Ether One
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Ether One is a first person adventure that deals with the fragility of the human mind. There are two paths in the world you can choose from. At its core is a story exploration path free from puzzles where you can unfold the story at your own pace. There is also a deeper, more adventurous path in which you can complete complex puzzles to restore life changing events of the patient's history in order to help the validation of their life.
Steam User 27
Si vous voulez jouer à un jeu qui change de l'ordinaire, alors ce jeu est fait pour vous.
L'histoire est très prenante, l'environnement est assez joli, l'ambiance est super.
Vous pouvez soit explorer et découvrir l'histoire dans ses grandes lignes, ou alors vous pouvez résoudre des énigmes en vous servant de tout ce que vous pouvez trouver dans votre environnement, que ce soit des objets, des indices sur des affiches ect , ce qui vous permet vraiment d'approfondir l'histoire.
Le seul petit hic c'est que malheureusement la traduction française n'existe pas et c'est bien dommage.
En conclusion, si vous détendre un peu, vous balader dans de beaux décors, résoudre des énigmes intéréssantes, vivre une belle histoire et que vous n'avez pas peur de l'anglais, alors ce jeu est fait pour vous.
Steam User 17
C’est un bon jour pour les amateurs de jeux d’aventure avec la sortie sur Steam, GOG et Humble du premier jeu du studio britannique White Paper Games : Ether One.
Dans un futur proche, des scientifiques sont en voie de trouver un moyen de guérir les patients atteints de démence. Pour cela, certaines personnes dotée de capacités spéciales, appelées les restaurateurs (aucun rapport avec les restaurants), vont explorer les souvenirs des malades grace à une sorte de casque de réalité virtuelle.
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Steam User 18
Ether One fait parti de ces jeux inattendus et achetés sur un coup de cœur en allant sur le site d'Humble Bundle. Après avoir regardé le trailer, je me suis décidé à l'acheter en édition Deluxe en pré-commande histoire d'avoir tous les bonus promis. Ensuite j'ai commencé à y jouer tranquillement pour me voir bloqué très rapidement! Après des années de jeux d'action, de RPG et autres Point N' Click, je me pensais aguéri et plus malin que je ne l'étais en réalité. Dès le premier puzzle, me voilà bloqué et cela faisait bien longtemps que ca ne m'était pas arrivé.
Ce jeu vous place dans la peu d'un Restorer qui doit aller trouver des bribes de mémoire d'un patient atteint de démence. Pour ce faire, il vous faudra vous mettre dans sa tête et revivre ses souvenirs soit primaires soit profonds. Ether One est un jeu qui fait la part belle à l'exploration et surtout à la découverte et qui fait tout pour votre sens de l'observation soit aux aguets et pour vous alliez chercher au delà des apparences.
Le jeu se décompose en actes que l'on visiter et qui représente une ville côtière anglaise avec ses industries, sa mine, son port. Il faut découvrir ce qu'il s'est passé dans la vie du patient en trouvant des rubans rouges qui lui permettront de recouvrer un peu sa mémoire perdue mais qui du même coup vous fera ressentir les mêmes sensations que lui. Une fois un certain nombre de rubans trouvés dans la zone, vous pourrez ensuite passer à une transition bien faite dans laquelle on avancera comme une ombre et où il nous faudra prendre des photos pour découvrir ce qu'il s'est passé dans cette pièce ou cet appartement ou autre.
Trouver ses rubans constitue la trame principale du jeu et elle est accessible au commun des mortels car il suffit de les chercher et de les trouver afin d'avancer, bien sur il faudra aussi résoudre une ou deux énigmes mais rien de bien folichon malgré mon fail du départ. Pour résoudre ces énigmes, il vous faudra réfléchir et trouver comment utiliser les objets avec d'autres afin d'avoir la bon qui vous fera passer l'énigme. On est assez proche d'un point n'click dans la démarche si ce n'est que le jeu se joue à la 1ère personne.
