Indivisible
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Indivisible is an action RPG / platformer featuring stunning hand drawn art and animation combined with unique real-time combat mechanics. Immerse yourself in a fantastical world with dozens of playable characters, a rich storytelling experience, gameplay that’s easy to learn but difficult to master, and the trademark razor-sharp quality that Lab Zero Games is known for! Our story revolves around Ajna, a fearless girl with a rebellious streak. Raised by her father on the outskirts of their rural town, her life is thrown into chaos when her home is attacked, and a mysterious power awakens within her. Throughout Ajna’s quest she’ll encounter many “Incarnations”: people whom she can absorb and manifest to fight alongside her. By uniting people from faraway lands, Ajna will learn about herself, the world she inhabits, and most importantly, how to save it.
Steam User 59
Bien qu'il ne soit pas exempt de problèmes, j'ai adoré ce jeu qui brille particulièrement par sa réalisation globale : la direction artistique est juste somptueuse et les sprites 2D sont particulièrement bien animés, les musiques collent parfaitement à l'ambiance, l'interface est limpide, le scénario est plutôt bien foutu puisqu'il est ponctué de cinématiques & artworks magnifiquement soignées, et qui plus est, les dialogues sont étonnamment drôles et bien écrits. (Cet humour omniprésent contribue d'ailleurs à rendre certains de ces personnages immédiatement attachants).
Mais au delà de cet enrobage hyper réussi, Indivisible bénéficie surtout d'un système de combat franchement fun et agréable à jouer!
Cependant, bien que la page du magasin steam ne l'indique nulle part, ce gameplay a clairement été étudié pour être joué à la manette.
Par curiosité, j'ai voulu tester le jeu au clavier suite aux diverses plaintes concernant ce périphérique, et je confirme : c'est absolument injouable sans pad.
Les combats impliquent des appuis réflexes de touches simultanés combinés à d'autres appuis directionnels, et ce sur 4 touches différentes à coordonner correctement, et de ce fait, ce système se prête assez mal aux claviers de toute façon.
Donc si vous n'avez pas de manette, c'est triste, mais mieux vaut oublier ce jeu.
Pour résumer le principe, l’héroïne se balade dans des niveaux de plateforme à la metroid, et y rencontre divers personnages aux capacités particulières, parmi lesquels elle peut choisir les 4 combattants qui vont constituer son équipe.
Selon son emplacement en haut, en bas, à gauche ou à droite, chaque combattant est assigné à un des 4 bouton de façade de la manette, et dispose de points d'actions à cooldown.
Appuyer sur le bouton relatif au compagnon sert à attaquer comme à parer, ainsi qu'a déclencher des attaques spéciales en combinant la touche avec une direction ou RB (touche de mana commune au groupe, qui s'accumule en combat, et qui déclenchera selon le personnage qui l'utilise une attaque spéciale dévastatrice, ou un pouvoir particulier).
Tout est question de timing, de réflexes, et de gestion des cooldowns pour réaliser des combos et des enchaînements d'attaques à plusieurs persos. (Sachant que certains ont des facilités à mettre au sol ou projeter en l'air afin d'ouvrir la voie aux enchaînements des autres personnages.) Et à ce titre, Indivisible a presque un léger arrière-goût de jeu de rythme.
Attaques de zones, soins, buffs, points d'actions utilisés pour "charger" une attaque ou un soin...
Bien que simple, le gameplay offre pas mal de possibilités carrément intéressantes, et s'avère qui plus est très plaisant et fluide à jouer.
Le jeu n'est jamais trop punitif, puisque si on meurt, on revient quelques secondes avant l'instant du décès. (À de rares exceptions près, comme des combats de boss bien retors en plusieurs phases, où on revient au point de save pour reprendre l'affrontement du début).
L'exploration est récompensée par des collectibles à peine cachés, permettent de booster l'attaque et la défense du groupe.
Autre excellent point, le jeu propose une démo qui permet de comprendre le gameplay dans les grandes lignes. Cependant, c'est la même démo "preuve de concept" présentée au début de son financement participatif. Or elle est désormais un peu obsolète du fait que beaucoup de choses ont bien évolué dans le jeu actuel (notamment l'interface de combat). Et c'est dommage de proposer une démo qui ne reflète plus vraiment la qualité du jeu actuel je trouve.
