Beholder 2
L’auteur n’a pas encore fourni de description dans votre langue.
Every citizen of our great State dreams of working at the Prime Ministry! You are lucky, intern – your dream has come true! While you are at the bottom of the career ladder, that is more than many of your fellow citizens will ever achieve! Have you already decided what you're going to become? Will you become a diligent and responsible officer decorated by the Wise Leader himself? Or will you become a hardline careerist capable of destroying anyone who stands between you and the Prime Minister's seat? Or maybe you are just a whistle-blower? If so, who sent you? And why? Whatever the case, you are now part of the Ministry! From this moment on, no one beyond these walls has ascendance over you! You are free to shape your own future!
Steam User 141
Je très interéssant mais c'est vraiment trop demander de l'avoir en français comme le premier jeux ?
Steam User 62
Le jeu est super mais dommage qu'il n'y es pas la traduction FR car cela serai utile à pas mal de monde qui ne comprenne pas l'anglais ce qui fait donc un frein pour plusieur personne à acheter le jeu ce qui es dommage
Steam User 62
Vous êtes un nouvel employé de bureau d'un Ministère central dans un état totalitaire.
Le cadre est, concrètement, la suite direct de Beholder 1, mais avec une fin négative; le contrôle de l'état est renforcé, la guerre continue (sinon, pas de Beholder 2 évidemment).
Fini d'espionner ses locataires; ici, place à l'intrigue de bureau. Le jeu reste surtout basé sur une succession de quêtes qui accompagnent (et boostent) la progression du joueur. Elles se résolvent de différentes manières, plus ou moins brutales, morales, subtiles ou efficaces. Le travail a proprement parler du joueur, qui consiste en gros à traiter des formulaires correctement, est là surtout en support, pour fournir une rentrée d'argent, et pour grind argent/autorité si besoin est (il est beaucoup plus simple de faire les grosses quêtes pour avoir beaucoup d'autorité d'un coup, mais ce grind est à disposition, je suppose, pour éviter qu'un joueur ratant une quête majeure reste bloqué).
Votre objectif reste de gravir les échelons. Et vu les collègues, patrons, et le contexte (état totalitaire), autant vous dire qu'il est fort probable que vous marchiez sur vos rivaux pour accélérer votre carrière.
Les choix moraux rencontrés jusqu'à présent sont intéressants. Leurs conséquences ne sont pas forcément immédiates, et on se surprend à maudire un personnage qui se révèle être un bien plus gros salopard que prévu.
Et l'amoralité (voire la psychopathie complète) des personnages auxquels nous sommes confrontés empire, quand on commence à prendre du galon. Au risque de corrompre les intentions louables du joueur lui-même ?
Attention, le jeu est en anglais. C'est très compréhensible si vous avez un niveau acceptable (même si un niveau bof vous fera rater des subtilités/traits d'humour ou de cynisme dans l'écriture). Des traductions communautaires sont prévues. Par nature (non professionnelles), leur qualité n'est pas estimable à l'avance.
A noter aussi qu'il est possible/souhaitable de prendre son temps. Vos journées de travail sont toujours limitées dans le temps, mais ce temps n'est décompté que lorsque vous effectuez certaines actions (et pas en continu); une bonne idée.
Bref, conseillé aux fans de narration, d'intrigue, d'univers dystopiques.
Steam User 39
Attention avant de vous lancer dans ce jeu, il n'y a pas de traduction française, et le jeu demande tout de même un bon niveau d'anglais (notamment pour traiter la paperasse du ministère dans lequel vous travaillez, une erreur et c'est moins d'argent, or vous le verrez l'argent est primordial, mais j'y reviendrai plus loin)
D'ailleurs à ce jour il n'y a pas de traduction française, par contre il y en a une polonaise, espagnole, allemande et bien sûr chinoise et russe.
Ceci est une honte et il faut absolument montrer notre désaccord, pourquoi pas en boudant ce jeu, ce qui est vraiment dommage car il est loin d'être mauvais.
Recadrons un peu la trame du jeu avant de nous lancer dans l'évaluation, trame qui est la suite du premier volet portant le même nom, et qui a toujours ce même univers sombre et martial.
Même s'il n'est pas obligatoire d'avoir joué au premier volet, il en est la continuité, et au moins le premier volet lui était traduit en Français, et dans un bon Français qui plus est.
Ici, contrairement au premier opus, vous n'espionerez plus vos voisins d'immeuble, mais vos co-équipiers et collègues de travail, avec comme finalité d'aller espionner et confondre vos patrons d'étage (il y en a un au bout de chaque étage du ministère où vous travaillez)
En effet, vous démarrerez le jeu avec un emploi dans le lugubre ministère qui vous employait déjà dans le premier volet, et où vous apprendrez d'emblée que votre père, qui y travaillait également, a été retrouvé mort, défenestré du haut de cet imposant immeuble.
