget du jeu. La traduction française est excellente et très idiomatique (à part sur la quête finale qui a clairement été rushée, avec quelques fautes de frappe et une phrase non traduite), c'était un plaisir à lire. La musique est très agréable à écouter, c'est une BO d'ambiance et pas une BO qui vise à être mémorable, mais il y a quelques thèmes sympa (petit coup de coeur pour la boutique de Hank).
Les personnages sont tous mémorables et hauts en couleur, avec des storyline souvent classiques du genre, mais bien racontées. Le jeu aborde les thèmes habituels du cyberpunk : l'omniprésence des corporations, la lutte pour un internet libre, la violence du monde, les notions de libre arbitre et d'humanité mises à mal par lesdites corpo, le cyberspace et la possibilité d'augmenter et modifier les corps humains jusqu'à en perdre notre intégrité ... ou pas ? Plusieurs quêtes peuvent être résolues par des choix multiples et la décision finale a même réussi à me poser quelques questions philosophiques. En plus, on peut même aider un maître kebabier à maintenir son art face à une corpo toute puissante, et ça, ça n'a pas de prix.
Au final, le jeu est ce qu'il est : un petit jeu indé sympathique qui se finit en 10/15h, avec un gameplay parfois bancal, des personnages attachants, une ambiance immersive et beaucoup d'amour pour ce que le jeu cherche à faire. Si vous cherchez une petite dose de cyberpunk et de RPG et que vous n'avez pas peur de bidouiller un peu avec les contrôles inégaux, et que vous avez une tolérance pour ce qui n'est pas soigné comme un AAA (enfin ... comme un AAA devrait l'être *pointe du doigt un autre rpg cyberpunk dont on ne dira pas le nom*), c'est une expérience assez agréable. Vous n'aurez pas les questionnements existentiels de Disco Elysium ou le gameplay d'un Deus Ex, mais vous ne perdrez pas votre temps non plus.
Petits conseils : le crochetage est très très utile, mettez des points dedans dès le début, et un point en persuasion dès le début du jeu ne fait de mal à personne. J'ai maxé le hacking (très utile) et tout fait aux poings et je n'ai pas eu de soucis. Le level max atteignable est 18 a priori, et vous aurez de quoi maxer quasiment tout, donc pas de panique. Oh, et installez le DLC gratuit "Extra Outfits", il ajoute des combi utiles (pas uniquement cosmétiques) à débloquer.
Steam User 12
Version longue :
Version courte : Beaucoup de qualités et pas mal de défauts. Dex n'est pas un RPG contrairement à ce qu'annonce le Tag Steam, plutôt un jeu d'aventure / platformer en 2D dans un univers Cyberpunk réussi.
Graphiquement inégal, aux bastons pas terribles et aux phases de hacking bien nazes, Dex vaut surtout pour son ambiance et son histoire. Une bonne expérience si on arrive à dépasser ses défauts parfois pénibles.