Detroit: Become Human
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Detroit: Become Human – a game that will make an unforgettable impression on anyone. It feels like watching a movie, but you are the actor. Gather with friends, decide who will play which character and watch your very own story. Every action makes an impact on the story, so think twice or risk loosing everything in this fantastic game about society, equality, life, future and philosophy.
End Boss 1
I will once add a bigger review to this one. Or well, it deserves multiple reviews. There are so many cool things around DBH. First ever thing you should now - this is very similar experience to visiting IMAX on a blockbuster. But it turns out you can control the plot. Highly recommended to role-play characters with your friends. Don't play it solo. Pick one role, and give other roles to your friends. This will be a kind of multiplayer and it will be fun!
Steam User 42
Le champ des possibles des jeux élaborés par les français de Quantic Dream m'a toujours subjugué. Fahrenheit, Beyond: Two Souls et Heavy Rain sont des jeux qui ont eu le don de me happer par la puissance de leurs premières scènes, pour ensuite me passionner, me surprendre, me faire hésiter, me questionner. Le phénoménal Heavy Rain m'avait en particulier profondément marqué.
En m'attelant à Detroit: Become Human, j'étais donc déjà rompu à l'approche caractéristique de David Cage, avec ces arbres décisionnels aux ramifications poussées qui s'entrecroisent. À cet égard, parce qu'il vous permet d'ériger un récit qui vous sera propre, Detroit: Become Human transcende le cadre vidéoludique pour s'établir en une expérience narrative inoubliable qui mérite amplement les éloges qui lui sont faits, d'autant que le jeu soulève des questions sur l'altérité cybernétique et la symbiose homme-machine, mais aussi la stratification sociale jusqu'à la ségrégation.
L'intrigue prometteuse des débuts perd ceci dit en saveur vers le dernier tiers du jeu, pour laisser place à une opposition convenue entre humains et androïdes. Ce dénouement pourrait laisser poindre une pointe de frustration chez ceux qui auraient aimé mieux comprendre les arcanes de cet univers, car des questions cruciales resteront sans réponse, sans compter quelques ficelles bien épaisses (voir plus bas).
Certains trouveront peut-être ce jeu vidéo à la limite du vidéo jeu, où manettes et claviers se muent en télécommandes sensorielles pour que le joueur vive intensément le spectacle. D'autres reprocheront à l'écriture son manque de cohérence et ses zones d'ombre. Mais tous seront assurément conquis par cette direction artistique réussie, la finesse des graphismes, une bande-son magistrale, cette interface simple et immersive façon réalité augmentée, la mise en scène maîtrisée, certaines scènes spectaculaires et la justesse d'interprétation des acteurs.
Detroit: Become Human vous propose avec brio d'incarner des machines en tant qu'être humain, pour justement acter de leur humanité. Il n'est pas parfait, mais possède un potentiel de rejouabilité rare et bénéficie d'une qualité générale exceptionnelle. Difficile de ne pas être charmé.
Les faiblesses voire même maladresses scénaristiques (attention, divulgâchage !) :
- CyberLife est incarnée par Amanda dans le jardin intérieur de Connor. Mais quid dans la réalité ? Les magazines disséminés un peu partout mentionnent des personnalités de l'entreprise mais son ancien PDG est la seule personne que l'on rencontre. C'est selon moi la grande absence du jeu. De fait, on ignore par qui et comment sont remplacés les modèles RK800, à qui Connor fait "ses rapports" ou comment il est hacké à distance. Le jeu met l'accent sur le combat entre l'homme et la machine, mais en faisant de CyberLife une espèce de déité maléfique à la fois omniprésente et impalpable.
- Alice se voit servir deux repas qu'on ne la verra jamais manger... Et pour cause ! C'est malhabile voire malhonnête, car on sait que les androïdes ne mangent pas (le frigo vide de Rupert est par exemple un indice quant à sa nature).
- L'obsession pour rA9 présentée comme étant la clé de la déviance est éconduite d'un revers de main par Elijah Kamski, car en éliminant Chloé pour en apprendre davantage, on se retrouve avec une réponse évasive... Plus de profondeur sur l’androïde mythique, premier candidat à l'éveil, eut été la bienvenue, pour comprendre ce qui rend possible la déviance de certaines machines.
- Les androïdes coûtent plusieurs milliers de dollars. Comment un camé sans emploi comme Todd a pu s'en offrir plusieurs ? Même remarque s'agissant de Carlos Ortiz.
- Le joueur doit s'employer pour que Connor devienne un déviant, quand de son côté Markus peut convertir des centaines d'androïdes à distance d'un simple regard.
- North tombe amoureuse de Markus même si elle restera en désaccord avec toutes ses prises de position non violentes.
- Certains androïdes sont tués d'une seule balle en pleine tête. Lucy possède pourtant une tête évidée, suggérant qu'il ne s'agit pas d'une partie vitale. Les choses auraient été plus intéressantes si seule une balle en plein cœur permettait d'éliminer un androïde d'un seul tir.
