Baldur’s Gate: Enhanced Edition
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Forced to leave your home under mysterious circumstances, you find yourself drawn into a conflict that has the Sword Coast on the brink of war. Soon you discover there are other forces at work, far more sinister than you could ever imagine… Since its original release in 1998, Baldur’s Gate has set the standard for Dungeons & Dragons computer roleplaying games. Customize your hero, recruit a party of brave allies, and explore the Sword Coast in your search for adventure, profit… and the truth. Running on an upgraded and improved version of the Infinity Engine, Baldur’s Gate: Enhanced Edition includes the original Baldur’s Gate adventure, the Tales of the Sword Coast expansion, and all-new content including three new party members. The original Baldur’s Gate adventure Tales of the Sword Coast expansion New Adventure: The Black Pits New Characters: The Blackguard Dorn Il-Khan, Neera the Wild Mage, and Rasaad yn Bashir the Monk New player character voice sets
Steam User 12
Baldur's Gate.
À l'approche de Baldur's Gate 3 et afin d'en profiter pleinement, je souhaitais en apprendre plus sur l'univers de Baldur's Gate. Malgré l'âge du titre et mes craintes sur la lourdeur du gameplay, j'ai globalement passé un bon moment.
La création de personnages est complexe, donc après avoir essayé en vain quatre fois de créer un personnage, je me suis renseigné sur les classes, les races, les statistiques et leurs termes, car ceux-ci ne sont pas du tout intuitifs. J'ai longtemps regretté de ne pas avoir fait de tank dans Pillar of Eternity, j'ai donc choisi de faire un Guerrier/Clerc. Le créateur de personnages manque cruellement de portraits, mais fort heureusement, on peut facilement en ajouter.
Graphiquement, on ne peut pas dire que le jeu est beau. Les personnages sont plutôt brouillons et c'est pire lorsque l'on zoome. Si les décors s'en sortent, ils restent néanmoins très ternes et tristement statiques. L’extension de 2016 propose, en revanche, des décors plus jolis, plus variés et légèrement moins ternes.
Le design de l'équipement en jeu n'est pas non plus incroyable et en plus de ça, je trouve qu'il n'y a en a pas assez. En effet, s'il est possible de trouver au moins une bonne arme pour chaque type d'arme, il est bien difficile d'en trouver deux. Personnellement, j'aurais aimé choper un deuxième bon marteau pour mon personnage principal, ce qui n'a été possible qu'avec l'extension de 2016.
J'ai joué en difficulté normale, ce qui est tout de même un cran en dessous de la difficulté de "Donjon et Dragon". En difficulté normale, les ennemis font 25% de dégâts en moins, l'apprentissage des sorts ne rate jamais et les montées de niveau offrent toujours le maximum de points de vie.
Les combats sont très corrects pour un jeu sorti en 1998, cependant, ils sont très frustrants au début du jeu, car les personnages ne font que rater. Il n'est pas rare de les voir taper dans le vent pendant plus de 10 secondes, heureusement, c'est aussi valable pour les ennemis. Il y a aussi beaucoup trop de sorts similaires, notamment à cause des sorts de niveaux supérieurs qui offrent les mêmes types de bonus, mais en mieux.
Le pathfinding est mauvais et c'est pire dans les donjons de la première extension qui sont bourrés de pièges. Je ne compte plus les parties que j'ai rechargées parce qu’un personnage n'a pas pris le même chemin que le reste du groupe et s'est donc pris un piège ou fait attaquer par des ennemis.
Le scénario ne m'a pas réellement captivé, même si certaines idées sont intéressantes. Toutefois, l'aventure reste sympathique, bien qu'un peu austère. En vérité, je dois bien avouer que je m'attendais à plus de fantaisie, même si j'ai bien aimé la partie avec les doppelgangers. Le premier DLC de l'époque, et plus précisément, l'île de Baldurien, propose un peu plus de fantaisie, malheureusement, la conclusion de ce chapitre m'a un peu déçus, en plus de se terminer sur un combat de boss beaucoup trop difficile. En effet, le boss prendra des dégâts uniquement s'il est frappé avec des armes avec un effet bien spécifique.
Par contre, j'ai vraiment aimé le scénario et l'aventure de l'extension de 2016.