Puisque j'aborde les petits soucis, je déplore personnellement de courts artefacts d'encodage graphiques en début de cinématiques (j'ai récemment mis mes drivers de GPU à jour, et je pense que ça vient de là, mais je le signale quand même...)
- Quand on lance le jeu la 1ere fois, le menu des options est disponible étrangement tard : on commence donc en anglais un peu trop longtemps avant de pouvoir passer les sous-titres en français. Assez bizarre.
- Je suis globalement moins fan des phases de plateforme. Au delà du fait qu'elles sont occasionnellement imprécises, certains passages me paraissent un peu injustes, comme ce combat de Boss où des boules de feu tombent aléatoirement du ciel alors qu'on doit sauter de mur en mur. Or au lieu d'avoir un "pattern" a retenir pour anticiper leur provenance, elles surgissent aléatoirement. Si bien que même avec le bon timing et en sautant au bon moment, on peut se faire toucher si elles surgissent sur la paroi de destination. Pénible.
Et vers le début du dernier tiers du jeu, il y a tout un passage de plateformes relativement infect et assez mal calibré, ou cette imprécision des contrôles va vous faire crever à répétition. Assez frustrant.
- Concernant l'équilibrage, certains persos sont moins rentables que d'autres (ils ont moins de points répartis dans leurs stats, et leurs aptitudes ne compensent pas forcément ces manques étranges).
D'autres en revanche me semblent assez cheatés. Par exemple l'archer fait de bons dégâts, ses points d'action se rechargent très vite, son "spécial" est puissant, et surtout, son AOE génère beaucoup de mana... Même si ce perso est un des moins attachants, il me semble presque trop indispensable.
- On en arrive à regretter qu'il n'y ait que 4 places dans l'équipe, car plus j’enrôle de monde, plus j'ai envie de tous les utiliser! Or on ne peut pas remplacer l’héroïne.
- Autre détail assez gênant pour un métroidvania : la carte franchement ratée.
Si son imprécision n'est pas trop problématique dans les 1ers temps, ça le devient nettement dans le dernier tiers du jeu où on cherche à atteindre certains endroits précis. La carte se décline en différentes couleurs sauf qu'on a aucune explication sur la signification de ces diverses teintes. Certaines zones semblent être reliées alors qu'elles sont séparées par des murs (et inversement), et ces erreurs combinés au cruel manque de fast travel fait qu'on perd souvent un temps fou a simplement arriver à certains endroits de la carte, pour parfois ne rien y trouver puisque les marqueurs "histoire" omniprésents induisent en erreur au lieu d'aider.
- Quelques crashs, et de (rares) bugs étonnamment concentrés sur le dernier tiers du jeu...
Cependant, le jeu en lui même tourne globalement bien la plupart du temps.
- Impossible de passer/accélérer les noms qui défilent à la fin.
Mais ces petits détails ne sont pas trop gênants, et n'ont heureusement pas gâché mon plaisir.
Si certains guerriers peuvent être efficaces en spammant les mêmes routines d'attaques, d'autres demandent plus de maîtrise des synergies, comme "Phoebe" qui récupère les ennemis projetés en l'air pour leur infliger de gros dommages, ou les jumeaux volleyeurs qui doivent rattraper leur projectile en vol, exigeant un timing parfait.
Et c'est finalement presque une bonne chose d'avoir des persos "faciles" ou plus "complexes" à jouer : ça permet presque de simuler des modes de difficulté dont je regrette un peu l'absence.
Le jeu est donc simple en apparence, mais peut en fait s'avérer très "fin" selon l'équipe choisie, et de plus, ce gameplay offre une marge de progression assez inattendue.
Je terminerai en mentionnant un point potentiellement fâcheux : son prix qui me parait assez surévalué pour ce type de jeu...
Personnellement je l'ai chopé pour environ 30€ sachant que sa durée de vie semble se situer entre 20 et 30h selon votre façon de jouer...
Je trouve ça un peu cher, mais son excellente qualité globale, et son petit côté "gamer-friendly" mérite à mes yeux d'être encouragé et rémunéré. (Puisque le jeu est dispo sans launcher sur GOG et sa démo gratuite permet facilement de le tester).
Personnellement, je n'y mettrai sans doute pas 40 balles - mais disons qu'à 25 ou 30, il mérite d'être acheté sans trop d'hésitations si vous appréciez le genre.
Vraiment sous le charme du début à la fin.
