Blair Witch
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Your darkest fears will awaken in these woods. It’s 1996. A young boy disappears in the Black Hills Forest near Burkittsville, Maryland. As Ellis, a former police officer with a troubled past, you join the search. What starts as an ordinary investigation soon turns into an endless nightmare as you confront your fears and the Blair Witch, a mysterious force that haunts the woods…
Steam User 2
J'avais voulu lancer le jeu à sa sortie, et il était tellement buggé que j'avais abandonné. Finalement je l'ai relancé en 2025 et j'ai pu le faire rapidement (il n'est pas très long).
Le jeu a quelques bonnes idées, quelques bons moments, mais globalement reste assez mou. Est-ce qu'il est mauvais ? Non. Ce n'est pas le jeu du siècle non plus, mais il est honnête.
Steam User 3
Si le jeu ne se lance pas, suivez le tuto ci-dessous, ça a fonctionné pour moi :
- Press WinKey+R to open Run window. In it paste: SystemPropertiesAdvanced
- Press Ok
- Next click on Environment Variables
- In the lower frame, System Variables, press New
- And in the fields, paste these values:
-> Variable Name: OPENSSL_ia32cap
-> Variable value: ~0x20000000
Press Ok and close the Environment Variables window. Restart the computer. Try to run the game now.
Steam User 1
Blair Witch : vous prendrez bien un petit LEXOMIL ?
Blair Witch nous plonge dans l'univers terrifiant de la forêt de Black Hills avec une atmosphère soignée et une narration captivante... au début. Bien que l'on puisse apprécier la vision des développeurs et les concepts de gameplay, l'expérience souffre de quelques défauts qui peuvent décourager.
Un Jour sans fin
Les premières heures de Blair Witch sont immersives, et jouent habilement sur la peur de l’inconnu. La forêt est oppressante, et l'utilisation de la caméra VHS pour percevoir les éléments surnaturels est une idée intéressante. Cependant, cette tension retombe vite, car le jeu devient répétitif. On traverse les mêmes décors sombres encore et encore, ce qui dilue l’angoisse et nuit à l’intérêt du jeu.
Dyspnée vidéo-ludique
Les mécaniques de gameplay, bien que simples à comprendre, se révèlent limitées et redondantes. On alterne entre l'exploration, quelques énigmes et des séquences de tension avec des apparitions surnaturelles. Malheureusement, certaines scènes s'étirent en longueur sans vraiment apporter de nouveauté ou de réel impact, ce qui peut rapidement ennuyer surtout ceux ou celles qui recherchent un peu plus de dynamisme dans un jeu d'horreur.
Un potentiel non exploité
Si Blair Witch parvient à créer une ambiance unique et une connexion émotionnelle avec le chien Bullet, cela ne suffit pas pour maintenir l'intérêt tout au long de l'aventure. Malgré de bonnes intentions et une vision artistique appréciable, l’expérience s’essouffle trop vite, donnant l’impression d’un potentiel qui n’a pas été pleinement exploité.
Pour une poignée de dollars
Pour conclure, Blair Witch est un titre qui saura peut-être séduire les fans inconditionnels de l’univers original ou ceux qui aiment une ambiance lente et oppressante. Pour les autres, le jeu risque de se révéler frustrant et de perdre rapidement de son attrait.
Steam User 0
Je venais de faire (et finir) pour la première fois Outlast 1, un jeu horrifique plein de jump scare faciles et de phases d'infiltrations "où que le bonhomme, il doit rester accroupi" 80% du jeu.
Détestant ce genre de méthode pour "faire peur" - car l'infiltration / discrétion en FPS ça ne FONCTIONNE PAS - je me suis lancé sur Blair Witch que j'avais pris en solde il y avait quelque temps déjà.
Voyant un caméscope sur l'écran titre, j'avoue, j'ai eu peur... Peur de retrouver la lourdeur de Outlast :D c'était un peu comme un red flag, mais en fait, ce Blair Witch est une assez bonne surprise.
Il est plutôt joli, l'ambiance malsaine est plutôt bien réalisée dans l'ensemble et il y a de ces phases de "discrétion" que je déteste mais assez rares et qui se passent assez facilement. Ce n'est pas tellement punitif quoi.
En revanche, il est clair qu'il ne fait pas peur. Un ou deux jump scare je crois, mais pour le reste, c'est vraiment un jeu de randonnée dans un univers malaisant et en vrai, ce n'est pas grave. On se concentre sur la narration et ça me va bien aussi.
J'ai apprécié la mécanique un peu principale du jeu (bien que rarement exploitée) du caméscope. Comme quoi, un caméscope peu aussi vous divertir et ne pas juste servir de lampe torche qui vous bouffe des piles en 5 minutes.
Fini en 5H, je pense qu'il est intéressant de se le procurer en solde (comme je l'ai fait sans doute à Halloween dernier). Assez peu d'action et malheureusement, le scénario se comprend trop rapidement, c'est dommage. Il ne faut pas être Sherlock pour comprendre à la moitié du jeu ce qu'il se passe vraiment dans cette histoire :/
Une fois compris le scénario, bah le jeu devient assez long au bout d'un moment ce qui donne vers la fin un sentiment d’agacement. Je me lasse vite aussi, je l'admets.
Il aurait eu besoin d'un petit équilibre, car si on enlève les phases de marche (trèèèès présentes), le "vrai jeu" ne doit pas durer vraiment plus de 3h en fait. Les phases de marches sont un peu une façon déguisée d'étirer la longueur du jeu surtout à la fin où là, ça se ressent vraiment.
