Alan Wake

L'idée de base est trop cool avec la gestion de la lumière via la lampe torche pour pouvoir blesser les ennemis mais la prise en main est terrible. Le gameplay est super rigide et la caméra part très vite en couille et les rares moments en voitures sont tout simplement horribles.
Côté positif on a un scénario vachement original avec énormement de très bonne idées. Le côté méta avec les vidéos tournées IRL diffusés sur les télés du jeu surtout dans les 2 bonus c'est trop cool et ça apporte une vraie ambiance.
En revanche pour un "survival horror" (si on peut vraiment l’appeler comme ça), la gestion des ressources est mal pensée : ça sert a rien d'économiser ses munitions car a chaque chapitres on repart avec le loot à 0 ce qui est complétement con
J'ai hâte de me faire Control et le deuxième opus car y a vraiment énormément de chose à retenir et j'ai entendu des bons retours des 2 jeux.
PS: c'est vraiment une folie que j'ai eu ce jeu pour 79 centimes en solde mdrrr

Alan Wake — Les tourments de la création
Il est des lieux qui mentent. Bright Falls, avec ses forêts profondes et son lac d'un calme trompeur, est de ceux-là.
Un écrivain en quête d'inspiration y trouve un cauchemar bien réel, une histoire macabre qui s'écrit toute seule, avec son sang pour encre. La nuit n'est plus une promesse de repos, mais une page blanche que l'horreur vient noircir. Et dans cette obscurité grandissante, les mots blessent et les ombres tuent.
Ici, la lumière est votre seule arme, votre unique alliée. Chaque rayon de votre lampe torche est un vers dans un poème de survie, brûlant les ténèbres qui animent vos ennemis. Il faut d'abord consumer l'ombre pour pouvoir atteindre la chair, faire reculer la nuit avant de faire parler la poudre. Gérer ses piles devient une obsession, chaque lampadaire un havre de paix, chaque fusée éclairante une intervention divine. Ce combat n'est pas qu'une lutte pour votre vie, c'est une bataille pour l'âme même du récit.
Car Alan Wake est avant tout une fable sur la création et ses tourments. C'est le combat d'un artiste contre son œuvre devenue monstre, la métaphore sublime de la page blanche qui, loin d'être vide, se peuple de nos pires angoisses. Le jeu interroge la frontière entre la fiction et le réel, se demandant si l'histoire contrôle l'écrivain ou si l'écrivain peut encore maîtriser son histoire. Le message est clair et terrible : l'art est un lac sombre, et pour y puiser sa vérité, l'artiste risque à chaque instant la noyade.
Cette narration brillante est servie par une structure audacieuse, découpée en épisodes comme la meilleure des séries télévisées. Chaque fin de chapitre, rythmée par une musique pop-rock parfaitement choisie, nous happe et nous pousse à lancer le suivant. La quête des pages de manuscrit, qui prédisent un futur funeste, est une idée de génie qui installe une paranoïa constante. On ne joue pas seulement à Alan Wake, on le dévore, page après page, épisode après épisode.
Ce jeu est un thriller littéraire interactif, un voyage au bout de la nuit où chaque ombre cache une menace et chaque mot un présage. Il laisse une marque indélébile, bien après que le générique a défilé. Oubliez les contes de fées qui finissent bien. Prenez votre lampe de poche et votre courage. L'histoire vous attend, et elle a des dents.
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Découpages de pixels, éviscérations de logiciels, on plonge les mains dans les entrailles du game design et on vous raconte tout.
Pour ceux qui joueront après !

Alan Wake est un jeu qui brille avant tout par la qualité de son écriture. L’intrigue est intelligemment construite, avec une narration qui sort des sentiers battus et sait jouer avec les codes du thriller psychologique. On sent une vraie maîtrise dans la mise en scène, même si certains passages peuvent sembler un peu répétitifs côté gameplay. Malgré cela, l’histoire est suffisamment prenante pour maintenir l’intérêt tout du long. C’est un jeu qui mise sur l’ambiance, le mystère et la tension plus que sur l’action pure et il le fait très bien. Un excellent choix pour les amateurs de récits immersifs et travaillés.

