Darksiders II

Mon BGE, tout simplement.
Gameplay d'une fluidité et d'une souplesse légendaire, musique onirique, environnements majestueux, ambiance exceptionnelle... J'ai platiné ce jeu sur PS3, et j'ai fait le 100% sur Steam, donc cela représente quatre parties complètes (car il faut faire un New Game plus). Et je ne suis toujours pas lassé. Le gameplay notamment est addictif, il nous met facilement le pied à l'étrier tout en laissant de la marge contre les gros boss, c'est grisant.
Dommage cependant pour les crashs, heureusement que sur PC on peut utiliser un mod pour augmenter la taille de notre fichier de sauvegarde, et ainsi les éviter en grande partie.
Dans tous les cas, vous l'aurez compris, c'est un must-have à avoir fait au moins une fois dans sa vie.

très bon jeu, complet, très bonne histoire et graphisme correcte un bug qui ma énerver au début mais régler.

Quelques bugs assez irritants mais contournables pour ma part.
Le second opus est ok, mais moins marquant que le premier. A faire si vous l'avez apprécié et si vous voulez la suite de l'histoire.

Le jeu est très bien cependant il contient beaucoup de bug dont certains nécessite des patchs ou des glitchs pour passer a la suite de l'histoire notamment le transfert vers la terre dans la cinématique qui plante le jeu et nécessite de passer en mode beta, ou encore le glitch du double portail pour passer la tour. L'interface nécessite un petit temps d’adaptation quand on vient du premier opus. Pour ce qui est du gameplay celui-ci est super agréable. L'histoire est vraiment pas mal mais est vraiment ralenti par les nombreux bugs(phase de boss qui n’apparaît pas et oblige a recharger le jeu, rayon qui ne s'active pas et nécessite de jeter des objets devant le rayon pour qu'il puisse enfin activer la porte, les portes lumineuses qui ne se retire pas après la cinématique et j'en passe)

