Castlevania: Lords of Shadow

Ce castelvania et notre petit god of war (comme sur notre console on en à pas), les boss font penser a shadow of colossus c'est assez mythique de voir sa, la camera est parfois chiante mais à part sa c'est un très bon jeu, 15-20h pour finir le jeu, un bon petit jeu à faire.

J'ai été agréablement surpris par cette réinvention de la saga. Le jeu propose une aventure linéaire riche en combats dynamiques et en exploration, avec une direction artistique soignée et une bande-son orchestrale immersive.

Castlevania: Lords of Shadow – Ultimate Edition est une aventure épique avec une ambiance gothique envoûtante et une mise en scène impressionnante. Le jeu propose de magnifiques décors, une bande-son magistrale et une histoire sombre qui tient en haleine.
Côté gameplay, les combats s’inspirent clairement de God of War, avec un système fluide et agréable, mais qui peut devenir répétitif sur la longueur. Les phases de plateforme et d’énigmes sont variées mais parfois un peu lourdes.
Le portage PC offre de bons graphismes et inclut les DLC, mais reste capricieux techniquement avec quelques problèmes d’optimisation.
En résumé, un jeu à l’atmosphère marquante et aux qualités indéniables, mais qui souffre d’une certaine répétitivité et d’un portage perfectible.
Merci de m'avoir lu ^^

10 ans après tj un banger. Konami devrait faire un remake. Même auj le jeu à de la gueule niveau graphismes.
:) Mérite d'être acheté ainsi que sa suite et pour ce qui veulent Mirroir au fate est canon et se passe entre les deux épisodes. <3

Terminé en février 2025 par quelqu'un qui découvre ce genre de jeu au niveau chevalier (2/4, 4 étant déblocable qu'après avoir terminé le jeu).
Le jeu a franchement bien vieilli d'un point de vu graphique, système de combat, histoire, etc. Et sur ce point le jeu était super plaisant. La progression est plutôt bien dosée, à la fois sur l'aspect progressif (difficulté des ennemis, ajout de nouveaux combo, etc.) mais aussi sur la longueur de chaque "arc". On passe d'un environnement à un autre très différent au moment où on commence à en avoir marre du précédent. Et j'ai également trouvé un très bon rythme dans alternance entre puzzle, combat et parcours.
Le gros point négatif du jeu, pour moi, a été la facilité des 3 bosses principaux qui m'ont franchement déçu, et à ce titre, mes combats de bosse préférés ont sans douté été des combats "intermédiaire". Je trouve dommage que les principaux n'ai pas été plus marquant. A l’exception notable du dernier bosse du DLC qui est ce que j'aurai aimé avoir pour les autres, d'un point de vu difficulté, paternes, etc.
Le jeu reste globalement très bon pour l'ambiance les combats et l'histoire. Il reste recommandable en 2025.

Castlevania est un jeu magnifique avec une atmosphère particulièrement envoûtante (musiques et décors tiennent vraiment du film d'heroïc fantasy), une bonne durée de vie, des niveaux suffisamment variés, des affrontements épiques, et les deux comédiens principaux (Patrick Stewart et Robert Carlyle) parviennent à donner vie aux deux membres de l'Ordre.

Cependant, il ne faut pas le voir comme un Castlevania. Je me demande même si le jeu aurait marché s'il n'y avait pas eu les noms « Castlevania » et « Belmont », car il ne reste plus grand-chose de la série originale. Plus de Dracula (!!!), plus de monstres sortis des films des années 30 (momie, créature de Frankenstein), plus de musique nerveuse avec passages de plates-formes débridés sur tout un niveau... Sur tous les points, c'est un « reboot » de la série.

Je vous conseille de vous dire que ce n'est donc pas du Castlevania comme sur NES ou Super NES, qui restent les meilleurs du genre, et de profiter de ce jeu sans attente. Deux défauts au passage, car il en faut : la maniabilité du personnage – je ne comprendrai jamais pourquoi il y a encore des programmeurs qui font faire des esquives au personnage sans utiliser le joystick droit, qui du coup ne sert plus à rien – et le boss du DLC final qui s'avère bien plus difficile que tout le reste. Pour le reste, vous pouvez y aller, c'est magnifique visuellement, musicalement, et l'atmosphère rend l'expérience d'autant plus plaisante.