- Les androïdes peuvent se parler par télépathie. Pourquoi alors utilisent-ils leur voix lorsqu'ils sont à deux, si ce n'est pour forcer l'humanisation des échanges ?
- Les androïdes déviants peuvent hacker un appareil au toucher, mais seulement dans certaines situations, sans véritable cohérence.
- Le personnage du fils de Carl avait du potentiel, dommage qu'il soit si peu exploité.
Autres commentaires :
- Certaines options de dialogue sont peu claires car trop concises.
- Les QTE gâchent parfois les scènes d'action, car le joueur doit se concentrer pour ne rien rater et cela peut empêcher d'apprécier la dynamique d'une scène. Paradoxalement, on se fait parfois surprendre par une interaction inattendue pour effectuer un simple mouvement : cela brise le déroulé cinématographique des choses.
- Quelques rares screamers sont franchement dispensables.
- La section bonus est riche d'éléments à débloquer. Les courts métrages en particulier sont une excellente addition.
- Neil Newbon possède une voix singulière, reconnaissable, et malheureusement utilisée pour doubler deux personnages secondaires importants.
- Les androïdes, même féminins, auraient dû être chauves pour que l'ensemble gagne en crédibilité (d'ailleurs, aucun androïde ne porte de barbe).
- Certains rares échanges entre Hank et Connor sonnent faux, car ils restent les mêmes que l'on ait pris de bonnes ou mauvaises décisions.
- L'une des marques de fabrique des jeux Quantic Dream est la place prépondérante qu'occupe la météo. Detroit: Become Human ne déroge pas à cette règle : les scènes calmes ou heureuses se font typiquement par beau temps et les plus angoissantes sous la pluie. Le caractère critique d'une situation n'a pas toujours besoin de la pluie pour s'affirmer, mais peut-être qu'il s'agit d'un clin d’œil à Blade Runner ?
Quelques pétouilles techniques :
- Je pensais profiter à fond de ce jeu-film sur mon écran large à 144 FPS, et ne m'étais même pas imaginé qu'il puisse en être autrement. Malheureusement, Detroit: Become Human est limité à 60 FPS (sauf en bidouillant un fichier du jeu) et il est surtout nativement limité au 16/9. Vous aurez donc de vilaines bandes noires sur les côtés en 21/9 et au-delà, à moins d'installer un mod.
- Il n'existe aucune option pour passer les cinématiques ou les dialogues déjà vus, entravant toute exploration rapide des scénarios alternatifs.
- Le jeu est magnifique mais ne propose pas de mode photo.
- Il arrive que les touches de déplacement s'inversent suite à un changement d'angle de la caméra.
- Un seul crash subi, mais un retour bureau quand même, avec l'erreur "VK_ERROR_DEVICE_LOST".
Steam User 16
Detroit: Become Human est une expérience narrative fascinante qui explore des thèmes profonds comme l'intelligence artificielle et les droits des robots. Les choix moraux ont un impact réel sur l'histoire, rendant chaque partie unique. Les graphismes sont époustouflants et l'immersion dans l'univers est totale.
Steam User 22
Un chef-d'oeuvre rien d'autre à dire un 100/10
Histoire 10/10
Musique 10/10
Personnages 10/10
Gameplay 10/10
Acheter les yeux fermés
Steam User 9
Ceci est ma toute première évaluation. Je ne suis pas le genre à prendre la peine d'évaluer un jeu. J'en ai plus de 140 sur steam, nombreux qui m'ont plu, mais jamais jusqu’à aujourd’hui, je n'avait ressenti le besoin d encenser un jeu à ce point.
ce jeu est une oeuvre d'art. c'est absolument incroyable. Un grand merci aux créateurs. Ce jeu est juste sublime.
-Les graphiques: tout simplement les plus beaux que j'ai jamais vu. (et je tourne sur un pc Gaming assez puissant; je joue a tous mes jeux aux paramètres graphiques max sans problème) , mais là...c'est juste magnifique... les personnages, les visages, les détails. on en oublie presque que l'on joue à un jeu tellement c'est bien fait.
-le ( les ) scénarios : incroyable. une ( des ) histoires passionnantes qui vous garderont scotche à votre ordinateur jusqu’à l'aube alors meme que vous devez aller travailler le lendemain. Un besoin de connaitre la suite que je n'ai simplement jamais ressenti dans aucuns de mes autres jeux.
-Les personnages : attachants, bien pensés, et encore une fois tellement bien réalisé graphiquement qu on en vient parfois à s'imaginer qu'ils existent réellement.
En conclusion: ce jeu est une pure merveille. Un grand merci aux créateurs pour cette expérience incroyable qu'ils m'ont fait vivre. Je suis au delà de la recommandation. Vous devez acheter ce jeu. Vous ne le regretterais pas. C est impossible
Steam User 9
Alors la , un de mes préféré en therme de choix avec incidence sur la suite de l'histoire . Detroit: Become Human transcende le cadre vidéoludique pour s'établir en une expérience narrative inoubliable qui mérite amplement les récompenses et avis positifs qui lui sont faits. Le jeu soulève des questions profondes sur la disparité cybernétique et la symbiose humain/machine, tout en abordant des thèmes tels que la différences sociales associées et la ségrégation. Son système d'arbres décisionnels, aux ramifications poussées et entrecroisées, permet de créer un récit véritablement personnel, façonné par les choix du joueur.