Donc, ça vaut le coup de le faire, mais ce n'est pas un jeu centré sur l'action, juste une sorte de film interactif avec de petites idées sympas, un peu de mystère et qui se finit rapidement. S'il avait été plus long en proposant la même recette, ce serait devenu insupportable donc 5h, pour lui, c'est bien.
Steam User 0
Très bon jeu, le changement d'ambiance entre les différentes zones de la forêt est remarquable.
Steam User 0
Personnellement, j'ai adorée. Il s'agit d'un jeu qui plonge le joueur dans une forêt "maudite" et dans l'esprit du personnage principal. Ce plongeons se fait dans une ambiance d'horreur et de suspense. Le personnage doit suivre le trace d'un homme tout en suivant à la forêt et les créatures qui y habite.
Les graphiques sont super et l'histoire est toute aussi bien.
Steam User 0
Cherche enfant disparu... Trouve frustration.
Il est surprenant de se dire que ce Blair Witch, sorti en 2019, a été réalisé par l’un des studios les plus en vue de 2024 : Bloober Team. En effet, les développeurs du très apprécié Silent Hill 2 Remake sont aux commandes de ce petit jeu indé reprenant la célèbre série de films sortis au début des années 2000. Le rapprochement entre les deux jeux n’est pas anodin car les personnages principaux des deux titres se ressemblent beaucoup que ce soit le visage ou vestimentairement parlant. Au-delà de l’anecdote, l’aspect visuel du jeu est une franche réussite. Optant pour un réalisme photographique, la forêt et les divers lieux dans lesquels vous vous engouffrez sont plus vrais que nature et on doit saluer le travail des équipes car même six ans après, Blair Witch n’a pas à rougir de sa réalisation technique. Pourquoi se promener dans cette forêt maudite, me direz-vous ? Et bien l’histoire nous entraîne à la recherche d’un jeune garçon disparu, une battue est rapidement organisée avec la police. Peu à peu, les événements prennent une tournure plus personnelle et horrifique. Le jeu mise habilement sur l’aspect psychologique en exploitant avec subtilité les propriétés étranges de la forêt pour brouiller les frontières entre réalité et hallucinations. C’est d’ailleurs un élément central du gameplay, mais j’ai eu du mal à l’apprécier pleinement. En effet, rien n’est vraiment expliqué au départ, et c’est uniquement après avoir tourné en rond que l’on comprend que la forêt nous manipule. Afin de retrouver son chemin deux atouts sont à votre disposition : votre fidèle compagnon, un berger allemand capable d’aller dénicher des objets et de grogner dans la direction d’une menace ; votre camescope, l’élément de gameplay le plus original du jeu. En fouillant l’environnement, vous trouverez parfois des cassettes d’enregistrement éclairant le passé proche d’un lieu. En retrouvant physiquement le lieu d’enregistrement de ces bandes visuelles, et en observant le lieu via l’écran du camescope, il sera possible de reconstituer certains lieux du passé et de les modifier au présent. L’idée est folle, le principe est canon mais dans la pratique c’est de la turbo merde car tout est très scripté, j’ai passé 30 minutes sur l’une de ces reconstitutions en début de jeu (l’arbre qui tombe pour ceux qui connaissent) mais cela ne fonctionnait pas car il me manquait une note ou une connerie du genre. En réalité, Blair Witch possède quelques fonctionnalités sympathiques que ce soit le chien, le sentiment de désorientation provoquée par la forêt, le camescope mais l’apprentissage de ces mécaniques se fait dans la douleur car on ne vous explique rien. Qu’en est-il de la peur ? Sans doute le point le plus décevant du jeu. J’ai terminé Blair Witch d’une traite (environ 8 heures pour en venir à bout en prenant largement son temps), donc le jeu sait accrocher le joueur en proposant tout de même une aventure mystérieuse et prenante mais franchement, le trouillomètre est à zéro. Les entités cherchent à vous encercler ou vous surprendre par-derrière, mais rien de bien mémorable et la fin ressemble à n’importe quel jeu d’horreur dans lequel une menace patrouille dans une zone et vous devez vous faufiler sous peine de vous faire croquer. Rien d’original, rien de très effrayant. Promesse non tenue en ce qui me concerne mais c’est toujours pareil, le baromètre de la peur est une question très subjective et dépendra des joueurs. Sur une échelle objective de peur en affirmant que Visage et From the Darkness sont à 10 et Super Mario Galaxy et Kirby et le monde oublié à 1, Blair Witch se situe entre 5 et 6.
En conclusion, Blair Witch est un jeu à la réalisation soignée qui parvient à recréer l’ambiance oppressante de la célèbre saga cinématographique, grâce à des environnements immersifs et un travail technique toujours impressionnant, même plusieurs années après sa sortie. Cependant, si son concept et ses mécaniques de jeu, notamment le caméscope et le chien, sont intéressants sur le papier, leur exécution laisse parfois à désirer, rendant la progression frustrante à cause d’un manque de clarté et d’une rigidité excessive dans la conception. Côté frissons, le jeu peine à tenir ses promesses. Si l’atmosphère angoissante fonctionne par moments, les mécaniques horrifiques restent trop classiques et prévisibles, ce qui en fait une expérience plus intrigante que réellement terrifiante. Au final, Blair Witch propose une aventure sympatoche, loin de révolutionner le genre, et dont l’impact horrifique se situe quelque part entre le moyen et l'oubliable.