Deux ans après le premier Darksiders, qui pour moi, est une bonne réussite, Vigil games nous ressortai le couvert avec ce deuxième opus, où on incarne Death, frère de War.
Le jeu prends son histoire en parallèle du premier jeu. On incarne Death, qui cherche à repentir son frère, War, et ce par tout les moyens possibles. Il passera par plusieurs mondes, comme celui des cieux ou de la Terre.
La Deathnitive Edition est la version remastered du jeu de base, avec les DLC, sortie trois ans après. Je n'ai joué qu'à cette version.
Concernant les graphismes, le jeu conserve la même direction que son grand frère, à savoir qu'on conserve l'aspect bande dessiné, ce qui fait qu'on reconnait très facilement les personnages et les environnements. Les décors sont beaux, même si certains environnements ne sont pas très diversifiés (la terre des Morts par exemple qui est juste une immense terre blanche cendreuse), mais les niveaux sont bien faits dans l'ensemble. Sur la technique, c'est plus que correct: les effets de particules sont bien faits (l'apparition de Despair, par exemple) et les effets de lumières sont également bien gérés (certains gadgets de Death luisent d'une certaine lumière, qui est bien rendu sur l'environnement autour).
Concernant le gameplay, il est assez varié. Déjà, le maniement de Death est différent de son frère. En effet, Death est capable de se déplacer de manière plus agile, et mise plus sur l'esquive que sur le blocage des coups. Pour mettre l'accent sur les déplacements, les développeurs ont installé des phases de grimpette et de plateforme dans les niveaux. Les animations d'escalade et de déplacement muraux sont très satisfaisante à prendre en main et c'est un vrai plaisir de se déplacer avec Death. On peut regretter l'incapacité de Death de courir (comme dans le 1, ça devient lourd...) qui aurait été bien pratique.
On peut toujours se déplacer sur de grandes distances avec son fidèle destrier, Despair, qui nous sert surtout à nous déplacer sur les différents mondes, de donjons en donjons. Comme dans le 1, notre personnage possède une arme principale, une arme secondaire et des "gadgets", et comme dans le 1, il y a des combos possible avec les armes principales et secondaires. Combos qu'on peut aussi acheter aux marchands contre des âmes, autre point conservé du premier. A l'inverse du 1, le jeu possède beaucoup plus l'aspect d'un RPG: avec des armes comme, des pièces d'armures, sont désormais des objets lootables, avec des niveaux, différentes statistiques et différents états, de la paire de faux abîmée à la hache légendaire ou possédée. Il faudra composer avec ces différents éléments et composants pour faire un équipement digne d'un Cavalier de l'apocalypse. Les armes principales resteront des faux pour tout le jeu, pour les armes secondaires, en revanche, Death a du choix: hache, marteaux, gants de combats, lances. Il y a de quoi faire.
RPG qui se respecte, Death gagne des niveaux en tuant des ennemis ou en accomplissant des quêtes. Quêtes qu'on a en parlant à certains PNG. En gagnant des niveaux, il gagne également des points de compétences, qu'il peut dépenser dans un arbre de talents, regorgeant de différentes capacités et de sorts comme la tempête de corbeaux ou la tornade vivante. Ces compétences peuvent être déchaînées grâce au Courroux, correspondant à la mana, gagnable en tuant des ennemis ou en prenant des potions. Tout ça permet de créer son propre équipement et permet de garder le joueur en haleine, en lui promettant toujours du meilleur équipement.
Le jeu est un melting pot d'un Zelda et d'un Metroid, dans la mesure où on peut pas explorer la première zone entièrement: il faut des gadgets qui sont débloqués plus tard dans le jeu. Parlons des gadgets: le flingue du premier jeu qui revient, mais également un grappin, utilisable en combat comme dans les phases de plateformes.
Death, comme son frère, possède toujours sa forme de l'Apocalypse, qui le rends quasi invincible et renforce ses dégâts.
Les combats de boss sont assez variés, et un peu inégaux: le combat de Bheithir par exemple est, pour moi, pas très intéressant: il s'agit juste d'une arène en ligne droite et le boss passe son temps à voler, et on ne peux pas l'atteindre quand il est en l'air. Je ne vais pas m'attarder sur ce boss, pas parce qu'il est dur, juste qu'il n'est pas intéressant, en réalité. C'est dommage que tous les boss n'ont pas tous un design ou un combat marquant.
La musique et l'ambiance sonore sont de bonnes factures, notamment le thème du Gardien, qui est épique ! Les musiques d'ambiances des donjons sont assez entrainantes, et assez unique dans chaque monde. On a l'impression d'être transporté.
L.'histoire est se suit, mais n'est pas spécialement mémorable. Le doublage VF est correct, mais ne vaut pas la version anglaise, ce qui est bien dommage, car j'aime bien la voix de Death en français.
Le jeu est rempli de quêtes secondaires, de boss à vaincre, de collectibles à ramasser et dispose même d'un mode arène: le Tribularium. Une arène où vous devez vaincre des vagues d'ennemis, de plus en plus balèze.
Darksiders 2 est une bonne suite, qui excelle dans les déplacements de Death et les combats. Cependant, j'ai moins aimé ce titre comparé à son aîné: l'aspect looter qui fait qu'on croule sous l'équipement, souvent pas terrible, certains boss en demi teintes, les collectibles à ramasser, et certains environnements qui ne sont pas très dépaysant comme le monde des morts par exemple. En soi, ce n'est pas un mauvais jeu, loin de là, mais j'ai trouvé que le jeu s'étire trop en longueur. J'ai trouvé qu'il y avait un gros problème de rythme: on passe beaucoup de temps dans les deux premiers mondes, mais les derniers sont vraiment très court. De ce que j'ai lu, les développeurs n'ont pas eu le temps de développer ces parties là, ce qui est bien dommage.
Darksiders 2, un suite correcte, mais qui ne transcende pas le premier.

Comme tout le Darksiders c’est une Masterclass, le trois était moins bien, mais bon j’espère que le quatre sera aussi cool que les deux premiers je les ai fait sur PS3 à l’ancienne, quelle nostalgie de fou

La série a beaucoup de charme, par son esthétique, ses musiques et son ambition. Ce deuxième est pour moi celui qui pousse le plus loin tous ces points.
C'est peut-être écrit sans grande saveur, trop long et pas follement rythmé, mais ça suinte la passion dans tous les autres domaines !