L'intrigue prometteuse des débuts perd toutefois de sa saveur vers le dernier tiers du jeu, laissant place à une opposition plus convenue entre humains et androïdes. Certains dénouement m'ont donné une certaine frustration , car des questions cruciales restent sans réponse, et certaines ficelles narratives apparaissent un peu grossières voir en décalé.
Malgré cela, Detroit: Become Human se distingue par sa direction artistique réussie, la finesse de ses graphismes, une bande-son magistrale et une interface simple et immersive inspirée de la réalité augmentée. La mise en scène est maîtrisée, avec certaines scènes spectaculaires, et l'interprétation des acteurs est d'une justesse remarquable.
Le jeu propose avec brio d'incarner des machines en tant qu'êtres humains, soulignant ainsi leur humanité. Bien qu'il ne soit pas parfait, le jeu possède un potentiel de re jouabilité rare par le biais de chapitres/ramifications et bénéficie d'une qualité générale exceptionnelle. Il est difficile de ne pas être charmé par la beauté du jeu et la profondeur de son propos.
En conclusion, il offre une expérience unique et immersive qui, malgré quelques imperfections narratives, est parvenue à me captiver et à m'émouvoir. C'est un incontournable pour les amateurs de jeux narratifs et ceux qui apprécient les histoires riches en choix et en conséquences.
Steam User 10
Detroit: Become Human est un véritable chef-d'œuvre de narration interactive. Ce jeu nous plonge dans un futur proche où les androïdes vivent aux côtés des humains, mais sont considérés comme des objets plutôt que des êtres vivants. L’histoire, brillante et profondément émotive, traite de sujets complexes comme les droits des intelligences artificielles, la discrimination et la quête de liberté, et elle est menée par des personnages incroyablement bien développés.
Ce qui distingue Detroit des autres jeux narratifs, c'est la manière dont il laisse le joueur prendre des décisions qui impactent véritablement l’évolution de l’histoire. Chaque choix, aussi petit soit-il, a des conséquences importantes, et tu peux voir comment l’histoire évolue de manière totalement différente selon tes décisions. C’est un jeu où tu te sens responsable de ce qui arrive aux personnages, et cela crée une immersion totale.
Les graphismes sont tout simplement magnifiques. Les modèles de personnages sont d’un réalisme saisissant, et les environnements sont superbes, avec des détails fins qui renforcent l’atmosphère du jeu. Les animations faciales sont incroyablement bien réalisées, rendant chaque émotion ressentie par les personnages parfaitement crédible et émotive.
La bande-son, avec sa composition soignée et ses morceaux parfaitement choisis, accentue encore l’intensité de l’expérience. La musique accompagne parfaitement les moments clés, qu’il s’agisse de scènes d’action tendues ou de moments plus introspectifs et poignants.
La narration elle-même est parfaitement rythmée, avec un suspense qui te pousse à continuer de jouer pour découvrir ce qui va se passer ensuite. Le jeu te fait constamment réfléchir aux implications morales de tes choix, ce qui ajoute une couche de profondeur à l’histoire. Les personnages sont complexes et bien écrits, avec des arcs fascinants qui se croisent et se chevauchent tout au long du jeu.
En résumé, Detroit: Become Human est un jeu incontournable pour ceux qui apprécient les histoires riches, les dilemmes moraux et les personnages profonds. C’est une expérience interactive qui te fait réfléchir et te touche émotionnellement, tout en offrant un gameplay captivant. Si tu cherches une aventure qui combine narration et action avec brio, ce jeu est fait pour toi.
Steam User 10
Detroit: Become Human est sans conteste l'une des meilleures expériences vidéoludiques que j'ai eues. Ce jeu se démarque par son scénario riche et complexe, où chaque choix a un impact significatif sur le déroulement de l'histoire, menant à de multiples fins qui encouragent la rejouabilité.
L'attachement aux personnages est profondément ressenti. Chacun d'eux est développé avec soin, ce qui permet de s'investir émotionnellement dans leur parcours. Les dilemmes moraux et les conflits internes auxquels ils font face rendent le récit encore plus captivant. J'ai souvent ressenti une connexion avec eux, ce qui est rare dans un jeu vidéo.
L’aspect émotionnel est également très présent. Les scènes sont poignantes et les enjeux dramatiques, souvent plus touchants qu'un film. Le jeu réussit à aborder des thèmes profonds tels que l'identité, la liberté et l'humanité, ce qui lui confère une dimension réfléchie et pertinente.
Enfin, la réalisation est tout simplement époustouflante. Les graphismes, la bande-son et les animations sont d'une qualité cinématographique, rendant l'expérience encore plus immersive.
En somme, Detroit: Become Human est bien plus qu’un simple jeu vidéo; c’est une véritable œuvre d'art interactive qui mérite d'être explorée. Je le recommande chaudement à quiconque cherche une aventure émotionnelle et riche en choix narratifs.