On peut se téléporter dans une salle où l'on peut stocker tous les objets trouvés car on ne peut en porter qu'un seul à la fois. Il nous arrivera d'ailleurs de faire pas mal d'aller retour afin de trouver la bonne ampoule qui nous montrera un tracé invisible par exemple. Jusque là rien de bien compliqué même si il nous sera parfois nécessaire de noter sur papier les éléments mis à notre disposition et de laisser passer quelques heures afin de bien y réfléchir et ainsi de trouver ce qu'il faut faire.
En revanche, si vous voulez découvrir tous les mystères du jeu, il faudra dès lors s'accrocher car c'est là où l'on trouver toute la magie de ce jeu, on peut y jouer comme on le souhaite, en casual ou en pro de l'énigme en remettant sur pieds des projecteurs qui nous feront découvrir d'autres éléments plus intenses et personnels de la vie des intervenants du jeu.
Pour remettre sur pied ces projecteurs, il va falloir cravacher sérieusement, certaines énigmes sont particulièrement retords et nécessiteront d'être à plusieurs afin de voir la lumière car il arrivera souvent que l'on soit bloqué alors que la solution est sous nos yeux. Il faut tout lire, tout observer, tout écouter aussi et bien entendu tout noter. N'espérez pas terminer le jeu à 100% en 7-8 heures, il vous faudra pas une bonne dizaine d'heures pour y parvenir et encore, sans forcément débloquer les 20 projecteurs ni débloquer tous les achievements.
Autre point fort d'Ether One, la réalisation. Même si il ne paye pas de mine avec des graphismes un brin désuet, le jeu est fluide, franchement beau par endroits et surtout il dispose d'une bande son vraiment époustouflante tant elle se marie bien avec l'univers et l'ambiance du jeu. Il faut savoir que le jeu est tout en anglais et qu'il sera encore plus difficile si vous n'avez pas un bon niveau d'anglais même avec les sous-titres. La maniabilité est parfois un peu complexe sur certaines actions mais on parvient toujours à s'en sortir.
Ether One dispose également de niveaux très bien faits et parfois très complexes, on est très loin des couloirs des derniers JRPG et autres FPS. Ici, il faudra faire soi-même ses plans tant certains niveaux sont complexes et tant il faut parfois aller à un endroit précis pour y trouver le bon élément qui fera avancer un autre endroit, frustrant certes mais jamais rédhibitoire. Il faudra également s'habituer à voyager sur la carte principale du jeu car il faudra faire de nombreux aller-retours dans d'anciens niveaux déjà bouclés pour avancer sur d'autres, fourbe mais jouissif lorsque l'on y arrive.
L'histoire est poignante, le scénario excellent et le jeu des acteurs est magistral! Il n'y a rien à reprocher au jeu à ce niveau-là. Si je n'ai pas l'intention de vous spoiler, je peux tout de même vous dire que le jeu en vaut la chandelle et que le final est vraiment...vraiment brillant. C'est un jeu à l'ancienne avec sa difficulté à la carte et il rebutera très certainement la plupart des détectives en herbe tant certaines énigmes sont complexes mais sincèrement, Ether One est le jeu de l'année pour moi pour le moment et de très très loin. J'écoute quotidiennement la bande son et j'en ai presque des frissons rien qu'à penser à ce que représente les titres dans le scénario.
Si vous aimez les jeux intelligents et qui vous font réfléchir un peu plus que d'aller trouver une clé pour ouvrir une porte ou d'aller butiner le pistil d'une licorne magique pour découvrir qu'en fait il s'agissait d'un demi-dieu qui était là en sous-marin et qui recherche des jeunes aux allures de stars de la K-pop afin d'aller sauver le monde et l'univers avec moult sidekicks tous plus têtes à claques les uns que les autres et qu'il faudra sacrifier à un moment ou à un autre histoire de tirer une petite larme aux plus sensibles, ce jeu est fait pour vous!
Steam User 8
pour les francophones (et anglophobes)
si ether one est uniquement en anglais, la version redux, que l'on a gratuitement avec le jeu de base, à bien l'interface en français (sous titres egalement)
la version redux etant exactement le meme jeu avec un upgrade moteur graphique (unreal 4), il n'y a pas de probleme à jouer en français, prenez juste la version redux dans votre liste de jeu
Steam User 4
Note: en achetant ce jeu, on a 2 versions, l'originale qui utilise Unreal Engine 3 et qui est seulement en anglais, et la version 'Redux' qui utilise Unreal Engine 4 et qui a des sous-titres en Français. Mon évaluation est pour Ether One Redux.