Il n'y a aucun compagnon que j'ai vraiment apprécié, ils sont globalement chiants et peu attachants. Mis à part M'Khiin du DLC, j'ai globalement fait mon équipe par dépit, même si cette dernière m'a véritablement déçu en m'abandonnant lâchement lors de l'épilogue.
Les quêtes annexes ne sont pas incroyables, mais au moins, elles sont en quantité raisonnable et un minimum travaillé.
En ce qui concerne le DLC de 2016, il amène avec lui une sorte de hub mobile, qui changera d'emplacement selon votre avancée dans le scénario. Dans ce hub, nous avons un coffre dans lequel nous pouvons mettre les divers objets récupérés durant notre aventure et il sert également à rassembler tous les compagnons au même endroit. Un confort de jeu appréciable.
Même si, comme vous le savez, un compagnon de l'extension m'a lâchement abandonné, je les trouve globalement plus sympas. En revanche, je trouve vraiment dommage qu'aucun équipement ne soit visible mis à part celui de base ou exceptionnellement pour M'Khiin, un bâton bien spécial qui lui permet à d'avoir un nouveau skin.
J'étais surpris de la vitesse à laquelle les romances se déclenchent et je les ai trouvés très rentre-dedans. Personnellement, ça ne m'intéresse pas, donc je n'en ai pas fait.
Même s'il a bien vieilli et qu'il se joue encore très bien en 2022, il n'est pas simple de passer la création de personnage de Baldur's Gate. Dans ce type de jeu, il ne vaut mieux pas la rater, sous peine de passer un mauvais moment. Après ça, Baldur's Gate est très austère, certains passages sont dénués de musiques et se contentent de quelques sons d'ambiances. Mis à part la musique du menu, l'OST n'est pas franchement marquante. Les quêtes et l'histoire principale n'étant pas forcément très intéressante, le jeu traîne un peu en longueur si on essaie d'en faire un maximum, ce qui est bien dommage. Quoi qu'il en soit et malgré les aspects vieillissant du titre, j'ai passé un bon moment sur ce premier opus de Bladur's Gate.
Si l'avis vous a plu, vous pouvez en trouver d'autres ici.
Steam User 5
la légende !
par contre les path finding est de type éclaté contre un bus.
Mais juré il faut y jouer.
Steam User 3
Baldur's Gate 3 est sortie et vous voulez savoir si ça vaut le coup de les faire dans l'ordre ?
Les deux premiers ont l'air moches et rigides vous n'êtes pas sûr que ça puisse vous plaire ?
Alors 1 et le 2 se suivent mais le 3 se passe un siècle plus tard et ne fait que quelques références anecdotiques à l'histoire des précédents jeux, aucun souci de commencer par le 3.
L’intérêt de les faire dans l’ordre est surtout immersif car il vous sera plaisant de découvrir le dernier en ayant déjà des repères des différents dieux, cultes, personnages et événements majeurs du lore.
Vos choix de dialogues et réflexions lors de rencontres en seront plus pertinents et les mécaniques vous seront plus familières, de quoi vous investir pleinement dans votre roleplay dés le début de partie.
Mais est-ce qu’on s’ennuie quand on est habitué aux jeux récents ?
Absolument pas ! Baldur’s Gate est une pépite intemporelle qui saura vous séduire par ses intrigues, son gamedesign, sa bande son et ses mécaniques de qualité.
Son gameplay facile à prendre en main ne vous dépaysera pas des rpg plus récents bien que vous risquiez de trouver les déplacements un peu lents et le pathfinding agaçant mais le rythme du jeu n’en fait pas un problème dans l’aventure.
On s’habitue vite aux graphismes, les quêtes sont bien écrites, les interactions sont plaisantes, la recherche d’équipements est addictive et les combats demandent réflexion et préparation.
Ce jeu n’est pas qu’un classique d’une époque où la technologie était moins performante il est encore de nos jours un excellent rpg à découvrir, n’hésitez pas !
Steam User 3
Nous sommes en 2023, Baldur's Gate 1 mérite t'il encore d'être joué ?