(PS : Il est actuellement à 30,23€ sur Green Man Gaming pour les clients "Vips".)
Steam User 17
Si l’on pourrait croire qu’Indivisible vient tout droit du pays du Soleil-Levant, il trouve en fait ses origines sous le soleil de Californie. Plus précisément, c’est du côté du studio Lab Zero Games à l’origine de Skullgirls qu’il faut aller chercher donc pas la peine d’essayer comme moi de régler les voix du jeu sur un doublage japonais lors de votre prochaine partie, ça ne fonctionnera pas. Alors J-RPG ? Hmmm…Pas vraiment. Metroidvania ? Ce n’est pas encore ça, du coup pour mettre le tout dans des cases autant citer les créateurs, on parle ici d’action RPG et de plateformer. Enfin, Indivisible, c’est publié par 505 Games.
Condition de ce "papier" : Ce "test" a été réalisé à l'aide d'une manette tout ce qu’il y a de plus classique avec de vrais boutons comme on les aime. Et à part vouloir troquer cette dernière contre un stick d’arcade et cela uniquement pour les phases de combat, je ne vois pas la pertinence d’une manette à plus d’une centaine de touches ou d’un quelconque accessoire.
Un pour tous et tous pour un ! Derrière ses faux-airs de Nadia, Ajna est l’héroïne de notre histoire. Tout commence quand son village est attaqué par le terrible empire de Ravannavar. A la suite de cette attaque, celle-ci éveillera un pouvoir surprenant, la capacité d’« absorber » les gens dans son for intérieur. La trame sera certes classique, l’aventure se suit avec plaisir et bénéficie d’un humour qui fait mouche et qui vous accompagnera durant toutes les péripéties. Cette capacité d’Ajna sera donc le prétexte pour que notre tête brûlée ne soit pas seule dans son aventure et un nombre important d’aventuriers viendront gonfler les rangs de votre petite équipe. Le casting est de qualité, le characterdesign des personnages est au top et leurs personnalités attachantes. Naga Rider, Ramzi et compagnie marqueront les esprits et resteront dans vos souvenirs, ils se tailleront à coup sûr une place de choix dans vos petits cœurs.
J-RPG ? Metroidvania ?
Pas de tour par tour ici mais un système de combats en temps réel. L’équipe peut être composée de quatre personnages, tous associés à un bouton de la manette, bouton qui permettra d’attaquer et de se défendre. N’ayant pas mis les mains sur Valkyrie Profile, je ne me hasarderai pas à une comparaison avec ce titre bien que ce nom revienne maintes et maintes fois dans divers papiers. En revanche, pour ceux ayant distribué les tatanes sur Skullgirls ou ceux familiers de manière plus large avec les jeux de combat, vous ne serez pas dépaysé car par bien des aspects le jeu revête les codes du genre. Il est question de timing pour enchaîner les combos sur vos malheureux adversaires, de cooldown avant de pouvoir réattaquer, de spécificités car chaque personnage a sa petite palette de coups et si au début le tout peut sembler un brin confus, la mayonnaise prend. C’est au fur et à mesure qu’on se rend compte de notre progression et de toute la technicité du dit système. Pour les moins fins d’entre vous, le bourrinage fonctionne aussi.
Au registre des quelques reproches qui ont terni, un peu, mon expérience de jeu, ce sont les quelques crashs que j’ai pu avoir. Rien de bien méchant et peut-être que ça n’a rien voir avec le titre de Lab Zero Games mais les quelques captures d’écran prises ont eu parfois raison du jeu et de mon ordinateur.
Enfin, pour les économes en temps ou ceux pour qui RPG riment avec des aventures aux systèmes et aux mécaniques complexes pouvant effrayer, Indivisible a ce « quelque chose » de rassurant, il ne vous demandera pas des centaines d’heures pour terminer l’aventure. Bye bye l’étape du grind obligatoire, la gestion d’un inventaire où il faudra comparer le poignard tartempion avec la fourchette +10, ou l’analyse des stats pour comprendre comment le tout fonctionne. J’ai bien conscience que sur bien des titres, ces aspects font partie du plaisir de jeu mais dans le choix fait par Lab Zero Games, je trouve qu’on y a gagné en accessibilité, beaucoup de simplicité et finalement une attention redoublée sur les principales qualités du jeu.