Ce jeu est un chef-d'œuvre narratif, qui m'a permis de comprendre qu'il n'est pas nécessaire qu'un jeu vidéo soit toujours plein d'action pour être intéressant, mais que le récit en ressorte davantage. Je le recommande vivement à ceux qui recherchent une excellente histoire avec des personnages charismatiques et qui ont l'impression d'être au cœur du jeu vidéo. 20\10

Je finis rarement des jeux solo à 100%, pourtant Alan Wake je l'ai fini déjà deux fois et cherche même à le platine tellement il est génial ! Que ce soit l'histoire, la narration ou les combat, tout est original et super intéressant ! Je ne peux que recommander à 100% ce jeux.
Pour finir l'histoire juste une fois en explorant très légèrement il faut au moins 12 heures, pour faire le jeux à 100% il en faut au moins le double donc foncez !

Avant de faire ma review, petite dédicace à mon pote Owen qui ma convaincu de faire Alan Wake, je voulais le faire depuis des années mais j'étais assez réticent à l'idée de le faire, donc Alan Wake sorti en 2012 la même année que Dishonored 1 qui est mon jeu solo préféré je me suis dis que ça sentait bon la nostalgie des jeux consoles type 360 et ps3 mais je m'égard place à la review.
Il s'agit uniquement de mon avis personnel, je vous conseille malgré tout d'y jouer pour vous faire votre propre avis, je dois dire que Alan Wake mérite un pouce neutre et je vais énumérer pourquoi, toujours selon mon avis.
Cotés négatif du jeu : Alan Wake est un Sebastian Castellanos (je sais que TEW est sorti après) c'est à dire qu'il est littéralement asthmatique, tu cours 10m tu es essouffler + ralentis à mort c'est assez contraignant quand tu affronte / esquive des trucs cela peut également devenir vite frustrant sans parler de la mécanique d'esquive et de saut qui sont extrêmement nul selon moi c'est trop rigide et mal fait pour le saut et beaucoup trop inutile pour l'esquive car tu te décale de 5cm dans la direction voulut (ça t'empechera pas de te prendre la hache dans la gueule), sur toute l'histoire à partir de la moitié j'ai commencer à avoir une certaine perte d’intérêt pour le jeu, le gameplay était toujours le même pas grand chose à faire à part évoluer dans la foret avec des phases de tirs un peu simplet et quelques phases de voitures qui était sympathique malgré tout, ça changeait un peu voila pour ce qui est des coté négatif du jeu.
Cotés Positifs du jeu (oui il y en à aussi !) :
L'histoire est bonne, le système de page à récolter donne envie de toutes les lires car elles sont intéressantes, le système d'ombres et de lumière quand il faut d'abord les aveugler je trouve ça assez innovant et la DA est plutôt jolie, pas mal de moment oppressant et surtout ce que j'ai aimer c'est les cinématiques, on était dans un film et on suivait le protagoniste dans sa lutte contre les ténèbres franchement c'était plaisant, il y a un moment du jeu qui ma marquer car c'était surprenant et plutôt rigolo étant donner les circonstances je vais nommer ça "musique" (comprendra qui pourra pour ceux qui joueront et ceux qui ont jouer) hormis ça j'ai fais le tour pour les points positifs.
Les points négatifs semble peser bien plus lourd que les points positif c'est vrai, mais je pense juste ne pas être le type de joueur visé pour ce genre de jeux bien que j'en ai fais des plus étranges, cryptiques, ou flippant mais en étant objectif Alan Wake est un bon jeu et surtout à faire une fois dans sa vie, je le retoucherais plus mais ce jeu ma quand même plu par certains aspects qu'il propose qui selon moi étaient assez avant-gardiste pour l'époque même si je suis mitigé par le gameplay il n'est reste pas moins un classique du jeux vidéo "d'horreur", je lui attribue la note de 6/10 à acheter au prix d'origine mais encore plus si il est en promo, à ne pas rater ! Je vous remercie de m'avoir lu.

Dire que j'ai attendu d'avoir un Steam Deck pour jouer a Alan Wake !
Ce n'est pas un jeu, c'est un film. Un film de spielberg tiré d'une nouvelle de Stephen King.
Voila en gros le sentiment que j'ai eu.
Le jeu nous narre l'histoire d'Alan Wake, écrivain connu et reconnu en pleine crise de la page blanche.
Ils décident donc, Alan et sa femme (enfin surtout sa femme) de prendre quelques jours de vacances dans un bled nommé Bright Falls.
Tout devait être idyllique mais bien sûr cela ne ce passera pas comme prévu.
Entre réalité, cauchemar ou psychose, Alan sombre peu à peu dans l'obscurité.
Tout comme moi et cette évaluation qui aurait du faire 400 lignes ... Elle sombre dans la nuit.
Et comme ça vous la lirez plus vite :p
Alan Wake est plus qu'un jeu, c'est une expérience vidéo ludique que vous n'oublierez jamais.
Bon jeu.