Très vite la personne qui vous accueille lors de votre premier jour dans ce ministère veut vous remettre des documents concernant la mort de votre père, tout en vous annonçant que ce ne serait pas une mort accidentelle. Il doit vous remettre ces documents lors de votre second jour de travail.
Mais, alors que vous vous rendez le lendemain matin au ministère afin de récupérer les fameux documents et en apprendre un peu plus sur la mystérieuse mort de votre cher paternel, voilà qu'on retrouve votre contact pendu suite à une cérémonie macabre orchestrée par le dictateur/président de votre cher pays et ministère, et comme si cela ne suffisait pas, une personne étrange, qui se dit également ami de votre père (mais que vous avez cependant du mal à reconnaitre), se présente à votre domicile le soir même et vous demande d'espioner votre patron d'étage et de lui faire part de toutes les infos collectées, dans le but d'en apprendre plus sur la mort de votre père.
Je ne spoil personne en vous racontant tout cela, vous retrouverez l'ensemble dans la démo du jeu.
Vous voilà donc lancé à espioner vos camarades et vos patrons d'étages, puis en faisant quelques quêtes vous tenterez de glaner assez de points de célébrité, une des deux grandes monnaies du jeu avec l'argent, et ainsi pouvoir monter de quelques étages en échangeant ces points de célébrité contre une promotion et ainsi vous rapprocher et du bureau de votre père, et de l'endroit où il fut propulsé dans le vide (!), mais aussi du plus haut pouvoir.
La majeur partie de votre temps consistera, en plus des quêtes, à diriger des visiteurs vers le bon service, pour cela ils vous remettront des requêtes, toutes écrites en anglais, et malheureusement il faut un bon niveau pour tout comprendre, or si vous ne comprenez pas de quoi il s'agit vous ne pourrez les diriger vers tel service avec tel type de requête.
Certes vous pourrez trouver des tactiques afin de tenter de ne pas vous tromper (ex: lorsqu'il y a un prénom et/ou un nom de cité c'est toujours une dénonciation), mais combien de fois je me suis trompé faute d'avoir bien compris ce qui était en jeu.
Dans les étages supérieurs vous ne serez pas en reste car il y aura d'autres tâches à faire, même s'il y aura un peu moins de lecture en anglais elles n'en demeureront pas moins ardues, toutes vous procureront de l'argent qui est indispensable pour acheter certains objets..
Je suis vraiment déçu que ce jeu ne fut pas traduit dans notre langue, il le fut en Allemand, Russe, Chinois, de grands marchés certes, mais en France nous sommes assez gamer, le temps passé à élaborer une traduction serait largement récompensé par un boost des ventes.
C'est donc le gros point noir de ce jeu.
Steam User 22
Bien mais peut devenir très difficle pour un non native de la langue de Shaekespear.
Une traduction en Français ne serai pas un luxe.
Steam User 10
Je viens enfin de terminer le deuxième opus de Beholder, qui au premier abord, m'avait laissée de marbre... Avant de me couper le souffle.
On incarne ici Evan, nouvel employé au Ministère qui vient d'apprendre la mort de son père qui, d'après sa lettre d'adieu, lui a laissé une mission à accomplir : terminer le projet secret Heimdall. Si la mission principale et ses débouchées peuvent s'avouer prévisibles, c'est par l'éventail de personnages que j'ai été surprise, et ravie. Et comme pour Beholder 1 (+ son extension), j'ai vraiment eu l'impression de construire moi-même la mentalité d'Evan, qui, selon nos choix, peut être une vipère comme une bonne personne.
Car ici, c'est la moralité qui est requestionnée : peut-on être un homme juste dans la société dystopique de Beholder ? Doit-on sacrifier notre morale pour la rendre meilleure ?
On peut reprocher au jeu d'être tricky ; j'ai dû faire plusieurs safe files au cas où des répercussions de certains dialogues... Et le premier étage était assez ennuyant, même si j'ai adoré le personnage de Marco (que j'ai malencontreusement tué car il m'avait dénoncé pour son business illégal). Mais dans sa globalité, malgré les difficultés, il reste faisable et particulièrement prenant : j'étais très investie pour aider les collègues d'Evan, mention spéciale à la femme du 12e étage avec son fils décédé. Et cette magnifique référence à Carl Stein ??? J'ai été si triste de devoir lui rappeler son passé.
Je ne m'attendais pas non plus au twist de fin........
En résumé, Beholder 2 soulève davantage de résonnements quant à la morale de son univers, ou plutôt de l'Univers en général : il y a ceux qui sont en accord avec la société totalitaire et y trouvent un équilibre, ceux qui veulent la changer par leur bonne morale, et ceux qui se sont salis les mains pour la renverser.
Steam User 8
Histoire intéressante a condition de comprendre l'anglais