⚠️ Attention : critique instantanée d'un jeu par moi ⚠️

🎮 Nom du jeu : Castlevania: Lords of Shadow - Ultimate Edition

📖 Histoire : Vous êtes Gabriel Belmont, un envoyé de la Confrérie de la Lumière, chargé d’éliminer les Lords of Shadow pour récupérer et assembler les morceaux du Masque de Dieu.
Entre les cauchemars causés par la mort de sa femme et d’étranges rencontres, Gabriel doit à tout prix vaincre ces Lords pour rétablir la paix… et sauver le monde.

💡 Infos sur le jeu : Il s’agit d’un beat 'em up : avancez, tuez, éliminez les boss. Récupérez des pouvoirs et améliorez vos compétences pour acquérir de nouvelles techniques.

📝 Critique : J’avais joué à Castlevania: Lords of Shadow 2 avant de jouer à celui-ci. Bon, j’étais un peu stupide de l’avoir fait dans cet ordre, mais ça n’a pas changé le fait que quand j’ai joué au premier, j’ai adoré.
Ce jeu est tellement amusant, beau et bien fait. Je comprends tellement pourquoi il a été acclamé par les joueurs. L’histoire est sublime, les personnages charismatiques, et tout est parfait.

Bon, il peut être un peu frustrant, surtout quand on rate des sauts, mais bof, c’est vite pardonné quand on prend le temps de bien s’adapter.
Le jeu nous fait évoluer dans plusieurs décors, et les boss sont tellement amusants et variés. Ça fait tellement plaisir de revoir des boss où il faut s’adapter pour comprendre comment éviter leurs coups. Bref, j’aime ça.

La variété des ennemis est tellement géniale, je suis content de cette diversité.

Finalement, je vais terminer avec deux points :
Le premier, c’est que le boss du dernier DLC est INFERNAL. J’ai passé deux putains d’heures à essayer de le battre. Il est si difficile, mais au moins, c’était un seul boss.

Deuxièmement, ça va avoir l’air bizarre, mais j’ai apprécié un truc — attention, je l’ai apprécié dans un certain sens. Dans le jeu, on obtient des cristaux qui, à l’intérieur, nous permettent de libérer un démon dévastateur pour éliminer les ennemis autour de nous. C’est l’objet le plus puissant selon moi.

Le point, c’est que lorsque l’on invoque le démon, son apparence est celle d’une dame démoniaque, magnifique et grotesque.
Le truc, c’est que quand on l’invoque, on voit sa poitrine.

Alors pourquoi j’apprécie ce détail ? Pour deux raisons :

Ça donne de la vie au démon. Je rappelle que les démons sont supposés être des bêtes infernales de cruauté, n’ayant que le sang à la bouche. Ça donne un côté sauvage et démoniaque.

Ça me fait dire que je m’ennuie du temps où les développeurs créaient des jeux sans censure. Il s’agit d’une œuvre, et c’est amusant qu’un personnage soit à poil. D’accord, c’est le jeu qui le présente comme ça. On doit vivre une aventure, être imprégné comme si c’était la réalité. On n’est pas dans un monde de licornes.

Depuis Cyberpunk 2077, j’ai l’impression que certains jeux commencent à retirer la censure. Oui, je sais, certains jeux faisaient ça avant Cyberpunk, mais j’ai plus l’impression qu’ils commencent peu à peu à aller dans le bon sens.

👍🏻 Je le recommande ou pas : Oui, vraiment, allez-y jouer.
En plus, les développeurs ont sorti Blades of Fire, qui est un retour dans un monde et un gameplay similaires — un beau retour.

🕯️ Autres infos : Le jeu est une sorte d’histoire alternative à Castlevania, où, si vous êtes au courant, Gabriel Belmont est bien plus qu’un simple chasseur de monstres.