Passée la cinématique de fin, j’ai l’impression d’avoir fait partie d’une grande équipe avec des personnages que j’ai aimés, des lieux dont je me souviendrais tant par la plastique que par les airs à fredonner et d’un système combat mémorable.
C’est compliqué de faire simple, bravo Lab Zero Games ! Tout simplement un vrai coup de cœur.
Oh et le saviez-vous (ou pour l’occasion, l’instant pub), l’aventure peut maintenant se jouer jusqu’à 4 et il y a un même un new game plus. Pour les infos, c’est par ici :
Enfin, il est dispo depuis quelques jours sur Switch.
Steam User 10
Je joue sur Linux. Version Linux : excellente.
Le jeu
Indivisible est un platformer, avec un peu de metroidvania et des éléments de RPG. On incarne Ajna, adolescente rebelle dont le village se fait attaquer. Elle se découvre à cette occasion le pouvoir d'absorber les gens, qui peuvent alors se battre à ses côtés. Evidemment comme tout bon RPG il est question de sauver le monde (pour changer!).
Le style graphique est vraiment sympa, et les animations sont au top. La musique se laisse écouter, certains morceaux sont excellents d'autres passables.
Le mélange plateforme / combat temps réel est bien intégré. C'est proche d'un jeu de baston simplifié, avec du temps réel mais une limite au nombre d'actions dans chaque "tour". Il y a vraiment beaucoup de personnages jouables, tous différents, ce qui permet de jouer le style de combat qu'on préfère : magie, debuff, combo, heals, aoe... il y en a pour tous les goûts (ou toutes les situations).
Le combat est plutôt facile. Je pense qu'on peut aller au bout du jeu en se contentant de bourriner les boutons, mais il est toutefois plaisant d'enchaîner certains combos.
La difficulté sera plutôt côté platforming. Heureusement, à chaque mort on revient rapidement et proche de l'endroit, ce qui permet de réessayer rapidement. La seule partie vraiment dure restera pour moi le chemin avant un des boss optionnels (si vous êtes du genre à casser des choses par frustration, n'y allez pas...).
Les personnages ont tous un background mais il est rarement creusé à fond. On a tout de même droit à une quête pour chaque personnage, qui nous en apprends un peu plus sur eux.
Je n'ai pas de réel point négative à aborder... peut-être le manque de voyage rapide. Il y a de nombreux moyens de passer d'une zone à l'autre (le bateau, les portails, les égouts, ...) mais il faut à chaque fois faire un trajet qui peut s'avérer plus ou moins loin. C'est parfois pénible quand il faut refaire un chemin qu'on a déjà fait 20x... :).
Rejouabilité, achievements
Aucune difficulté pour les achievements, ils viendront naturellement en jouant. Je ne pense pas que le jeu mérite un deuxième run, vu que les personnages augmente de niveau en même temps qu'Ajna, il n'y a rien de "nouveau" à découvrir lors d'un autre run si on a un peu testé tous les personnages lors du premier.
Je pense qu'il faut aux alentours de environ 30 à 35h pour terminer le jeu à 100%, tout dépendra du temps mis pour le boss optionnel. J'ai bien du y passer plusieurs heures, ne serait que pour y arriver la première fois.
En bref
Le jeu n'est pas exempt de défauts, mais ça faisait longtemps que je ne m'étais pas senti plongé dans un jeu à ce point. Recommandé.
GNU/Linux
La version Linux est excellente. Je n'ai rencontré aucun problème et le jeu tourne au poil sur mon système. J'y ai joué avec le Logitech F710 en mode XInput.
OS: Linux Mint 19.3 x64, MATE edition.
Hardware : i7 7700K OC@5Ghz, Nvidia 1080GTX, 32GB ram.
Screens : Dualscreen, 1x 4K & 1x 1920x1200, un seul screen X.
Steam User 6
Pour résumer, Indivisible est à l'image de son héroïne : un jeu plein de caractère, et qui nous emplit de toute sa bonne volonté jusqu'au dernier moment. Merci à toute l'équipe de Lab Zero, que je ne peux plus imaginer autrement que via le message que porte leur jeu.
Quelle bouffée d'oxygène ! Que ça fait du bien de voir un design inspiré des mangas, sans tomber dans les sempiternels repompes de personnages avec les mêmes tronches et les mêmes poitrines qui débordent de partout. Ici, le casting est surtout féminin, mais au delà de leur physique original, c'est surtout leur personnalité qui est mise en valeur. Ici, point de stéréotype, ou s'il y en a, c'est avant tout pour souligner un trait qui leur est propre.