D'abord remontons dans le temps et repositionnons nous dans l'histoire vidéo ludique de ces trente dernières années pour partir sur de bonnes bases : Baldur's Gate, premier du nom, est un jeu historique non exempt de défauts mais qui a posé les bases de tout ce qui allait faire un bon RPG des décennies suivantes et inspirer des centaines de jeux, ça calme...
Voici selon moi ses points positifs, toujours valable en 2023 :
1- Une histoire principale prenante, de nombreuses quêtes secondaires amenées de façon intelligentes et qui ne conduisent pas le joueur dans un océan de choses futiles ou inutiles.
2- Une équipe de personnages gérés par le joueur qui collaborent pour réussir un objectif commun, chacun avec sa personnalité propre, comme dans un vrais jeu de rôle.
3- De nombreuses histoires à découvrir, du lore, des backgrounds, une vrais immersion dans un univers.
4- De la musique, des effets sonores, des petits effets spéciaux..
5- Les règles Donjons et Dragons (attention, version 2 années 80/90) bien implémentées, des dizaines de sorts différents présents, les classes, les races.. tout y est
6- A noter, le jeu comportait déjà plusieurs avancées techniques comme une IA adverse pas trop idiote (tout est relatif) et les scripts paramétrables des personnages.
7- Une interface utilisateur au top
Bon, alors quels sont maintenant les irritants qui feront que vous aurez du mal à jouer à ce jeu ?
1- Les graphismes, évidement, sont dépassés en 2023, la résolution standard de l'époque ne fait pas bon ménage avec nos grand écrans, si bien qu'il est préférable de jouer à BG1 avec un portable 13' ou une steamdeck.
2- Les cartes 3D isométriques semblent désormais un peu désuètes, mais fin des années 90 on en demandait pas plus et le charme des graphismes Baldur's Gate fonctionnent encore même des années plus tard (c'est un point de vu personnel, je comprend qu'il puisse ne pas être partagé).
3- Les interactions entre les personnages de l'équipe, même si elles sont présentes manquent de profondeur (et oui BG3 est passé par là..)
4- Des combats en temps réel parfois un peu brouillons, merci la touche pause
5- Une gestion d'inventaire laborieuse (mais améliorée avec l'EE)
6- Une certaine redondance dans le loot
7- Pas de romance
Bon voila un bilan, probablement non exhaustif mais qui amène à la conclusion suivante :
OUI BG1 mérite d'être joué en 2023, il faut juste bien être conscient que l'on joue à un morceau d'histoire vidéo ludique.
Steam User 2
TD ; LR : le jeu est excellent, il faut juste survivre aux premières heures et comprendre comment il fonctionne.
Version longue :
J'ai longtemps essayé de me mettre à Baldur's Gate 1, sans jamais aller au-delà des mines de Neskhel tant le jeu me semblait fade et ennuyeux. C'est après avoir testé (et adoré) Baldur's Gate 3 que j'ai décidé de me confronter plus sérieusement à l’ainé de la saga... et autant dire que le jeu va au-delà de mes espérances.
Une fois les bases du combat acquises, ce qui n'est pas évident pour les néophytes du JdR, les combats deviennent tout de suite beaucoup plus intéressants. Le côté aléatoire du début de jeu, très frustrant, disparait assez vite après les tous premiers niveaux et quelques reliques magiques récupérées. Chaque affrontement peut être envisagé comme un puzzle dont l'issue dépend à la fois de la composition du groupe, de l'économie des forces (et surtout des sorts), du placement, de l'équipement, et, il faut le dire, d'un peu de (mal)chance !
Le monde est beaucoup plus mûr et profond qu'il n'y parait au premier abord, et malgré mon faible temps de jeu (une quinzaine d'heures sur ma partie la plus avancée, jusqu'au début du chapitre 5) je suis impatient de découvrir les secrets que renferme encore la Côte des Epées.
Steam User 1
Je redécouvre depuis quelques semaines une nouvelle version de Baldur's Gate. L'ancienne (Bioware) m'avait déjà passionné à l'époque.
Si je devais ne sélectionner qu'une seule perle dans cette "Enhanced Edition" : La conversation avec Baeloth dans le Bois de Lars (à hurler de rire)
Steam User 1
Un excellent jeu à l'époque, un excellent jeu aujourd'hui.