Ether One est un jeu d'aventure/puzzle à la première personne interessant mais assez déroutant et dans l’ensemble difficile où l'on se perd (souvent au sens propre) dans les méandres des souvenirs d’une personne malade.
Au fur et à mesure que l’on avance, on trouve des fragments d’une histoire qu’il est très difficile de comprendre dans son ensemble. Il y a aussi des énigmes/puzzle (optionnels) à résoudre qui sont compliqués et qui demandent de trouver les bonnes informations, les bons objets et parfois d'avoir tout simplement de la chance.
Le jeu offre une bonne immersion avec un style graphique sympa, et une bonne ambiance sonore.
Je trouve qu' Ether One Redux est donc un bon jeu, atypique, et il faut à mon avis le refaire une deuxième fois pour comprendre et surtout résoudre plus d’énigmes.
Steam User 1
A bit short. Took me 12 minutes to finish the game.
Steam User 1
Cette évaluation concerne la version Ether One Redux (accessible depuis la bibliothèque de ceux qui ont la version d'origine) qui bénéficie non seulement d'une amélioration des graphismes mais surtout d'une traduction française.
Ether One, c'est le genre de jeu qui peut susciter chez des joueurs comme moi un enthousiasme débordant mais qui ne parviendra pas à séduire certaines personnes qui seront même capables de passer complètement à côté de tout ce qu'il a à offrir. Comment est-ce possible?
Comment ça commence
Nous comprenons que nous travaillons à l'Ether Institute en tant que restaureur sous la direction d'un médecin. Notre travail consiste, grâce à une technique expérimentale, à contribuer au traitement de différentes affections mentales. Nous allons ainsi essayer d'aider une patiente du nom de Jean (qui devient Jane dans la traduction française) en pénétrant à l'intérieur de son esprit qui se présente sous la forme d'un pittoresque village côtier du sud de l'Angleterre nommé Pinwheel.
Guidé par la voix de Phyllis, la doctoresse, il nous faut explorer les différents quartiers, de la mine au centre du village en passant par le port ou l'usine afin de réparer les dysfonctionnements identifiés.
On va récolter plusieurs objets, résoudre certaines énigmes et découvrir des souvenirs enfouis de la vie de Jean et pouvoir ainsi progressivement reconstituer sa vie et comprendre au final où est le problème.
Pourquoi j'aime ce jeu
Il offre une exploration du subconscient, une fenêtre sur l'esprit et un aperçu de la fragilite de l'esprit humain
Sa profondeur : exploration, puzzle et narration se marie pour donner non pas un puzzle-game mais plutôt un jeu narratif d'exploration. On explore pour avancer, on résoud des puzzles pour essayer de comprendre et approfondir l'histoire. Il y a toujours plusieurs choses à faire qu'on découvre progressivement, comme si les quêtes annexes étaient plus importantes que la trame principale.
Sa cohérence : il y a une logique mais c'est une logique narrative qu'on ne comprend d'abord pas. Profusion de souvenirs disparates, nombreuses actions a priori sans lien entre elles, puzzles à la logique insaisissable, éléments de narration qui semblent anodins. Puis les détails les plus insignifiants prennent sens et on réalise que chaque chose est à sa place et rien n'est laissé au hasard.
Sa subtilité : on se retrouve en tant que joueur dans la même situation que le patient. On est en perte de repères, on ne maîtrise plus les codes et on passe à côté de l'évidence alors qu'on pense pourtant savoir ce qu'on fait en allant tout droit. On peut facilement se précipiter et manquer de réflexion et ce n'est qu'une fois que les choses sont comprises qu'on réalise le cheminement qui nous a été necessaire pour s'en sortir parmi les bribes de mémoire, les fragments de réalité, les symboles ou les séquelles de traumatisme. Parvenir à donner du sens, c'est justement une manière efficace de lutter contre la confusion mentale.