Une dernière parenthèse là-dessus : l'un des personnages a un handicap physique, mais le jeu ne nous prend pas par la main avec des bons sentiments pour autant. Ce perso est là parce qu'on croise son chemin, il casse des bouches autant que tous les autres. Et c'est la meilleure façon de traiter le sujet que de ne pas en rajouter.
Pour le décor, j'ai été ravi d'explorer des décors inspirés de l'Inde, du Népal, et d'autres lieux qu'on ne croisent que très rarement dans les jeux vidéos. Là encore, c'est rafraîchissant et de toute beauté.
Côté gameplay, c'est assez réussi et assez original. Inspiré des JRPG, les combats ne se jouent pas au tour par tour, mais plutôt en temps réel avec des cooldowns. C'est très dynamique et très chouette. Les phases de plateformes et exploration ne sont jamais lassantes, puisque nos actions disponibles évoluent tout au long de l'aventure. La durée de vie est très généreuse également.
C'est donc un gros OUI pour ce jeu.
Steam User 6
Très contant d'avoir baker le jeu! Il s'est fait attendre mais il tient toutes ses promesses :
- La DA est superbe
- L'animation excellente
- Le système de jeu au top
- Un large groupe de héros avec leur background
- Une héroïne principale un peu simple au début mais qui évolue jusqu'à la fin du jeu.
Comme défaut je dirai :
- À un moment ou deux l'évolution de caractère de l'héroïne principale est un peu rapide
- Le jeu pourrait être un peu plus long, On récupére des personnages pour son équipe jusqu’à la fin du jeu et on voudrait avoir un peu plus de temps pour en profiter comme les premiers héros qui vous rejoigne !
- On ne veut pas que ça s’arrête !!
Steam User 3
Indivisible.
Fini à 100% en 30 heures.
Le jeu est dirigé par une très bonne histoire à la fois enfantine et sérieuse (le pouvoir de l'amitié parfois excessif et le thème de la mort et du sacrifice qui peut en faire pleurer plus d'un).
Les décors sont magnifique et les personnages sont attachant (même Dahr) avec des quêtes personnelles pour chaqu'un plus la trame principale.
Le gameplay est un mixe platforme metroidvania et un combat RPG sans le tour par tour ce qui rend les combat nerveux et stratégique mais peut aussi faire penser à du simple bourinage.
Je veux pas vous spoiler plus. Pour un jeu indépendant de cette qualité je vous le recommande fortement.
Steam User 4
Metroid-like sur fond de shonen.
+ Réalisation: c'est beau, ça fait du bien aux oreilles, c'est bien animé.
+ L'histoire, un peu plan-plan, mais somme toute solide et cohérente.
+ Personnages jouables TOUS hypersexualisés, dans le bon sens du terme. Tout le monde y trouvera son compte. J'apprécie vraiment ce charadesign
+ Personnages jouables TOUS atypiques, la pirate homosexuelle, la danseuse sans bras (ma chérie est fan d'elle), etc...
+ Combats dynamiques avec un système bien pensé: c'est un peu comme les Mario & Luigi, sauf que c'est exigeant (au début) et qu'on ne se fait pas chier (sur le papier).
+ Plein de pouvoirs à débloquer au fur et à mesure de la progression, pour se déplacer avec toujours plus d'aisance dans les niveaux.
+ Système de déplacement comme je les aime, plein de subtilité mais également assez rigide pour donner envie de le maitriser.
- Quelques bugs.
- Une caméra qui veut parfois bien faire, sauf qu'en fait non.
- Combats qui deviennent bien trop simples sur la fin, suffit de spammer les boutons avec insistance et ça passe.
- Level design trop étiré, surtout lorsqu'on traverse les niveaux pour la première fois.
- Carte mal foutue, avec des salles qui semblent être liées mais non.
- Trop peu de quêtes annexes.
- Point négatif très personnel, mais à mon sens pas assez d'achievements. Tout le endgame ne sert à rien.
- Le pouvoir de l'amitié
Un jeu vraiment très solide, blindé de défauts mais globalement hyper satisfaisant. Dommage que l'équipe de développement fut dissoute à sa sortie, y avait plein de contenu de prévu, même une série, tout a été annulé (comment je plains les backers...). Quelques passages un peu énervant, mais beaucoup de bons moments.