La direction artistique : les graphismes sont très jolis, variés et détaillés (il faut configurer les détails au max, c'est important) mais j'ai surtout été marqué par la bande sonore, notamment les bruitages qui ne sont jamais anodins et le brillant doublage de Phyllis par Elspeth Edmonds.
Ce qui pourrait être (encore) mieux
Un bug affichait la version polonaise presque chaque fois que j'ouvrais le jeu et modifiait quelques réglages.
Ne convient pas aux configuration trop "juste" car il est important de jouer avec (presque) tous les réglages à fond.
Il pourrait ne pas convenir à tout le monde car il est...
Déconcertant : certains joueurs passeront sûrement totalement à côté de la subtilité de l'aventure et se retrouveront plutôt dans la situation du patient qui résiste au traitement, qui nie sa maladie ou qui est incapable de discernement. Je compatis parce qu'ils ne savent pas ce qu'ils vont manquer.
Inhabituel : il faut s'adapter à un gameplay particulier qui fait que certaines actions sont automatiques et surtout que nous n'avons pas d'inventaire classique. On va pouvoir ramasser énormément d'objets mais jamais en avoir plus d'un seul à la fois sur soi (celui qu'on peut utiliser)! Certains emplacements spéciaux sont réservés ici et là pour les objets qu'on voudrait déposer ou il nous faut regagner notre base (téléporté d'un seul clic) pour le ranger dans des étagères. Ce système peut sembler a priori lourd même si on s'y adapte vite.
Pas dirigiste : on ne reçoit pratiquement aucune consigne, il n'y a aucune logique clairement expliquée, il n'y a que peu de signes évidents en cas de réussite même dans les puzzles, on doit découvrir toutes les possibilités de notre base essentiellement par nous-même. Le début du jeu peut être ainsi déstabilisant, de notre arrivée à l'Institut à notre compréhension progressive des mécaniques de gameplay dans le village.
Myst-like : dans une variante totalement revisitée, certes, mais comme dans les jeux de l'époque, il est conseillé de noter des infos et de ramasser beaucoup d'objets sans jamais vraiment savoir ni où ni comment ni quand ça va nous être utiles. Ou même si ça va nous être utile. Mais l'univers est joli et vivant avec des détails de trace de vie un peu partout.
Plein de textes : On accumule vite beaucoup d'objets mais il y a aussi beaucoup de textes à lire pour récolter des informations qui seront utiles plus tard ou qui enrichissent la narration mais dont l'intérêt immédiat et le sens peut nous échapper. Se priver de ces lectures nous ferait pourtant passer à côté de l'essentiel du jeu.
Potentiellement très court : Attention, suivant comment on joue, on peut atteindre la fin du jeu assez rapidement si on se concentre uniquement sur les éléments qui permettent la progression à travers les niveaux et non sur l'approfondissement de la narration, ce qui fait qu'on peut passer complètement à côté du jeu sans comprendre ce qu'il a d'intéressant. On peut aussi être surpris par une fin qui surgit sans prévenir, ce qui m'est arrivé, et qui peut être frustrante si elle laisse une partie des questions sans réponse et incite forcément à rejouer. Pour le boucler le jeu à 100% sans soluce, il faut compter au moins 12 à 15h.
Au final
Ether One est agréable à jouer, joli, riche en contenu, une narration qui a une place importante, offre un moment profond et subtil qui marque les esprits et invite même à rejouer pour mettre à jour les derniers secrets ou s'assurer de comprendre tous les aspects de l'histoire.
Il faut vraiment se retenir de rusher pour se contenter de "finir" le jeu mais vraiment prendre le temps d'explorer pour ne pas risquer de passer complètement à côté de l'aventure et ne rien comprendre à l'histoire.
White Paper Games avait agréablement surpris à la sortie de Ether One, ce qui était son premier jeu. Le petit studio de Manchester prépare un second titre qui est encore en développement.
Je recommande donc très chaudement Ether One Redux.
Le prix adéquat dépend de votre budget et de votre intérêt pour le titre mais si on compare aux AAA Day One, même le plein tarif n'a rien d'excessif.